Après la douleur, la colère, place maintenant aux actes. Si nous sommes effectivement en guerre, il faut en finir avec le blabla des politiques et passer à l'action sur différents plans.
1. intérieur :
- on nous dit que 4000 personnes sont radicalisées et capables de passer à l'acte : qu'on les empêche d'agir en les enfermant. Guantanamo a été beaucoup critiqué mais c'est une réponse à un état de guerre.
- on nous dit qu'il existe 80 mosquées salafistes radicales : qu'on les ferme et qu'on poursuive les imams radicaux.
- descente de l'armée dans les cités pour récupérer les armes de guerre
- fermeture (réelle) des frontièresSi pas français -> dehors, sinon, déchéance de la nationalité.
- reprise en main des écoles, avec restauration de l'autorité (quitte à foutre les parents dehors)
2. extérieur
- on en en guerre contre l'EI ? Et bien qu'on le fasse vraiment et pas seulement avec 2 missiles envoyés en 3 ans de "guerre".
- attaque des réseaux de financement de l'EI.
- ça n'est pas parce qu'on fait du commerce (armes notamment) avec certains pays du Moyen-Orient qu'il ne faut pas qu'on (se) pose les bonnes question
Ca fait un peu yaka faukon, il n'y a pas de solution miracle, cela prendra du temps et il y aura encore des morts mais nos politiques doivent avoir le courage d'initier ces actions.
S'il ne font rien, le risque sera double : perdre contre l'islam radical bien sûr, mais aussi que des français (d'extrême droite ou pas) le fassent eux-même en tapant n'importe comment, au hasard (une bombe dans une mosquée, ...), provoquant une guerre civile.
Si nous sommes en guerre, ça n'est pas avec des likes, des tweet, des bougies ou des paroles qu'on la gagnera.
EDIT : je viens de voir les 2 messages au dessus. C'est une bon début mais pas un fin en soi.
quelques remarques quand même
"on nous dit que 4000 personnes sont radicalisées et capables de passer à l'acte : qu'on les empêche d'agir en les enfermant. Guantanamo a été beaucoup critiqué mais c'est une réponse à un état de guerre." Guantanamo a posé plus de problème qu'elle n'en a résolu. On n'enferme pas des gens comme ça. Soit ils sont reconnu d'apologie de quelque chose de condamnable ou d'actes grave mais sinon de quel droit les mettons nous en prison/résidence surveillée ?
"Si pas français -> dehors, sinon, déchéance de la nationalité." Attention le droit international ne nous permet pas de créer des apatrides !
"- descente de l'armée dans les cités pour récupérer les armes de guerre" l'armée n'est pas une réponse appropriée à une situation de police (rappelez vous de l'Algérie et au blanc seing donné aux paras). GIGN, GIPN, RAID et groupes des BRI sont là pour ça. Si sur le théâtre Irako-Syrien l'armée a toute sa raison d’être, les interventions intérieures doivent être du ressort du ministère de l'Intérieur et de la Justice.
Sinon "- attaque des réseaux de financement de l'EI.": point essentiel de la lutte contre EI. Notamment faire cesser les trafics de pétrole à la frontière turque
Merci de rétablir le Droit.