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Messages que j’ai postés

Dans le sujet : Bonjour Ligue 2 : c'est enfin OFFICIEL ... ou pas

13 août 2014 - 11:01

Paniqués à l’idée de voir des clubs éjectés des Coupes d’Europe et qu’on leur enlève l’organisation de la Coupe du monde 2018, de hauts dirigeants du football russe ainsi que de riches hommes d'affaires du pays se sont réunis en secret pour évaluer la situation, qu’ils jugent préoccupante. .... D’ailleurs, sur les stratégies à adopter, ces dirigeants veulent demander conseil à Poutine, ce qu’interdit formellement la FIFA... La Fédération internationale n’autorise pas l’influence des politiques dans les affaires du football.
http://www.lequipe.f...aniquent/489902

Dans ce cas, le sponsoring du RCL par l' Azerbaidjan est illégal. Pour rappel, le maillot du RCL porte "Azerbaidjan, land of fire" ou en français "Azerbaidjan, terre de mafieux".

Dans le sujet : Bonjour Ligue 2 : c'est enfin OFFICIEL ... ou pas

11 août 2014 - 20:09

Question pour un c.......Fichier joint  mamma.png   183,07 Ko   89 téléchargement(s)

Dans le sujet : Bonjour Ligue 2 : c'est enfin OFFICIEL ... ou pas

10 août 2014 - 12:43

Citation (Jori @ 10 Aug 2014, 13:05) <{POST_SNAPBACK}>
Le cas VA :

J'ai expliqué hier le déroulé des choses.
J'y ai oublié une chose, c'est ce qui s'était déjà passé en janvier 2014.
Chaque club passe à mi-saison devant la DNCG pour faire un point en fonction du bilan prévisionnel validé lors de l'inter-saison précédente et où se trouve le club par rapport à cela.
Or en janvier, la DNCG avait déjà rétrogradé le VAFC, à titre conservatoire.
Cette décision, VA s'était bien gardé de la divulguer (il faut savoir que les décisions de la DNCG ne sont pas publiques, elle n'informe que les clubs, libre à eux ensuite de les communiquer ou pas et de présenter les décisions comme bon leur semble).
Cette décision "en suspens" signifie que si au terme de l'exercice (30 juin 2014), le club n'a pas rétabli sa situation, cette décision suspensive s'appliquera.
En date du 10 juin, à partir du moment ou le club s'est déclaré en cessation de paiement, la suspension tombe. Conséquence : rétrogadation d'une division.

En résumé pour VA (en date du 30 juin) :

- descente sportive L1 en L2
- rétrogadation administrative d'une division car application de la décision conservatoire de la DNCG de janvier (en raison d'une cessation de paiement en date du 10 juin). Donc L2 à National (en conséquence repêchage de Châteauroux en L2)
- rétrogradation d'une division en fonction de l'article 103 (car VA était en RJ en date du 30 juin). Donc VA passe de National en CFA (en conséquence repêchage de Strasbourg en National)

Clairement, les décisions et dates ayant été illégalement contournées, il parait évident que Châteauroux et Strasbourg ont fait savoir aux instances de la FFF et de la Ligue que ceci n'est pas acceptable et que si d'aventure ils se retrouvaient le bec dans l'eau en raison de magouilles, ceci aurait des suites judiciaires avec le scandale qui va avec...


Jori dans ton argumentaire, tu as oublié de préciser que le président de VA avait rencontré la DNCG début juin et qu'à cette époque le club devait fournir pour fin juin des éléments comptables prouvant sa solvabilité en L2. Donc la décision conservatoire était en suspens. D'autre part , la décision conservatoire ne devient effective que si les éléments cités s'avèrent. Ensuite intervient l'épisode de la cessation de paiement avec l'annulation de la procédure. Dans cet intervalle le club a sollicité un nouveau délai suspensif de manière à fournir les éléments comptables demandés.

Je ne vais revenir sur toute la chronologie des évènements, mais je pense que l'annulation de la procédure de cessation de paiement efface les différents recours possible afférant à cette situation. Donc la DNCG dont le but est de vérifier surtout la solvabilité des clubs a pris la bonne décision.

Tu pourras toujours reprendre tes arguments qui sont certainement recevables, mais pour savoir qui de nous a raison ou tort il faudrait que le RCS este en justice contre la décision de la DNCG. Et à mon avis, le RCS perdrait car je pense que Borloo, avocat de métier, a blindé son dossier.

Dans le cas du VAFC il n'existe aucune malversion ou tentative de fraude au contraire du dossier lensois.

Dans le sujet : Bonjour Ligue 2 : c'est enfin OFFICIEL ... ou pas

09 août 2014 - 17:59

Réponse à Jori sur les cas de VAFC, RCL et Luzenac.

Je partage ton avis sur les dossiers du RCL et Luzenac.

Par contre pour VA ton analyse est incomplète en ce sens que l'article 103 ne peut s'appliquer car "La cour d'appel annule le redressement judiciaire du VAFC". Donc VA est en L2 en toute légitimité.

La cour d’appel du tribunal administratif de Douai a annulé la procédure de redressement judiciaire ouverte à l’encontre du VAFC le 25 juin dernier en infirmant le jugement de première instance du tribunal de commerce de Valenciennes. «La société VAFC sport Développement n’est plus en état de cessation de paiement à ce jour (elle l’était depuis le 10 juin, ndlr). Il n’y a plus lieu d’avoir une procédure de redressement judiciaire», a indiqué la chambre commerciale du tribunal douaisien ce jeudi après-midi.

Borloo a trouvé un moyen de redorer son blason en vue des prochaines élections régionales. En effet il a repris le dossier de l'ancien président du VAFC et s'est contenté de trouver le 1M€* qui manquait initialement et ainsi de présenter un budget équilibré auprès de la DNCG.

Pour Luzenac s'est un véritable scandale !!!

Pour le RCL, Gervais Martel savait très bien que ses virements n'arriveraient jamais. Il est passé en force avec complicité. Et si la défaillance de Mammadov se confirme et ne verse pas les 4M€ maintenant et 14M€ en janvier le dépôt de bilan est envisageable.
Gervais Martel tente de réunir d'autres investisseurs azeris pour pailler à la défaillance probable de Mammadov.


Dans le sujet : Bonjour Ligue 2 : c'est enfin OFFICIEL ... ou pas

09 août 2014 - 09:40

Il apparait bien que Martel savait que ces virements seraient refusés et qu'il a donc spolié sa place en L1.

Extrait VDN de c eMatin.
Hafiz Mammadov a longtemps prospéré à l’ombre du pouvoir en Azerbaïdjan, 127e pays sur 177 à l’index de la corruption de Financial Transparency. Il a bâti depuis 1998 un conglomérat, Baghlan Group, qui rayonne dans le pétrole, le gaz mais aussi dans les transports (trains, taxis, bus), les travaux publics… Seulement, l’homme apparaît plus fragile que prévu, comme le soulignent ses actuelles difficultés financières. Passagères ?
Mammadov-JohanBenAzzouz.jpg


RC Lens : chronologie d’une descente aux enfers

1. Manne en mer Caspienne

En 2010, Hafiz Mammadov monte avec deux partenaires un énorme projet d’exploitation des champs pétroliers de Gum Deniz (4,5 millions de tonnes) et gaziers de Bahar (entre 18 et 25 milliards de mètres cubes) en mer Caspienne. Baghlan Group FZCO fonde une société partagée avec Greenfields Petroleum Corporation de Houston et Rafi Oil FZE de Bakou. Bahar Energy Limited (BEL), enregistrée à Dubaï, comptera sur 80 % des revenus, SOCAR, la société pétrolière d’État, 20 %.

Quand Rafi Oil se retire du projet en avril 2012, Baghlan Group Limited (la holding d’Hafiz Mammadov basée sur la zone franche Jebel Ali à Dubaï) fonce sur l’opportunité de racheter 33,33 % des parts pour 150 millions de dollars (112 M€). Mammadov a-t-il présumé de sa puissance, de ses ressources et de ses liquidités ?

2. Un emprunt risqué de 150 M$.

Sa filiale, Baghlan Group FZCO (dont le site Internet est curieusement en dérangement depuis peu), contracte un emprunt obligataire de 150 M$ le 27 juin 2012 à un taux hors norme de 14,75 % et une échéance rapide à trois ans (27 juin 2015). Ce produit risqué est contracté auprès d’Aquarius investments Luxembourg sur le marché des obligations des Îles Caïman. Il est suivi et garanti (bookrunning dans le jargon) par BNP Paribas et Pasha Bank (de la puissante famille Pashayev, nom de jeune fille de Mehriban Aliyeva, l’épouse du président de la République depuis 2003, Ilham Aliyev).

Le taux est usuraire, la confiance ne règne pas à l’évidence mais les soutiens restent solides…

3. Le défaut de décembre

Le 27 décembre 2013, Baghlan Group fait défaut à l’une des quatre échéances annuelles de l’emprunt, 19 M$ (18 871 875 $ exactement soit 14,06M€). On ne l’apprend que le 2 avril 2014 quand l’agence de notation Fitch dégrade soudain la note du groupe de Mammadov, de B à l’infamant RD (restricted default), cessant même sa notation. Au secours !

Peu avant, le 12 mars 2014, un courrier signé d’Hafiz Mammadov, président du conseil d’administration de Baghlan Group FZCO, tente de rassurer le marché des Îles Caïman, le garant et agent payeur BNP Paribas. « Le retard du paiement d’échéance a été conditionné par le fait que nous avons été confrontés à des difficultés dans le recouvrement de créances. Baghlan Group est de nouveau capable de faire face à sa dette », se justifie-t-il. Il signale avoir assumé une partie de la dette (7933500 $ – 5,914 M€ – le 7 mars 2014) et promet le reste « rapidement ». Ce qui n’est pas le cas.

4. Un manque de liquidités

Rien n’est réglé, nous indique un communiqué du 23 juillet 2014 de Greenfields, le partenaire de Baghlan dans l’affaire de la mer Caspienne. Sa filiale, Greenfields Petroleum International Corporation (GPIC), déclare avoir versé « environ 16,5 millions de dollars (sur 21 désormais) pour faire face au défaut de son coactionnaire dans Bahar Energy ltd depuis le 1er janvier 2014 ».

John W Harkins, président de Greenfields, se montre « déçu que Baghlan se soit montré incapable de financer sa part du projet Bahar ». Hafiz Mammadov a donc une nouvelle dette de 16,5 M$ – 12,3M€ (avec un intérêt de 4 % d’ailleurs)… On comprend que dans ce marasme, il ait d’autres chats à fouetter que le RC Lens et que chaque million compte pour refaire surface. Ce trou est-il passager ou correspond-il à une disgrâce ?

5. Soucis à Bank of Azerbaijan

La fameuse Bank of Azerbaijan, qui appartient à des membres de la famille d’Hafiz Mammadov (ses fils Kanan et Sanan, son frère Mubariz), souffre également d’un manque de liquidités depuis la même époque, sans qu’on puisse faire le lien, et malgré une recapitalisation. La Banque centrale d’Azerbaïdjan a dû intervenir en mai, après des plaintes de clients incapables de retirer de l’argent de leurs comptes. Or c’est elle qui devait apporter les financements, 10, puis 4 millions d’euros au RC Lens…
Que venait donc faire cet Azéri à Lens ?

Au cœur du bassin minier, c’était donc presque un exploit de vendre les terrils du 11/19 comme la tour Eiffel ou la corniche de Monte-Carlo ?

L’histoire officielle raconte que Gervais Martel entend parler par hasard de Hafiz Mammadov dès 2012. Le président lensois (qui ne l’est plus depuis quelques semaines mais envisage de le redevenir rapidement) contacte un ami, loueur de yachts. L’homme poireaute dans la villa du milliardaire azerbaïdjanais sur la Côte d’Azur. Son richissime client préfère regarder la fin d’un match de football à la télévision. Martel rencontre Hafiz Mammadov un peu plus tard, à Cannes : il lui vend un public en or, le titre de 1998, une demi-finale de la Coupe de l’UEFA (2000) qui s’achève les armes à la main contre Arsenal. Mammadov écoute. On parle d’une histoire humaine. On promet de se revoir.

Martel met alors le paquet pour séduire l’homme d’affaires jusque dans son pays. Il s’annonce avec quelques fidèles dont Jean-Pierre Papin qui joue les ambassadeurs du club. Ballon d’or à la main. « Mammadov était scotché de me voir », témoigne l’ancien attaquant.

Fier de l’intérêt qu’il suscite, l’Azerbaïdjanais est mandaté par son gouvernement pour véhiculer l’image de son pays à l’étranger. Ce n’est pas gagné. C’est aussi un amateur d’art qui rêve d’ouvrir une antenne du Louvre à Bakou. En novembre 2013, Mammadov fait d’ailleurs ouvrir le Louvre-Lens (entre 22heures et minuit) pour une visite privée avec quelques pontes politiques locaux dont le président du conseil régional, Daniel Percheron. On flatte alors le bienfaiteur du Racing reçu presque comme un chef d’État. Il aurait eu tort de s’en priver.

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