- Il était surnommé le "Cantona grec", appelé a remplacer Pagis, élégant selon G. Lacombe, meilleur buteur du championnat Grec en 2004.
- "Le transfert a capoté à cause des agents. J'ai gardé de très bons souvenirs du président Plessis et du staff." (C'est la version de Liberopoulos)
- Mais à priori, selon Genghini, Wantiez et même des supporters présents, l'histoire est un peu plus complexe. Le joueur atterrit à Paris plutôt que Bâle, et voit défiler les km en rase campagne, au moment de valider le contrat, il signe quelques pages, puis demande un instant pour aller discuter avec sa femme (présente elle aussi), mais se casse finalement en taxi en mode furtif.
- Retour sur la version de Liberopoulos selon Wantiez : "L'agent a fait des erreurs : se poser à Paris et ne pas vérifier que sa femme était d'accord... "
- Le maillot floqué Liberopoulos est toujours présent dans les bureaux de Bonal.
- Cette année là, on rate aussi Gimenez, Bulykin mais on gagne Ilan.