29827 réponses à ce sujet

[- DB -]

De nombreux pays ont montré des stratégies pour tester la population qui ont été efficaces. Qu'on n'ait pas été capables de faire comme eux la première fois, c'est déjà très dommageable pour la sixième puissance économique mondiale, mais une deuxième fois, instruits par l'expérience...
Autant tirer le rideau immédiatement.

[erbaton25]

A-t-on traité en France tous les participants au rassemblement évangélique de Mulhouse avec ce protocole? J'en doute fortement et par conséquent j'ai le sentiment que le cluster du à cette grand messe aurait donné lieu à moins de contaminations chez nos voisins.

Je peux affirmer que certains enfants, dont les parents ont participé au rassemblement, sont bien revenus dans des écoles du territoire de Belfort à la rentrée de début Mars.

[Blanche Neige]

Et dans mon coin aussi.......

[erbaton25]

Et dans mon coin aussi.......

Oui mais toi ils sont encore dans ta cave, bien confinés ! 

[Blanche Neige]

Je les ai libérés il y a 5 semaines lol

[M4ST3R]

Le pétrole WTI actuellement -$1.43 le baril! Oui, oui, négatif, tu achètes un baril de pétrole, le producteur te donne 1 dollar!

 

Pour info, c'était $18 ce matin et $140 il y a quelques années.

 

Encore un coup de Li et de sa bande

 

EDIT: -$12 maintenant!

 

EDIT: -$38 le baril !!!

[Doc.Fusion]

A priori il est très difficile de baisser la production et impossible de conserver le pétrole... Donc c'est pas complètement étonnant, même si dans les faits, on réalise à quel point on s'était lancé dans une fuite en avant...

[M4ST3R]

Oui, c'est çà. Le monde est passé d'une consommation de 100 millions de barils par jour à 20-30 millions. Le pétrole déjà commandé et produit doit donc être stocké.

Les capacités de stockage arrivant à saturation, le coût du stockage s'envole. Les traders qui ont acheté du pétrole livrable en mai ont jusqu'à aujourd'hui pour le revendre. Ils préférent s'en débarrasser en donnant de l'argent plutôt que de payer le stockage.

 

Là, le WTI remonte, -$6. Trump a annoncé l'achat de 75 millions de barils, pour leur réserve stratégique mais certainement surtout pour faire remonter les cours.

Le pétrole WTI livrable en juin est à environ $20, le brent (le pétrole utilisé en Europe) à $21 en baisse de 16%.

[- DB -]

Si vous possédez un vieux hangar, c'est le moment de vous faire livrer du pétrole.
(C'est quand même mieux s'il est proche du Havre ou de Fos sur Mer)

[erbaton25]

Les états vont pouvoir faire des stocks pour nous les revendre à prix d'or dans 2 mois, lorsque la crise sera passée...

[- DB -]

Par principe, je ne discute plus avec un interlocuteur qui ne met pas de majuscule à Etat.

[erbaton25]

Par principe, je ne discute plus avec un interlocuteur qui ne met pas de majuscule à Etat.

 

Et l'accent sur le E de État hein !

 

[- DB -]

L'accent sur une majuscule n'est pas obligatoire

[M4ST3R]

C'est surtout que tu ne sais pas comment le taper

[Emeres]

L'accent sur une majuscule n'est pas obligatoire

Antidote - Janvier 2002.

 

Faut-il accentuer les majuscules et les capitales ?

Pour répondre précisément à la question, il ne serait pas inutile de rappeler la différence entre majuscule et capitale, car la langue courante confond ces deux notions. Il est vrai qu’elles se chevauchent très souvent en pratique.

Les mots s’écrivent le plus souvent avec des lettres dites minuscules. La majuscule, plus haute que la minuscule, est utilisée comme lettre initiale de certains mots pour les démarquer ou les distinguer (premier mot de chaque phrase, nom propre). L’expression majuscule initiale est le plus souvent un pléonasme, car la majuscule est normalement une lettre initiale. Outre la différence de hauteur, la majuscule diffère le plus souvent de la minuscule équivalente par sa forme.

En typographie, les minuscules sont habituellement représentées par une forme dite bas-de-casse et les majuscules par des lettres de forme différente appelées capitales. Pour une taille de caractère donnée, les GRANDES CAPITALES sont plus hautes que les bas-de-casse et les PETITES CAPITALES ont la hauteur des bas-de-casse. Quand on dit simplement capitale, on sous-entend habituellement « grande capitale ». À noter que, de nos jours, bien des gens ont une écriture manuscrite dont les lettres majuscules, voire minuscules, imitent plus ou moins la capitale des imprimeurs.

Bref, la distinction minuscule/majuscule relève de la langue, de la grammaire, alors que la distinction bas-de-casse/capitale relève de la typographie. Les capitales, grandes comme petites, peuvent représenter des minuscules. Comparons ces trois exemples :

Érythrée
Érythrée
ÉRYTHRÉE

 

Pour le grammairien, Érythrée est un nom propre et chacune de ses trois formes ci-dessus compte 1 majuscule et 7 minuscules, peu importe l’aspect typographique du mot. Pour le typographe, le premier exemple compte 1 (grande) capitale et 7 bas-de-casse ; le deuxième exemple compte 1 grande capitale et 7 petites capitales. Le troisième exemple compte 8 grandes capitales.

Pour revenir à la question initiale, vous aurez remarqué que dans tous ces exemples, les accents aigus requis sont présents, aussi bien sur les capitales (grandes et petites) que sur les bas-de-casse, peu importe que ces lettres représentent des majuscules ou des minuscules. L’accent fait partie de l’orthographe du mot, car il donne des informations sur sa prononciation ; l’omettre, c’est pratiquement commettre une faute d’orthographe. Sans parler des possibles ambiguïtés. Considérez cette manchette de journal à propos d’un fait divers survenu à l’asile psychiatrique : 

UN INTERNE TUE

Qu’est-ce qu’il faut comprendre ? Un interné tué ? Un interne tué ? Un interné tue ? Un interne tue ?

J’ai pourtant appris à l’école qu’il ne fallait pas accentuer les majuscules.

Plusieurs personnes ont effectivement appris ou entendu dire qu’il ne fallait pas accentuer les majuscules ou les capitales. Il est vrai qu’en écriture manuscrite cursive on accentue rarement les majuscules. Il faut aussi reconnaître que l’accentuation des capitales est loin d’avoir été pratiquée systématiquement par tous les typographes de toutes les époques. Des contraintes techniques pouvaient rendre la chose difficile, mais les typographes consciencieux ont habituellement accentué les capitales. Leur accentuation était aussi chose malaisée à la machine à écrire, mais les dactylographes ingénieux trouvaient le moyen de le faire.

Aujourd’hui, les systèmes informatiques bien configurés permettent d’utiliser sans problème les capitales accentuées. Il n’y a donc plus de raison de se priver de cette pratique recommandée par les bons dictionnaires, grammaires et codes typographiques, ainsi que par l’Académie française.

 

 

Conclusion

L’accentuation des capitales est fortement recommandée dans tous les cas, mais elle est facultative pour certains sigles et acronymes qui s’y prêtent mal pour des raisons de prononciation.

 

[luigikad]

Apparemment Peugeot Sochaux ne reprendra pas avant le 01/07, seule une ligne de doublage reprendra en mai avec les volontaires uniquement.

[GauchixHBCM]

PUTAIN DE VIRUS.... même le confinement ne résiste pas... J'ai dans ma famille, le cas d'une personne confinée depuis six semaines (en télétravail) et qui l'a chopée (en contact avec une seule personne, sa compagne qui a été en course deux fois en six semaines. Serait-elle asymptomatique ?)

[Poteau de Pamic]

J'espère que c'est pas trop chaud pour elle. Bon courage !

[- DB -]

Plus le temps passe, plus je n'ai pas envie de ce monde où la distanciation physique devient la règle. Un monde sans bistrot, sans restaurant, sans librairie, sans tribune, où nous partageons nos microbes sans angoisse. La réalité c'est que notre civilisation est antinomique avec la distanciation physique.
On peut penser que le monde d'après sera moins mondialisé ou davantage, plus décroissant ou pas. Mais ce qui m'angoisse davantage, bien plus que choper le covid19, c'est de voir se prolonger, et prendre l'habitude de la distance physique.

Au moment où je vous parle, j'ai même moins peur de mourir que de l'idée que si c'était le cas, je ne serais accompagné que de cinq à dix personnes pour l'ultime au-revoir. Enterré comme un chien. Négation de la civilisation.
J'ai conscience que ces mots pourront choquer. Mais j'aime le risque, car j'aime la vie. La vraie.

[erbaton25]

PUTAIN DE VIRUS.... même le confinement ne résiste pas... J'ai dans ma famille, le cas d'une personne confinée depuis six semaines (en télétravail) et qui l'a chopée (en contact avec une seule personne, sa compagne qui a été en course deux fois en six semaines. Serait-elle asymptomatique ?)

Mince alors !? Connaissance commune ?

[John Locke]

Plus le temps passe, plus je n'ai pas envie de ce monde où la distanciation physique devient la règle. Un monde sans bistrot, sans restaurant, sans librairie, sans tribune, où nous partageons nos microbes sans angoisse. La réalité c'est que notre civilisation est antinomique avec la distanciation physique.
On peut penser que le monde d'après sera moins mondialisé ou davantage, plus décroissant ou pas. Mais ce qui m'angoisse davantage, bien plus que choper le covid19, c'est de voir se prolonger, et prendre l'habitude de la distance physique.
Au moment où je vous parle, j'ai même moins peur de mourir que de l'idée que si c'était le cas, je ne serais accompagné que de cinq à dix personnes pour l'ultime au-revoir. Enterré comme un chien. Négation de la civilisation.
J'ai conscience que ces mots pourront choquer. Mais j'aime le risque, car j'aime la vie. La vraie.

Problème étant que ton point de vue (et je ne parle pas là pour toi) s'impose comme l'attitude de rebelles en cartons qui pensent se libérer de carcans qui les empêchent de vivre comme ils le veulent. Exemple hier soir dans le XVIIIe avec la centaine de connards dansant sur du Dalida en pleine rue (et ce n'était pas, pour le coup, des racailles de banlieue, à qui on a, à juste titre, offert la Une toute la semaine mais qui là n'y sont pour rien).
Ce qui m'embête sérieusement, c'est que l'ode à la liberté que l'on entend poindre depuis quelques jours :
1/ ne s'enquiert peu du monde dans lequel cette liberté (soi-disant valeur essentielle) s'inscrit en temps habituel, c'est-à-dire une survie corrélée à l'obtention d'un salaire mensuel. L'unique liberté réelle que nous possédons, et qui agite maintenant beaucoup de monde parce que nous en sommes privés depuis 5 semaines, c'est celle de se déplacer. Je ne me sens pour ma part pas libre quand ma vie repose sur des contraintes qui m'obligent à être quelque part à telle heure pour gagner de l'argent si je n'en ai pas envie. Je renvoie à Jean-Paul Dubois qui explique très bien que nous ne sommes que locataires de nos vies et qu'écrire (et vivre de l'écriture) c'est redevenir propriétaire de sa propre existence dans un système mensonger qui brandit des valeurs essentielles comme mantras alors que les entraver est sa nature même.
2/ Il n'y a pas de liberté individuelle sans responsabilité collective. Au-delà du fait d'avoir un emploi (qu'il faut bien distinguer du travail), j'accepte de travailler pour nous construire naïvement et à ma très modeste échelle un monde plus sympathique. C'est une contrainte mais j'en suis responsable et j'accepte. C'est le prix à payer pour mon semblant de liberté. Mais si on brandit cette liberté factice comme valeur cardinale, je considère aussi qu'il faut être responsable quand la collectivité en ressent le besoin.
Ici, je suis désolé de vous le dire, mais nous faisons face à une maladie terrible. Sans même parler de réanimation, quiconque en a été atteint sévèrement vous dira qu'il a passé les 3 semaines les plus difficiles de sa vie. Peut-être vivons-nous dans une dimension parallèle à Mulhouse mais je crois que la majorité ne se rend pas compte de quoi nous parlons.
Alors je n'aime rien de plus que ma librairie, mon restaurant et ma tribune, vraiment, mais si m'en passer 3, 4 ou 5 mois dans une vie supposée durer 80 années permet de sauver la vie de gens que je croise au quotidien, eh bien soit. Je ne me sens pas drappé de l'écharpe de la rébellion parce que je refuse philosophiquement la contrainte à mon hédonisme l'espace de quelques mois. Je suis "libre" de faire tout cela depuis 30 ans, j'accepte et je prends la responsabilité de m'en passer pendant 5 mois.
Il émerge depuis quelques jours ce discours de fou furieux selon lequel nous serions une société malade parce que nous sommes la première à privilégier la santé à l'économie. Ceci, cher DB, me laisse non pas un grand espoir mais une triste certitude : le monde d'hier n'est pas encore prêt à passer à la trappe et rassure-toi, la distanciation sociale et l'interdiction des restaurants et des tribunes ne sera rapidement plus qu'un mauvais souvenir une fois la peur des premiers jours passée, puisque encore et toujours, seule compte l'économie.
Ce qu'il faut en revanche intégrer, c'est que cette crise sanitaire n'est qu'une parmi d'autres à venir, sociales, économiques et écologiques. Gilets jaunes, grèves, incendies en Australie, dérèglement climatique, coronavirus... le monde va malheureusement continuer à tourner comme avant avec nos stades et nos troquets, mais le nombre de crises ne fera que s'accentuer. Sans doute vaudrait-il mieux s'interroger de suite sur cela et le paradigme nouveau que nous devrions imaginer pour préserver nos plaisirs, plutôt que de vouloir faire l'affront à des règles sanitaires destinées à sauver les vies de gens que nous côtoyons chaque jour.
Le discours ambiant consistant à expliquer aux plébéiens qu'ils vont devoir travailler plus, qu'ils sont de mauvais patriotes s'ils ne réenclenchent pas manu militari le processus de consommation pour permettre aux pauvres petits artisans et commerçants de survivre, me conforte franchement dans l'idée que le néolibéralisme n'est que plongé dans un sommeil profond mais que son réveil sera d'autant plus brutal. Pas un mot sur la perspective d'un changement de logiciel, même pas un postillon (parce que c'est mauvais) pour impliquer les plus grosses fortunes dans l'effort, rétablir un impôt juste, envisager le retour de l'ISF, exiger des banques qu'elles participent, sortir de derrière les fagots des milliards pour sauver les miséreux comme on l'a fait pour ces dernières il y a quelques années, rien sur la financiarisation de nos échanges et le triomphe de la spéculation, d'une monnaie dematerialisée et d'une Bourse qui joue avec un argent qui ne lui appartient pas. Ben non, c'est le plébéien qui va trimer et se serrer la ceinture pour aider l'autre plébéien.
Je comprends donc ton inquiétude et le terreau philosophique de ta pensée, mais il se confronte selon moi à ce que je viens d'exposer.

[klijnjan]

Toujours très intéressant à lire.  Et matière à multiples réflexions.

 

Bonne journée à tous.

[slow pulse boy]

En exclusivité, voici les amendements proposés par les groupes parlementaires de l'Assemblée Nationale concernant le sport.

 

Sont autorisées sous conditions les disciplines d'athlétisme suivantes :

- Les courses courues en couloir et sans haies pourront être disputées par 2 (un coureur au couloir 1, l'autre au couloir extérieur), et de manière individuelle. Les relais restent interdits car le virus survit sur le témoin ;

- Le saut à la perche, à condition de désinfecter la barre après chaque essai ;

- Le triple saut, car à nombre de sauts égal il divise par 3 tout risque de contamination par rapport au saut en longueur. Toutefois, chaque participant devra être muni de son propre bac à sable, l'installer avant chaque tentative et le retirer ensuite ;

- Le lancer du disque et du marteau, à condition de porter un masque car une cage est par définition un espace confiné et les concurrents postillonnent partout en criant à chaque lancer ;

- Le marathon, à condition d'être muni d'une pièce d'identité permettant de prouver à tout moment qu'on est à moins de 100km de son domicile ;

Sont également autorisés sous conditions les autres sports suivants :

- Le cyclisme sur piste (poursuite individuelle uniquement afin de respecter la distanciation) ;

- La gymnastique, réduite à deux agrès (poutre et saut de cheval) qu'il est interdit de toucher avec les mains ;

- Le volley-ball, à condition d'interdire le contre ;

- Le golf, avec une limite de 18 participants, chacun se voyant attribuer un trou qu'il devra faire 18 fois ;

- L'escrime, à condition que les masques respectent les normes Afnor de filtration ou, à défaut, de ne pratiquer que le fleuret avec des armes d'1,5m ;

- La lutte gréco-romaine (seulement la partie romaine) ;

- Le sumo, à condition que les pratiquants aient un IMC inférieur à 25. Au-delà, ils sont des sujets à risque ;

- La plongée sous-marine, exclusivement avec bouteilles, en veillant à respecter les gestes barrières également sous l'eau ;

- Le plongeon de haut vol, à l'une des deux conditions suivantes : soit changer l'eau du bassin après chaque saut, soit enlever l'eau du bassin avant le début de la compétition ;

- Le hockey subaquatique, à condition qu'un seul joueur à la fois se trouve en train de respirer en surface ;

- L'haltérophilie, à condition de remplacer la magnésie par de l'hydroxychloroquine réduite en poudre ;

- L'escalade, à condition que le pratiquant enduise chaque prise de gel hydroalcoolique après utilisation ;

- Le tennis, à condition de changer les balles après chaque jeu, avec interdiction de monter au filet (c'est Sharapova qui va être contente) et obligation de faire rebondir la balle au moins 20 fois avant de servir pour débarrasser le feutre du virus (c'est Djokovic qui va être content) ;

- Le tennis de table, uniquement en plein air avec présence de vent latéral. La pratique est également possible en intérieur si la table est installée dans la cabine pressurisée d'un avion ;

- Le squash, à condition qu'un seul joueur à la fois se trouve dans la cabine, celle-ci devant être aérée pendant une heure avant l'entrée de son adversaire ;
- Le ski de descente, à condition de retirer les filets de sécurité qui font de la piste un espace confiné ;

- Le biathlon, avec possibilité pour les concurrents d'abattre tout adversaire ne respectant pas les mesures de distanciation ;

- Le patinage artistique, en limitant les couples à une seule personne, et en transformant le kiss'n'cry en check'n'cry ;

- La luge et le skeleton, à condition que le concurrent se contente de pousser son engin et le laisse descendre sans monter dessus (il risquerait de contaminer toute la piste) ;

- Les sports hippiques, avec les chevaux seuls en piste et les jockeys en télétravail ;

- La corrida, mais sans torero parce que c'est cruel. On lâche juste un taureau en colère dans l'arène histoire qu'il fasse un tour pour se calmer ;

- Le rubgy, seulement par temps pluvieux car une forte hygrométrie réduit la virulence du virus, et en adaptant toutes les phases de jeu afin de toujours respecter une distance d'un mètre entre les joueurs. Ainsi, les mêlées seront remplacées par des pénalités. Le ballon devra être désinfecté au gel hydroalcoolique à chaque arrêt de jeu. Le french flair pourra être mis en œuvre aux risques et périls de chaque joueur, qui devra signer une décharge en ce sens avant le match ;

- Le football, réduit à des séances de tirs au but. Les gardiens auront l'interdiction de porter des gants car ils constituent des terrains de prolifération ;

- Le hockey sur gazon, uniquement pour les indiens, parce que 22 personnes sur un demi-hectare c'est forcément mieux en termes de distanciation qu'un bidonville de Calcutta ;

- Le sport automobile sur circuit, à condition que le pilote s'occupe seul de ses pit-stops ;

- L'aviron, exclusivement sans barreur (cet inconscient qui fait face à ses coéquipiers et, au mépris de toutes les mesures barrières, leur postillonne à la figure pendant toute la course)  ;

- La pétanque, mais sans cochonnet (celui-ci risquant d'être touché par des personnes différentes) ; sauf à Marseille car on y meurt moins qu'ailleurs,  c'est Chabrière (tu brûles mon esprit...) qui l'a dit ;

- Le billard français, car chaque bille a un r0 maximum de seulement 2 (contre 15 au billard américain) ;

- Le poker, à condition que chaque joueur ait son propre jeu de cartes et récupère ses jetons après chaque donne ;

- Les échecs, les dames, le go, l'othello/reversi et l'abalone, à condition que les joueurs n'échangent pas les couleurs d'une partie à l'autre ;

- Le bridge, à condition que les joueurs aient un test PCR négatif avant la partie. Sinon, un mort covid+ à chaque donne, ça ferait trop gonfler les statistiques ;

- Le parachute ascensionnel, à condition de rester 14 jours confiné dans les airs avant de pouvoir redescendre ;

- La force basque, à condition d'être basque (ou corse, ou breton), parce qu'on n'empêche pas comme ça certains peuples de faire ce qu'ils veulent quand ils veulent ;

- Le sloubi, sans les bouts de bois (pour des raisons d'hygiène évidentes) et sans chante-sloubi (pour éviter la contamination par goutelettes) ;

- Le gober de Flanby, seul sport sans danger car le pratiquant n'utilise pas les mains et ne fait qu'inspirer.

 

Certains de ces amendements étant parfois contradictoires, il y a fort à parier que des arbitrages devront être faits. Pour l'assister en la matière, le gouvernement compte faire appel à l'ancien arbitre de football Alain Sars.

Enfin, les compétitions internationales seront maintenues mais, afin d'éviter un rassemblement trop important de sportifs, ne pourront y participer que les nations dont le ministre des sports est une femme avec un nom comportant exactement six syllabes.

[erbaton25]

[chab]

pas mieux !

[Lejeun]

[Blanche Neige]

[tracy]

La marraine de mon père (autour des 90 ans) s'est cassée la cheville.

Elle est allée aux urgences, a contracté le virus et est morte une semaine plus tard.

 

Sinon prions pour cela se concrétise :

 

http://www.msn.com/f...plPu?ocid=ientp

[tracy]

En exclusivité, voici les amendements proposés par les groupes parlementaires de l'Assemblée Nationale concernant le sport.

 

Sont autorisées sous conditions les disciplines d'athlétisme suivantes :

- Les courses courues en couloir et sans haies pourront être disputées par 2 (un coureur au couloir 1, l'autre au couloir extérieur), et de manière individuelle. Les relais restent interdits car le virus survit sur le témoin ;

- Le saut à la perche, à condition de désinfecter la barre après chaque essai ;

- Le triple saut, car à nombre de sauts égal il divise par 3 tout risque de contamination par rapport au saut en longueur. Toutefois, chaque participant devra être muni de son propre bac à sable, l'installer avant chaque tentative et le retirer ensuite ;

- Le lancer du disque et du marteau, à condition de porter un masque car une cage est par définition un espace confiné et les concurrents postillonnent partout en criant à chaque lancer ;

- Le marathon, à condition d'être muni d'une pièce d'identité permettant de prouver à tout moment qu'on est à moins de 100km de son domicile ;

Sont également autorisés sous conditions les autres sports suivants :

- Le cyclisme sur piste (poursuite individuelle uniquement afin de respecter la distanciation) ;

- La gymnastique, réduite à deux agrès (poutre et saut de cheval) qu'il est interdit de toucher avec les mains ;

- Le volley-ball, à condition d'interdire le contre ;

- Le golf, avec une limite de 18 participants, chacun se voyant attribuer un trou qu'il devra faire 18 fois ;

- L'escrime, à condition que les masques respectent les normes Afnor de filtration ou, à défaut, de ne pratiquer que le fleuret avec des armes d'1,5m ;

- La lutte gréco-romaine (seulement la partie romaine) ;

- Le sumo, à condition que les pratiquants aient un IMC inférieur à 25. Au-delà, ils sont des sujets à risque ;

- La plongée sous-marine, exclusivement avec bouteilles, en veillant à respecter les gestes barrières également sous l'eau ;

- Le plongeon de haut vol, à l'une des deux conditions suivantes : soit changer l'eau du bassin après chaque saut, soit enlever l'eau du bassin avant le début de la compétition ;

- Le hockey subaquatique, à condition qu'un seul joueur à la fois se trouve en train de respirer en surface ;

- L'haltérophilie, à condition de remplacer la magnésie par de l'hydroxychloroquine réduite en poudre ;

- L'escalade, à condition que le pratiquant enduise chaque prise de gel hydroalcoolique après utilisation ;

- Le tennis, à condition de changer les balles après chaque jeu, avec interdiction de monter au filet (c'est Sharapova qui va être contente) et obligation de faire rebondir la balle au moins 20 fois avant de servir pour débarrasser le feutre du virus (c'est Djokovic qui va être content) ;

- Le tennis de table, uniquement en plein air avec présence de vent latéral. La pratique est également possible en intérieur si la table est installée dans la cabine pressurisée d'un avion ;

- Le squash, à condition qu'un seul joueur à la fois se trouve dans la cabine, celle-ci devant être aérée pendant une heure avant l'entrée de son adversaire ;
- Le ski de descente, à condition de retirer les filets de sécurité qui font de la piste un espace confiné ;

- Le biathlon, avec possibilité pour les concurrents d'abattre tout adversaire ne respectant pas les mesures de distanciation ;

- Le patinage artistique, en limitant les couples à une seule personne, et en transformant le kiss'n'cry en check'n'cry ;

- La luge et le skeleton, à condition que le concurrent se contente de pousser son engin et le laisse descendre sans monter dessus (il risquerait de contaminer toute la piste) ;

- Les sports hippiques, avec les chevaux seuls en piste et les jockeys en télétravail ;

- La corrida, mais sans torero parce que c'est cruel. On lâche juste un taureau en colère dans l'arène histoire qu'il fasse un tour pour se calmer ;

- Le rubgy, seulement par temps pluvieux car une forte hygrométrie réduit la virulence du virus, et en adaptant toutes les phases de jeu afin de toujours respecter une distance d'un mètre entre les joueurs. Ainsi, les mêlées seront remplacées par des pénalités. Le ballon devra être désinfecté au gel hydroalcoolique à chaque arrêt de jeu. Le french flair pourra être mis en œuvre aux risques et périls de chaque joueur, qui devra signer une décharge en ce sens avant le match ;

- Le football, réduit à des séances de tirs au but. Les gardiens auront l'interdiction de porter des gants car ils constituent des terrains de prolifération ;

- Le hockey sur gazon, uniquement pour les indiens, parce que 22 personnes sur un demi-hectare c'est forcément mieux en termes de distanciation qu'un bidonville de Calcutta ;

- Le sport automobile sur circuit, à condition que le pilote s'occupe seul de ses pit-stops ;

- L'aviron, exclusivement sans barreur (cet inconscient qui fait face à ses coéquipiers et, au mépris de toutes les mesures barrières, leur postillonne à la figure pendant toute la course)  ;

- La pétanque, mais sans cochonnet (celui-ci risquant d'être touché par des personnes différentes) ; sauf à Marseille car on y meurt moins qu'ailleurs,  c'est Chabrière (tu brûles mon esprit...) qui l'a dit ;

- Le billard français, car chaque bille a un r0 maximum de seulement 2 (contre 15 au billard américain) ;

- Le poker, à condition que chaque joueur ait son propre jeu de cartes et récupère ses jetons après chaque donne ;

- Les échecs, les dames, le go, l'othello/reversi et l'abalone, à condition que les joueurs n'échangent pas les couleurs d'une partie à l'autre ;

- Le bridge, à condition que les joueurs aient un test PCR négatif avant la partie. Sinon, un mort covid+ à chaque donne, ça ferait trop gonfler les statistiques ;

- Le parachute ascensionnel, à condition de rester 14 jours confiné dans les airs avant de pouvoir redescendre ;

- La force basque, à condition d'être basque (ou corse, ou breton), parce qu'on n'empêche pas comme ça certains peuples de faire ce qu'ils veulent quand ils veulent ;

- Le sloubi, sans les bouts de bois (pour des raisons d'hygiène évidentes) et sans chante-sloubi (pour éviter la contamination par goutelettes) ;

- Le gober de Flanby, seul sport sans danger car le pratiquant n'utilise pas les mains et ne fait qu'inspirer.

 

Certains de ces amendements étant parfois contradictoires, il y a fort à parier que des arbitrages devront être faits. Pour l'assister en la matière, le gouvernement compte faire appel à l'ancien arbitre de football Alain Sars.

Enfin, les compétitions internationales seront maintenues mais, afin d'éviter un rassemblement trop important de sportifs, ne pourront y participer que les nations dont le ministre des sports est une femme avec un nom comportant exactement six syllabes.

 

Quel talent !     

[klijnjan]

repose-toi !