Hier soir, j'ai vu Les chemins de la liberté, The way back. Il date de 2011 mais c'est le dernier film de Peter Weir en date. Pas son meilleur film mais un très bon cru tout de même. L'histoire (vraie) d'une bande de prisonniers d'horizons divers (polonais, russes, américains...) qui s'échappe d'un camp de travail sibérien en 1940 et va réaliser un périple de plus de 10 000 km pour atteindre l'Inde. Avec un beau casting (Ed Harris, Jim Sturgess, Colin Farrel, Saiorse Ronan).
J'ai été pris dans le film, j'ai souffert avec eux. Je crois que mon prochain verre d'eau sera savouré à sa juste valeur. Et ça me donne envie de lire le livre de Slavomir Rawicz dont est inspiré le film. Résumer en deux heures et 13 minutes un tel voyage relève de l'exploit mais Peter Weir s'en est plutôt bien sorti. Et je réalise que le bonhomme est quand même un sacré réalisateur. On lui doit Witness, Mosquito Coast, Le cercle des poètes disparus, The Truman Show, Master and Commander. Ce dernier qu'il est fort probable que je re-regarde dans les jours qui viennent.