Apparemment il finit 837ème sur 1545 "finishers"
Le truc dont tout le monde se branle
#20521
Posté 02 septembre 2013 - 10:03
Apparemment il finit 837ème sur 1545 "finishers"
#20522
Posté 02 septembre 2013 - 21:52
#20523
Posté 02 septembre 2013 - 22:04
#20524
Posté 02 septembre 2013 - 22:13
Tu es également 4ème au jeu des pronos sur Ps (et sur 24 + vrais joueurs)
Le nom des fous est écrit partout, le nom des fins est écrit sans fin
#20525
Posté 02 septembre 2013 - 22:21
Tu es également 4ème au jeu des pronos sur Ps (et sur 24 + vrais joueurs)
Et leader au jeu de PS par équipes !
#20526
Posté 02 septembre 2013 - 22:52
#20527
Posté 02 septembre 2013 - 23:33
#20528
Posté 03 septembre 2013 - 08:04
A tribe called quest represent, represent
#20529
Posté 03 septembre 2013 - 08:47
#20530
Posté 03 septembre 2013 - 08:58
A tribe called quest represent, represent
#20531
Posté 03 septembre 2013 - 11:12
#20532
Posté 03 septembre 2013 - 11:55
Il y a surement des acheteurs potentiels sur planete-om.
#20533
Posté 03 septembre 2013 - 12:12
Il y a surement des acheteurs potentiels sur planete-om.
Moi il me reste le Monaco-Sochaux de funeste mémoire...
A tribe called quest represent, represent
#20534
Posté 03 septembre 2013 - 13:27
SALL, The pride of Juraside
#20535
Posté 03 septembre 2013 - 17:55
Tout le monde !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
#20536
Posté 03 septembre 2013 - 18:00
#20537
Posté 03 septembre 2013 - 19:16
Selon vous, y a quoi comme bon rapport qualité/prix en défenseurs-buteurs et milieux-buteurs ? (dans ce jeu, c'est important qu'un joueur marque des buts dans la réalité)
Ils vont tous se jeter sur les Cavani, Falcao, etc. donc faut que je tire mon épingle du jeu en misant sur les joueurs qui marquent pas mal pour leur poste et qui coûtent moins cher.
Pareil pour le gardien, ils savent que je veux Pouplin donc ils vont faire exprès de monter les prix, faut que je trouve un substitut moins cher...
#20538
Posté 03 septembre 2013 - 20:22
Selon vous, y a quoi comme bon rapport qualité/prix en défenseurs-buteurs et milieux-buteurs ? (dans ce jeu, c'est important qu'un joueur marque des buts dans la réalité)
Ils vont tous se jeter sur les Cavani, Falcao, etc. donc faut que je tire mon épingle du jeu en misant sur les joueurs qui marquent pas mal pour leur poste et qui coûtent moins cher.
Y'a un joueur qui s'appelle Mayuka, il parait que c'est un crack mais peu de gens le savent. Tente ta chance !
A tribe called quest represent, represent
#20539
Posté 03 septembre 2013 - 21:59
Selon vous, y a quoi comme bon rapport qualité/prix en défenseurs-buteurs et milieux-buteurs ? (dans ce jeu, c'est important qu'un joueur marque des buts dans la réalité)
Ils vont tous se jeter sur les Cavani, Falcao, etc. donc faut que je tire mon épingle du jeu en misant sur les joueurs qui marquent pas mal pour leur poste et qui coûtent moins cher.
Pareil pour le gardien, ils savent que je veux Pouplin donc ils vont faire exprès de monter les prix, faut que je trouve un substitut moins cher...
Jette ton dévolu sur les joueurs qui tirent les coups de pieds arrêtés, ça fait des buts et des assists.
Crawl back to the top
Something pulls you up
And a voice says you can't stop
Then I started swimming
I was going down
But now I started
Winning
#20541
Posté 07 septembre 2013 - 21:38
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Critères pour choisir un sport : si tu es grand, tu peux faire basketeur; si tu es costaud, tu peux faire rugbyman; si tu es con, tu peux faire footballeur.
#20542
Posté 08 septembre 2013 - 15:02
Difficile de trouver les mots tellement j'ai souffert alors je vais y aller de façon chronologique.
Tout d'abord, on peut difficilement s'empêcher de faire la course avant la course. 168 km, c'est environ 3*55 que je me disais. A l'UTTJ (course de Saint-Claude, 110 km sur 2 jours), je fais entre 8 et 9 h pour la même chose. En plus, l'année dernière, j'avais mis 19h30 pour les 110 avec une météo épouvantable. La reconnaissance d'août qui nous avait vu enchainer tous les cols importants du parcours sur trois jours m'avait conforté. J'étais bien, autant que je pouvais l'être même si ma tendinite au genou droit et ma gène au tendon d’Achille gauche me donnaient quelques nuits des sueurs froides. Je m'imaginais alors que 3*12 h pour faire cette distance serait raisonnable. Avec les frères, on partait donc sur un objectif de 36 à 40 h avec quand même une nette préférence pour les 36 h.
Contrairement à l'année dernière, la météo était superbe. La chance était là. Après avoir fait quasi toutes les courses (sauf l'UTTJ) de l'année dans la boue et/ou le froid, ça s’annonçait bien. Ca s'annonçait surtout comme un tour du Mont-Blanc, un vrai cette fois !
Comme l'année dernière, le départ était monstrueux d'émotion, la musique, la foule, tout était là ! Je retrouvais même Yann, mon collègue de douleur du deuxième jour de l'UTTJ. Nos filles avaient fait la mini-UTMB ensemble la veille, je comptais bien faire l'UTMB avec lui vu qu'on avait le même objectif. Comme je me trompais.
C'est parti, on commence doucement à trottiner dans les rues de Chamonix puis plus rapidement vers le Gaillands. Tout va bien, les jambes, l'ambiance. Tout. Sur le chemin des Houches, on croise les Roy. Super sympa de voir des têtes connues dans cette foule. On les laisse derrière nous, les jambes sont là, chacun son rythme, c'est un peu la règle dans ce genre de course. On arrive aux Houches et je perd Yann qui s'arrête beaucoup moins longtemps. Mais je me dis qu'on le reverra. Ce qui sera vrai, on le reverra deux fois rapidement mais il ira définitivement plus vite que nous. La montée du Delevret va plutôt bien, on remonte doucement la foule, ça donne des ailes. Puis la première descente, en faisant attention de ne pas durcir les cuisses. Antoine décide de rester avec nous au moins jusqu'à Courmayeur. Il est bien mais on va aussi vite que lui en montée et il ne veut pas attaquer trop tôt en descente, la route est longue.
On quitte Saint-Gervais et on se lance sur le Chemin des Contamines, le soleil faiblit, moi aussi. La route n'est pas très dure mais sur une faute d’inattention, je me tords la cheville sur une pierre. La douleur est soudaine, je cris mais ça tient, ça re-chauffe. J'ai juste un point de douleur. Mais je suis atteint, je ne pense qu'à ça. Le reste se passe bien, l'organisation a quand même ajouter une vraie jolie montée par rapport à l'année dernière. Juste avant les Contamines, je m'effondre mentalement : le crépuscule, la cheville, ce qui nous attend. J'ai les larmes aux yeux et je n'ai fait que 30 km. Qu'est ce que je fous là. Mon petit frère me dit deux trois paroles réconfortantes et on arrive au ravito. Mon point faible, c'est la tête, tout le monde le sait, ils n'auront de cesse de m'encourager. La famille est là. Gros câlins de ma fille. Maintenant je sais ce que je fous là. J'ai pas le droit d'arrêter. J'inflige à mes filles et à ma femme des séances d'entrainements tous les deux jours et je me plains. La décision est prise, quoi qu'il arrive, je serai finisher, ne serait-ce que pour eux et pour les accompagnateurs qui sur toutes les courses, par tous les temps, nous encouragent. Je ne flancherai plus, [mode machine/on].
On se restaure, on s'habille un peu car le froid commence à tomber avec la nuit. On sort la frontale. Et s'est parti pour le col du bonhomme. Ca monte mais on le connais par coeur. Tout va bien. On arrive à la Balme assez en forme. Mais là, il faut quand même mettre le bonnet car ça pelle finalement à 2000. On repart. Et là, je regarde en arrière et ce sera une des images les plus marquantes de la course, la montée du col n'est qu'une suite ininterrompue de frontale. Un long ruban lumineux dans la nuit noire sous le ciel étoilé ! Superbe. Le col est mangé sans trop de problème, la croix du bonhomme ne donne pas plus de difficulté. Commence la descente vers les Chapieux. C'est plus dur mais ça passe encore. A l'arrivée aux Chapieux, surprise, contrôle des sacs pour voir si on a le matériel obligatoire. Il fait froid aux Chapieux. On perd un peu de temps au ravito sur l'horaire mais on est encore largement dans les temps. Sur le planning téléchargé pour planifier les temps de passage, les montées sont sous évaluées mais il descend vite le bougre ! On entame alors la montée interminable vers le col de la Seigne. 10 km, 800 m de D+ mais surtout, les 5 premiers se font sur route. On part tranquille et on ferme les yeux dans la montée pour profiter de ce terrain facile pour essayer de dormir en marchant. Après la ville des glaciers, les choses sérieuses commencent. Et pour moi, mon premier coup de mou physique. Mes frères partent et dans la nuit noire, je les perds vite. Me voilà seul face au col. J'ai beaucoup de camarades de galère. Je me fixe sur un rythme et me dit que mes frères m'attendront bien en haut. Au fil des minutes, ça commence à aller mieux, peut-être une petite hypoglycémie passagère. J’accélère un peu car je crois reconnaître les vestes de mes frères. Ils ne sont pas si loin finalement. Je les rattrape, les double et finit sur ce même rythme. Ils sont dans "ma roue". On reprend pas mal de temps sur la Seigne. La descente est moins rose. Les longs plats avant le refuge Elisabetha et le long du lac Combal sont difficiles. Je suis fatigué. On court très peu le long du Combal. L'arête du Mont-Favre arrive, j'ai sommeil. On monte sur un rythme correct mais mes yeux se ferment tout seuls, je suis mes frères dans un demi-sommeil mais on arrive en haut sans trop de difficulté. Je dormirai à Courmayeur. Jamais décevante la descente sur Courayeur, c'est technique, vallonnée mais quand même roulant jusqu'au Col Checrouit, c'est technique, difficile et raide voir douloureux jusqu'à Courmayeur. Je fais la descente car ça va plutôt mieux. L'arrivée au centre sportif fait du bien, le soleil se lève, on est dans les temps des 36 h, un peu plus de 14h15 pour arriver là. Tout va bien. La famille est là. On se change, on mange mais surtout on arrive à dormir un peu sur les matelas. En revanche, au lieu des 30 min d'arrêt prévu, c'est 1h30 au final. Juste avant de repartir, c'est Angèle que l'on croise. Elle nous montre ses genoux en sang, elle nous dit qu'elle est seule depuis la descente du Delevret. Mais c'est difficile de s'attendre. Et pourtant, elle ne sera pas loin au final. On repart pour Bertone, la seule partie jusqu'à Arnouva que l'on ne connait pas. Antoine nous dit qu'à partir de maintenant, c'est chacun pour soi. Il part vite dans Bertone et assez vite, on ne le voit plus. Je suis un peu devant Arnaud qui a pris du temps pour gérer son GPS. La montée est dur, il commence à faire chaud. Sur le haut, l'hélico image nous envoie plein de vent et de poussière : génial. En haut, on retrouve Antoine qui nous a mis au final que trois minutes. Il attend qu'on ai fini avant de repartir. On restera maintenant toujours ensemble.
Commence la première partie difficile. On se fait un monde des montées mais le plus dur, c'est le plat et les descentes. Le refuge Bonatti, il est où ce p..... de refuge Bonatti. C'est interminable. Et puis Arnouva, ça arrive quand Arnouva. C'est en balcon et c'est magnifique mais qu'est ce que c'est long.
A Arnouva, on rencontre un visage connu. Malheureusement, le dossard est découpé. Il nous raconte qu'il n'en peut plus. Le visage est marqué. Il ne peut plus rien manger. Il reviendra. J'en profite pour passer chez les kinés (deux jeunes filles de Dole et Besançon), programme soins des pieds et je leur raconte mes début de tendinites. Du coup, je suis strappé au tendon d'Achille. On avait quasi récupéré le temps perdu à Courmayeur et nous revoilà avec 30 min de retard sur les 36 h. Cela parait quand même de plus en plus possible. La montée du Grand Col Ferret me fait peur, je ne l'avais pas aimée pendant les reco, je ne l'aime toujours pas maintenant. Mes frères partent, je ne renouvellerai pas l'exploit de la Seigne. Cette fois, ils m'attendent un peu en haut. On est pas mal, on a fait 100 km, on est dans les temps des 36 h. On va y arriver. Comme je me trompais.
Commence le calvaire : 20 km jusqu'à Isser avec un arrêt à la Fouly. Le début, on court un peu mais ça devient de plus en plus difficile. On commence à marcher de plus en plus. Les relances se font douloureuses. Les pieds, les cuisses mais surtout les pieds commencent à dire stop. Jusqu'à la Fouly, ça va encore, après la Fouly, ça va plus du tout. On en est à 108 km, il en reste "que" 60. On ne courre plus. On ne peut quasiment plus. La seule chose à laquelle je pense : il en reste 4 : Champex, Bovine, Catogne et La tête aux vents. 4 montées mais surtout 4 descentes ! Je vais finir car je n'ai plus de doute là dessus mais je ne reviendrai plus, c'est la seule chose que j'ai à l'esprit. Le retard s'accumule sur les 36 h. On vise désormais les 40. Comme je me trompais, quel manque d'humilité.
Mais pourquoi ça doit descendre. Les montées, on les avale, on récupère du temps, dans les descentes, on en perd plus qu'on en avait gagné. Le long chemin de croix vers Isser se termine et la montée vers Champex se profile. Pas de gros soucis, elle est avalée. D'abord, mon grand frère fait le rythme puis c'est moi. On emmène même un Japonais sur notre "garde-boue". Comme d'habitude en montée, on reprend pas mal de monde. C'est même un véritable bus que je mène en arrivant à Champex. Le repos est le bien venu. Je "cours" à la tente médicale pour mes tendinites. La kiné me met des "Tapes". Je n'y crois pas trop et pourtant, une fois de plus, j'aurai tord ! Ca marche ces bandes de toutes les couleurs sur les tendons ! Mes tendinites commençaient à me gêner mais ça ira mieux jusqu'au bout ! A Champex, j'essaye de dormir avant d'aborder une nouvelle nuit mais je tremble tellement fort sous la couverture que je décide de retourner dans la chaleur de la tente principale et pose sur mon sac : verdict, 5 min de sommeil qui s'ajoute aux 20 min de Courmayeur.
Il est 19 h, on quitte Champex pour ce que je surnomme dans mon fort intérieur "les trois sœurs". Car sur la carte, elles se ressemblent ces trois bosses, ces foutues trois dernières bosses ! Raides, 800 m de D+ environ, 5 km environ par bosse. Trois, il n'en reste que 3. Avant de partir, je vais voir l'organisation : "Bovine, on le monte par le nouveau ou le vieux chemin ?"
"Par le nouveau, tu verras, ça monte bien mais c'est propre".
Bovine, au reco par le vieux chemin, ça avait été un moment difficile. C'est un mur technique ! Des marches d'un mètre de haut. Le nouveau ça ne peut pas être pire. Ben en fait, c'est vrai, c'est pas pire, mais c'est quand même un mur. Et comme dans toutes les dernières montées, C'est Arnaud qui fait le rythme la plupart du temps. Il avale Bovine, on double du monde mais comme d'habitude, la descente est un long chemin de croix où tout le monde nous redouble. On arrive à Trient. Nous sommes seuls, la famille doit être au lit, c'est la première fois du parcours. En fait, nos parents se sont endormis sur le bord de la route à Trient et ne viendront nous voir que pour notre redémarrage.
Nos arrêts qui ne devait durer que 10 min en font maintenant quasiment 30. Je me gave de soupe aux vermicelles, c'est ce qui passe le mieux même si ça commence à lasser au bout de 30 h. La rencontre de nos parents juste avant de repartir fait du bien et on est parti pour Catogne. Je monte un rythme correct et dirige l'autobus, on est bien 10 à fendre la nuit. Catogne est facile, 5 km de montée-5 km de descente ; 820 de D+, 890 de D-. La descente est longue, plus que la montée, j'ai l'impression. En fait, on se dit en descente que l'on pourrait, on devrait, il faudrait courir mais le corps ne veux plus. Alors qu'en montée, pour la tête, c'est facile. De toute façon, les cuisses ne font plus mal. C'est les pieds qui m’insupportent, chaque pas est une torture.
On arrive à Vallorcine. On n'a normalement plus de suiveurs mais les parents sont là, encore. Quelle santé ! Il est 4 h de matin. Même les 40 h se sont envolées. Allongé au sol, on essaye de récupérer. Encore de la soupe aux vermicelles. Je claque des dents, la fatigue plus que le froid, la fatigue et le froid, la fatigue ou le froid, je ne sais plus. En tout cas, je ne dors pas même si je ferme un peu les yeux. Je me réchauffe sous la chauffeuse au gaz et on repart pour la tête aux vents. Tout d'abord tranquille jusqu'au Montets puis un mur. Mais quel beauté. Le levé du soleil sur le Mont-Blanc, des mouflons qui paissent à 5 m de nous. Je m'arrête 5 min pour dormir sur un cailloux. Je n'en peux plus. Mes frères partent mais ils m'attendront. On n'est pas resté ensemble jusque là pour se séparer. Et commence à nouveau une descente. Arnaud qui jurait depuis 30 km qu'il ne courrait plus se lance dans la descente...en courant. Il a des jambes, je n'ai plus de pieds. La douleur est intense mais je me force, je ne dois pas les laisser partir, je ne veux pas qu'ils m'attendent de trop. Un bref arrêt : la flégère le temps de boire un coup et il ne reste que 8 km, que de la descente on ne peut qu'arriver maintenant. Tous ceux que l'on avait doublé dans la montée nous redouble dans la descente. Certain passe à une vitesse folle. Mais que faisaient ils aussi loin derrière. Mais c'est pas grave, on arrive à Chamonix. Il faut courir le dernier km, tout le monde court le dernier km. Je n'en peux plus. Mes pieds ne sont qu'une souffrance mais ma fille et mon neveu viennent à notre rencontre,. On finit tous ensemble mais j'ai mal. Antoine prend sa fille à 100 m de la ligne, on court encore un peu et puis on s'arrête. Il reste 10 m. Et on va les marcher ces 10 m. On va les savourer !
UTMB 2013 données officielles : 168,7 km - 9796 m de D+ (et de D- du coup) - 41 h 21 min 58 s - 4,60 km/h de moyenne
#20543
Posté 08 septembre 2013 - 15:20
MEGA RESPECT !
#20544
Posté 08 septembre 2013 - 15:58
#20545
Posté 08 septembre 2013 - 16:28
Le nom des fous est écrit partout, le nom des fins est écrit sans fin
#20546
Posté 08 septembre 2013 - 17:19
#20547
Posté 08 septembre 2013 - 17:43
#20548 Invité_David Besançon_*
Posté 08 septembre 2013 - 17:58
Bravo, camarade de pronos !
#20549
Posté 09 septembre 2013 - 08:33
Rien que le récit m'a épuisé.
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Critères pour choisir un sport : si tu es grand, tu peux faire basketeur; si tu es costaud, tu peux faire rugbyman; si tu es con, tu peux faire footballeur.
#20550
Posté 09 septembre 2013 - 08:48
Mais à force de te passionner pour ça, n'as-tu pas peur de prendre le goût de Mont-Blanc ?