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sochalienne pour toujours
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Dans le sujet : Le FC Sochaux dans les médias
14 mai 2007 - 16:26
Jeremie Brechet est l'invité de match retour ce soir sur l'equipe TV à 20h
Dans le sujet : Le FC Sochaux dans les médias
10 mai 2007 - 17:30
source: le journal le point
Le milieu de terrain du FC Sochaux, Karim Ziani, a nuancé les allégations de son président selon lesquelles le joueur aurait été approché par l'Olympique de Marseille en vue d'un transfert à l'issue de la saison, évoquant une simple "discussion".
"A qui j'ai dit ça (qu'il avait discuté avec José Anigo, l'entraîneur de l'OM, NDLR) ? Je vous ai dit ça, moi ?", s'est étonné, agacé, l'international algérien de 25 ans, sous contrat avec Sochaux jusqu'en 2009.
"Le président a dit ça ? Demandez-lui alors. Il n'y a jamais eu de problème. J'ai discuté normalement avec lui après le match, et voilà. Tout était pour le mieux", a expliqué l'ancien lorientais arrivé dans le Doubs pendant la dernière intersaison.
"J'étais avec Mamad (Mamadou Niang, NDLR) parce que j'ai joué avec lui à Troyes, et voilà. On a discuté. Personne sait ce qu'il (Anigo) m'a dit ou ce qu'il ne m'a pas dit. Ca reste entre nous. Il n'y a rien de mal après un match de discuter", a conclut Karim Ziani.
Le président du FC Sochaux avait dévoilé mercredi, à l'issue du match de championnat face à Monaco, l'existence d'un contact présumé entre le directeur sportif de l'OM et Karim Ziani.
"Il y a un club qui s'appelle Marseille qui se permet de contacter un joueur avant une finale de Coupe de France et en dehors de la période des transferts", avait déclaré Plessis, qui disait tenir l'information de Ziani lui-même.
"Marseille sévit mais je ne vais pas me laisser faire, avait-t-il ajouté. Ziani n'est pas transférable, et surtout pas à Marseille."
L'affaire, avait assuré Plessis, décuplera l'ardeur des Sochaliens face à Marseille lors de la finale, samedi au Stade de France.
"Ça ne va pas nous empêcher de la gagner, a-t-il dit. C'est une tentative de déstabilisation qui va nous rendre encore plus forts."
La réplique de Pape Diouf n'avait pas traîné.
"C'est une saleté sans nom, une crasserie sans bornes que de proférer des accusations gratuites, avait rétorqué ce dernier. C'est l'habituelle guéguerre d'avant match. Les saletés, il faut les mettre à la poubelle . Plessis a perdu sa lucidité et son sang-froid. Je vous donne ma garantie qu'il n'y a eu ni coup de fil, ni approche."
Le milieu de terrain du FC Sochaux, Karim Ziani, a nuancé les allégations de son président selon lesquelles le joueur aurait été approché par l'Olympique de Marseille en vue d'un transfert à l'issue de la saison, évoquant une simple "discussion".
"A qui j'ai dit ça (qu'il avait discuté avec José Anigo, l'entraîneur de l'OM, NDLR) ? Je vous ai dit ça, moi ?", s'est étonné, agacé, l'international algérien de 25 ans, sous contrat avec Sochaux jusqu'en 2009.
"Le président a dit ça ? Demandez-lui alors. Il n'y a jamais eu de problème. J'ai discuté normalement avec lui après le match, et voilà. Tout était pour le mieux", a expliqué l'ancien lorientais arrivé dans le Doubs pendant la dernière intersaison.
"J'étais avec Mamad (Mamadou Niang, NDLR) parce que j'ai joué avec lui à Troyes, et voilà. On a discuté. Personne sait ce qu'il (Anigo) m'a dit ou ce qu'il ne m'a pas dit. Ca reste entre nous. Il n'y a rien de mal après un match de discuter", a conclut Karim Ziani.
Le président du FC Sochaux avait dévoilé mercredi, à l'issue du match de championnat face à Monaco, l'existence d'un contact présumé entre le directeur sportif de l'OM et Karim Ziani.
"Il y a un club qui s'appelle Marseille qui se permet de contacter un joueur avant une finale de Coupe de France et en dehors de la période des transferts", avait déclaré Plessis, qui disait tenir l'information de Ziani lui-même.
"Marseille sévit mais je ne vais pas me laisser faire, avait-t-il ajouté. Ziani n'est pas transférable, et surtout pas à Marseille."
L'affaire, avait assuré Plessis, décuplera l'ardeur des Sochaliens face à Marseille lors de la finale, samedi au Stade de France.
"Ça ne va pas nous empêcher de la gagner, a-t-il dit. C'est une tentative de déstabilisation qui va nous rendre encore plus forts."
La réplique de Pape Diouf n'avait pas traîné.
"C'est une saleté sans nom, une crasserie sans bornes que de proférer des accusations gratuites, avait rétorqué ce dernier. C'est l'habituelle guéguerre d'avant match. Les saletés, il faut les mettre à la poubelle . Plessis a perdu sa lucidité et son sang-froid. Je vous donne ma garantie qu'il n'y a eu ni coup de fil, ni approche."
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