Jean-Claude Plessis a été le héros malheureux de sa fête d’adieux.
Jean-Claude Plessis, le président du Football Club Sochaux-Montbéliard –qui reste en fonction jusqu’au 30 juin prochain-, se souviendra longtemps de la fête qu’il avait concoctée pour ses adieux francs-comtois. Après avoir débuté par un barbecue géant, la journée de mercredi s’est malheureusement terminée au commissariat pour le patron des « Jaune et Bleu ». Lors d’une soirée karaoké dans un bar montbéliardais, les policiers sont en effet intervenus à 22 h pour tapage nocturne et sont tombés nez à nez sur un président plutôt récalcitrant. Accusé d’outrage à agent, Jean-Claude Plessis a été conduit au poste, menotté. Il a été libéré à minuit.
De là à ce qu'alain formais éprouve une sympathie subite pour la police...
Faisons toute la lumière sur cette triste affaire. A cette soirée, notre futur ex-président avait convié certains joueurs avec qui il entretient de bonnes et anciennes relations.
Aux alentours de 22h, JCP a convié Teddy Richert à chanter avec lui en duo "l'été indien" de Joe Dassin. Lorsque notre gardien semi-divin et notre président-démissionnaire-qui-se-voyait-au-PSG ont entonné en choeur "on ira où tu voudras quand tu voudras", la panique s'est emparée de l'auditoire et le patron de l'estaminet n'a eu d'autre solution que de faire appel aux forces de l'ordre, afin d'éviter que cette sympathique soirée ne dégénère en bain de sang.