L'option 1 serait celle qui m'apparaît "évidente" à l'instant T, mais la 4 me semblerait logique, aucun actionnaire n'ayant la surface critique pour subvenir à un FCSM ambitieux à revenir dans le monde professionnel.
Il faut prendre l'exemple d'autres clubs de sous-préfectures qui réussissent : Angers, Reims, Brest, Bastia, Guingamp. L'idée du consortium d'entrepreneurs locaux à la Guingampaise serait intéressant à étudier. Là-bas ils ont une centaine d'actionnaires qui mettent une somme tous les ans dans le capital du club (indépendamment du sponsoring du club qu'ils assurent aussi). Quelques dizaines de milliers d'euros en général. Ca devrait être jouable dans l'Aire urbaine Belfort-Montbéliard et même en visant la Franche-Comté.
Mais la difficulté financière sera toujours présente temps que :
- le loyer et le fonctionnement du stade couteront aussi cher (quelque-chose doit être possible là-dessus et j'ai plein d'idées pour aider à la décision des élus mais je ne m'en mêle plus)
- le centre de formation coutera aussi cher (là y a un travail de fond à entreprendre. Là encore y a des points facilement améliorables selon moi : réduction des coûts, sponsoring, ouverture du centre sur le territoire, opérations ponctuelles pour aider l'association à gérer à 100% la pré formation, investissements pour réduire les coûts de fonctionnement (car le problème du club c'est qu'à chaque fois qu'il demande un investissement ça augmente nos coûts de fonctionnement derrière... il faut inverser le logiciel !), demandes précises au Rectorat pour obtenir des sub, profiter du statut de SCIC pour faire des choses (ce statut a un intérêt majeur mais personne ne souhaite l'activer...). Mais je laisse ceux qui ont le pouvoir, diriger et choisir leurs priorités.