Ce constat étant fait, il est inenvisageable que l'union sacrée de l'été dernier ne se poursuive, à minima, jusqu'à la fin de la saison et le maintien obtenu.
Il sera bien temps ensuite, pour les habituelles girouettes, de venir fustiger Tanchot, Plessis, Liénard, ou je ne sais qui encore !
L'équilibre du club est à ce jour encore d'une grande fragilité. Toute action de déstabilisation envers l'entraîneur, les joueurs, la direction, aura pour conséquence l'exact inverse de l'effet recherché.
J'invite donc les plus virulents à calmer leurs ardeurs, et, s'ils ne souhaitent plus soutenir le staff et les joueurs, à ne plus se rendre au stade ou aux entraînements, et à éviter les diverses colportations de rumeurs sur les réseaux sociaux.
Malheureusement, je crains que l'impatience, le besoin de concrétisation instantanée des attentes et le rejet de toute frustration de certains soient plus fort que toute unité.
Et vu les réactions sur Twitter, la gangrène s'étend parmi les supporteurs