t'aurais pu y aller quand même.
Pointage sur l'actu'
#1651
Posté 07 janvier 2006 - 17:44
t'aurais pu y aller quand même.
SALL, The pride of Juraside
#1652
Posté 09 janvier 2006 - 15:14
Le motard australien Andy Caldecott (KTM) est décédé lundi à la suite d'une chute au km 250 de la spéciale de la 9e étape du Dakar 2006, qui reliait Nouakchott à Kiffa en Mauritanie.
«Nous avons appris à 11h57 (GMT) le décès d'Andy Caldecott qui a chuté au km 250», a déclaré le directeur de l'épreuve Etienne Lavigne. «Il est vraisemblablement mort sur le coup. Nous avons été prévenus de l'accident à 11h31 et l'hélicoptère s'est posé à 11h55. La confirmation de sa mort a été donnée à 11h57. Bien évidemment sa famille a été prévenue.»
Caldecott est le 23e concurrent ou membre de la caravane du Dakar à trouver la mort depuis la création de l'épreuve il y a 28 ans.
#1653
Posté 09 janvier 2006 - 15:15
Le motard australien Andy Caldecott (KTM) est décédé lundi à la suite d'une chute au km 250 de la spéciale de la 9e étape du Dakar 2006, qui reliait Nouakchott à Kiffa en Mauritanie.
«Nous avons appris à 11h57 (GMT) le décès d'Andy Caldecott qui a chuté au km 250», a déclaré le directeur de l'épreuve Etienne Lavigne. «Il est vraisemblablement mort sur le coup. Nous avons été prévenus de l'accident à 11h31 et l'hélicoptère s'est posé à 11h55. La confirmation de sa mort a été donnée à 11h57. Bien évidemment sa famille a été prévenue.»
Caldecott est le 23e concurrent ou membre de la caravane du Dakar à trouver la mort depuis la création de l'épreuve il y a 28 ans.
Et combien d'enfants Africains ?
#1654
Posté 09 janvier 2006 - 15:22
#1655
Posté 09 janvier 2006 - 15:26
#1656
Posté 09 janvier 2006 - 20:38
Des agents de la SNCF ont fait bloquer pendant 15 minutes les portes d'une rame du RER D Melun-Paris en gare de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne), en attendant que des renforts de police interpellent 13 jeunes qui venaient de commettre des vols, selon la SNCF.
Des agents de la Suge (surveillance générale de la SNCF) avaient d'abord fait sortir quelques uns des jeunes qui avaient volé des affaires à des passagers d'une rame en gare de Brunoy (Essonne), puis ils ont demandé au conducteur de s'arrêter plus loin, en gare de Villeneuve-Saint-Georges, et de prévenir la police.
A Villeneuve-Saint-Georges, à 15 h 43 d'après la SNCF, trois agents de la Suge accompagnés de cinq policiers ont demandé au conducteur du RER 126-436 de bloquer les portes en attendant que des renforts de police arrivent.
Un quart d'heure plus tard, à 15 h 59 d'après la même source, une trentaine de policiers sont arrivés sur place, selon la police, et ont interpellé 13 jeunes, parmi une vingtaine, qui avaient volé des téléphones portables et des lecteurs MP3 à des passagers du RER.
"DES MESURES DRACONIENNES"
Les 13 jeunes ont été entendus par la police sous procès-verbal et deux d'entre eux ont été placés en garde à vue samedi soir au commissariat de Villeneuve-Saint-Georges. Ils l'étaient toujours dimanche en début de soirée."Les autres jeunes n'auraient pas directement participé au vol", a précisé la police. Trois passagers ont déposé plainte pour vol. Aucune agression physique n'a été signalée, selon la police et la préfecture du Val-de-Marne.
"Le réseau ferroviaire français a-t-il vocation à devenir un terrain de chasse pour délinquants, resquilleurs et autres détrousseurs ?", s'est indigné, dimanche, dans un communiqué, Bernard Aubin, secrétaire général adjoint de la CFTC-cheminots. Estimant que "la sûreté des voyageurs" à bord des trains "n'a pas de prix", le syndicat a réclamé "des mesures draconiennes", soulignant qu'il fallait "rassurer les voyageurs par la présence ostensible d'agents de la surveillance générale, aidés s'il le faut pas des agents de la force publique".
L'incident du Melun-Paris intervient six jours après que les passagers d'un train Nice-Lyon ont vécu un trajet d'enfer le dimanche 1er janvier, des dizaines de jeunes gens les ayant agressés, menacés et rançonnés.
Selon un sondage Ifop publié dans l'édition dominicale de Ouest France, près d'un Français sur trois (32%) se sent souvent ou parfois en insécurité lorsqu'il prend le train.
Le ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy, avait annoncé, mercredi, que 1 000 à 1 500 policiers seraient affectés dès 2006 à "un service national de la police ferroviaire", généralisant ainsi un service créé en Ile-de-France en 2003 et étendu en septembre à Marseille, Lyon et Lille. Les syndicats de police se sont interrogés sur les moyens humains affectés à cette future police ferroviaire.
Le Monde
Les daltons ont encore frappé !
decidément l'Union Pacific n'est plus sure, pour mes prochains périples je lui préfèrerai la Well's Fargo.
#1657
Posté 09 janvier 2006 - 21:33
#1658
Posté 09 janvier 2006 - 21:37
#1659
Posté 09 janvier 2006 - 21:52
#1660
Posté 09 janvier 2006 - 22:01
#1661
Posté 09 janvier 2006 - 22:09
Parce que Sarko et Melun : sécurité.
#1662
Posté 09 janvier 2006 - 22:10
6e et 7e zone du RER c'est la campagne, non?
http://www.ratp.fr/
#1663
Posté 09 janvier 2006 - 22:22
#1664
Posté 09 janvier 2006 - 22:25
#1665
Posté 09 janvier 2006 - 22:40
En soirée vaut mieux etre prudent sur n'importe quelle ligne de banlieue, sauf pour celles qui vont à versailles
#1666
Posté 10 janvier 2006 - 13:43
#1667
Posté 10 janvier 2006 - 13:46
A chaque fois que je le prends c'est tard le soir ou tôt le matin et il ne m'est jamais rien arrivé.
#1668
Posté 10 janvier 2006 - 13:58
Parce que Sarko et Melun : sécurité.
Pas mal !
#1669
Posté 10 janvier 2006 - 13:58
#1670
Posté 10 janvier 2006 - 14:00
Parce que Sarko et Melun : sécurité.
Pas mal !
Cool, un qu'a vu.
#1671
Posté 10 janvier 2006 - 14:05
#1672
Posté 10 janvier 2006 - 15:03
#1673
Posté 10 janvier 2006 - 15:29
http://www.liberatio...?Article=350195
Le ministre déforme les conclusions d'une étude sur l'apprentissage de la lecture.
par Emmanuel DAVIDENKOFF
mardi 10 janvier 2006
Gilles de Robien a ses pudeurs. Présentant sa circulaire «anti-méthode globale» (Libération du 6 janvier), le ministre de l'Education se réfère à un rapport commun de l'Inspection générale et de l'Observatoire national de la lecture (ONL), dont il a distribué un court extrait. Or l'intégralité de ce rapport, intitulé L'apprentissage de la lecture à l'école primaire, que Libération s'est procuré, révèle une problématique bien différente. L'opposition «méthode globale» versus «méthode syllabique» y est en effet qualifiée de «dépassée» ; un jugement qui n'a pu échapper au ministre et à ses conseillers, puisque la phrase caviardée apparaît, dans la VO, une ligne au-dessus de l'extrait diffusé à la presse.
Ce rapport articule en fait «le véritable enjeu [de l'apprentissage de la lecture] ailleurs», notamment autour de la pratique des enseignants. Et relève des «résistances» dans l'application des recommandations officielles. Dès la maternelle, selon le rapport, l'enseignement serait insuffisamment individualisé : «Les moments de langage sont le plus souvent proposés au groupe classe rassemblé et renforcent, de fait, les compétences des élèves qui les possèdent déjà.» Et ce que les élèves ont compris n'est pas assez vérifié. La chasse aux manuels scolaires hétérodoxes lancée par Robien trouve néanmoins quelque fondement : les livres conformes aux nouveaux programmes «commencent à voir le jour chez les éditeurs» et sont loin d'avoir pénétré toutes les salles de classe. Plus proche encore du leitmotiv de Robien, le rapport précise que «l'étape de la syllabe orale n'est pas suffisamment travaillée» en grande section de maternelle et en CP. Mais il dénonce plus, là encore, un manque d'entraînement qu'un défaut de méthode.
«Déchiffrage». Idem au niveau du cours préparatoire, où la critique porte surtout sur la mise en oeuvre : «L'enseignement de l'identification des mots est le plus souvent insuffisant (temps trop court, supports mal adaptés en particulier lorsque l'apprentissage se fait sur des albums).» L'articulation déchiffrer-comprendre serait aussi mal assurée : «Le travail de compréhension se limite souvent à la découverte plus ou moins guidée du texte utilisé pour l'apprentissage du déchiffrage.»
Quant au CE1, censé garantir «le passage du déchiffrage à la lecture courante», il tendrait à devenir «une classe de différenciation», où les meilleurs seraient entraînés vers des activités de niveau CE2 et au-delà, tandis que d'autres peinent «du fait d'un entraînement insuffisant en CP». Le rapport est alarmant : «Les disparités de compréhension (...) sont devenues gigantesques. Le devenir des élèves en difficulté moyenne se joue dans cette classe.»
Bilan mitigé. Les conclusions de cette étude sont plus radicales que celles d'enquêtes précédentes. Une Note d'évaluation du ministère d'avril 2005, consacrée aux effets de la réduction des effectifs en CP, faisait état d'«une extrême diversité des pratiques» en matière d'enseignement de la lecture (1). Au point de tirer un bilan mitigé de l'expérimentation des «CP à dix élèves», lancée par Luc Ferry. Cette note estimait que «s'il y a eu des classes dans lesquelles les élèves ont plus progressé que d'autres, ceci est vraisemblablement dû à des effets de contexte ou aux pratiques de leurs enseignants, mais non pas à la taille de leurs effectifs.»
Ceci expliquant cela, toutes les propositions du rapport de l'Inspection générale et de l'ONL portent sur la formation des personnels et non sur la querelle des méthodes, sur laquelle le ministre surfe avec profit depuis un mois. Le syndicat majoritaire des inspecteurs de l'Education nationale (Sien-Unsa) a renvoyé hier le ministre à ses contradictions. Jugeant que «le sujet est à la fois trop sérieux et trop sensible pour en faire un enjeu politicien», il assure que «les inspecteurs joueront le rôle d'interface qui est le leur, mais d'interface intelligente, c'est-à-dire capable d'interpréter les consignes avec discernement pour préserver l'intérêt des élèves et l'efficacité de l'école». Presque un refus d'obéissance.
#1674
Posté 11 janvier 2006 - 16:46
STOCKHOLM (AFP) - Une araignée qui avait élu domicile dans l'oreille d'une Suédoise en a été délogée au bout de vingt-sept jours, a rapporté mercredi le quotidien populaire Expressen.
L'arachnide, de couleur noire, "gros comme l'ongle du pouce", aurait profité du sommeil de son hôte pour prendre place.
La durée du "squat" a pu être établie car la femme se souvient avoir vu et repoussé une araignée sur son lit, un soir de novembre, vingt-sept jours avant la découverte de l'intruse.
Dans un premier temps, la Suédoise a constaté "une baisse de son ouïe" et a pensé qu'il s'agissait d'un bouchon de cire, écrit le quotidien.
Mais c'est en entendant "comme un bruit de grattage" dans son oreille qu'elle s'est procuré en pharmacie un produit nettoyant liquide.
Et l'araignée, vivante, d'en sortir et de se remettre en marche.
#1675
Posté 11 janvier 2006 - 17:09
C'est bien connu que les Blondes ont souvent une araignée au plafond.
#1676
Posté 12 janvier 2006 - 01:43
Boris Vian
#1677
Posté 13 janvier 2006 - 00:03
Un placier musulman, lassé par les insultes de ses collègues, porte plainte.
par Laurence ESPIEU
QUOTIDIEN : jeudi 12 janvier 2006
Bordeaux correspondance
C'est un garçon désabusé. A 35 ans, Omar Djelli était employé à la mairie de Bordeaux, au service des placiers. Il a été recruté en juillet 2005, et en octobre, deux mois avant la fin de son contrat, il présentait sa démission, excédé par des semaines d'insultes et de vexations racistes. Dans une pochette en kraft, il a rassemblé quelques-uns des documents. Cela commence par un délicat courrier : «Pour une mairie propre. Bye Bye! Des collègues heureux !» Missive anonyme reçue chez lui, au lendemain de son départ, dans une enveloppe à en-tête de la mairie. Avant, il y avait eu les collègues qui refusaient de lui serrer la main, les tranches de porc déposées sur son bureau, et une enveloppe «bon ramadan», avec des photos pornos mettant en scène des femmes voilées.
Sur le même sujet
* Une égalité des chances spécieuse
Désordre. Né en France de parents algériens, Omar est musulman pratiquant, ne l'affiche pas mais ne s'en cache pas. Il porte une barbe courte, un duffle-coat et une écharpe à carreaux. «Les trois derniers mois ont été un véritable calvaire», affirme-t-il. Le jeune homme porte plainte à trois reprises, mais ne connaît pas les identités des auteurs. Au bureau, il serre les dents : «J'ai opté pour la désinvolture, sans aucune intention belliqueuse, me référant systématiquement à ma hiérarchie pour dénoncer ces discriminations. J'ai été un bon élève. Mais je n'ai récolté que le silence de l'administration.» Alors aujourd'hui, Omar le militant formé à l'école de SOS Racisme et du MJS tracte devant la mairie et contacte les médias pour raconter son histoire. Et là, ça fait désordre.
«Cette affaire prend une tournure très malsaine», déplore Claude Bocchio, l'adjoint aux ressources humaines. Le cas d'Omar s'envenime : «Il ne faut pas jeter l'opprobre sur la totalité du personnel pour un cas isolé. Au service des placiers il y a eu des réactions blessées d'agents qui se sont sentis attaqués par ces allégations.» Drôle de façon de condamner ces actes. Une enquête interne a été diligentée, mais elle n'a débouché sur rien. Et la mairie a porté plainte contre X pour actes racistes. L'administration se retranche donc derrière la justice, lui «laissant le soin» de faire toute la lumière sur l'affaire. Quant au maire, il ne souhaite pas s'exprimer «tant que les faits ne sont pas avérés».
Précédents. Le problème, c'est que la mairie n'en est pas à sa première affaire du genre. Farid Saadi, 32 ans, d'origine kabyle, travaillant, lui, au service propreté, a aussi subi insultes et menaces. Il a tenu bon, faisant le dos rond face à un «petit chef» qui appelle à «nettoyer les Arabes au lance-flammes», à «les pendre comme des cochons» ou à «rouvrir les camps de concentration». Plus tard, il découvre des boîtes de cartouches vides dans son casier ou des affiches de Le Pen placardées sur sa voiture.
Après deux ans et demi de dépression, Farid Saadi a obtenu un procès et fait condamner son collègue en 2004. L'agent raciste a écopé de cinq ans d'emprisonnement avec sursis et de 40 000 euros d'amende. Mais de la part de son employeur, la mairie, les sanctions sont faibles : un avertissement et une promotion annulée. «La mairie de Bordeaux ne fait pas d'excès de zèle sur ces questions», reconnaît Jean-Pierre Sanguigne, le délégué CGT, qui ajoute que «ces actes ne sont pourtant pas en régression, et des propos racistes, on en entend tous les jours sur le lieu de travail». Farid Saadi affirme même qu'à l'époque on aurait tenté de faire pression sur lui, le menaçant d'une mise à pied s'il portait l'affaire en justice. «J'étais stagiaire, je craignais pour mon emploi.»
Déçu et fatigué. Aujourd'hui il a été changé de service et poursuit sa carrière normalement. Omar, de son côté, vient de s'inscrire au RMI et souhaite faire de son cas un exemple. «Mon affaire est révélatrice d'un malaise, elle est le processus inverse des discours présidentiels d'ouverture et d'intégration. Ça pose une vraie question : quand, dans un service de trente personnes, il n'y a aucun Noir ni Maghrébin, qu'est-ce qui se passe face à la différence ? On ne sait pas la gérer.» Très impliqué dans la vie associative et investi auprès des jeunes de cités, il a aujourd'hui l'impression que «la zone de non-droit, c'est l'administration et pas le quartier».
Une procédure est en cours, elle pourrait aboutir devant le tribunal administratif. Mais Omar se dit déçu et fatigué. C'est son dernier combat. Ensuite, il envisage de quitter la France et rêve de s'installer en Grande-Bretagne ou aux Etats-Unis.
#1678 Invité_David besançon_*
Posté 13 janvier 2006 - 10:26
Les cahiers pédagogiques, c'est l'officiel de l'intégrisme du pédagogisme contre l'enseignement des disciplines, des chantres de "l'élève au centre du système éducatif", plus grande escroquerie du dernier siècle éducatif !
Malgré tout intéressant, l'article...
Mais l'image de la natation peut se retourner contre la personne qui l'emploie :
Tu n'imagines pas le nombre d'élèves qui ne savent pas "nager" en sixième et qui risquent la noyade.....à cause de l'apprentissage des méthodes batârdes dérivées de la méthode globale !
#1679
Posté 13 janvier 2006 - 10:44
Les cahiers pédagogiques, c'est l'officiel de l'intégrisme du pédagogisme contre l'enseignement des disciplines, des chantres de "l'élève au centre du système éducatif", plus grande escroquerie du dernier siècle éducatif !
Malgré tout intéressant, l'article...
Mais l'image de la natation peut se retourner contre la personne qui l'emploie :
Tu n'imagines pas le nombre d'élèves qui ne savent pas "nager" en sixième et qui risquent la noyade.....à cause de l'apprentissage des méthodes batârdes dérivées de la méthode globale !
On a tout de même la nette impression que les rédacteurs de tels articles sont plus soucieux d'étaler leurs connaissances que des résultats concrets....lesquels sont absolument catastrophiques !
Que l'on prenne enfin acte de la faillite totale de certaines méthodes d'enseignement, dont l'usage nuit à ceux là même qui ont le plus besoin d'aide : les enfants issus des milieux défavorisés.
(Voltaire - Extrait de Catalina)
#1680 Invité_David besançon_*
Posté 13 janvier 2006 - 10:48
Les cahiers pédagogiques, c'est l'officiel de l'intégrisme du pédagogisme contre l'enseignement des disciplines, des chantres de "l'élève au centre du système éducatif", plus grande escroquerie du dernier siècle éducatif !
Malgré tout intéressant, l'article...
Mais l'image de la natation peut se retourner contre la personne qui l'emploie :
Tu n'imagines pas le nombre d'élèves qui ne savent pas "nager" en sixième et qui risquent la noyade.....à cause de l'apprentissage des méthodes batârdes dérivées de la méthode globale !
On a tout de même la nette impression que les rédacteurs de tels articles sont plus soucieux d'étaler leurs connaissances que des résultats concrets....lesquels sont absolument catastrophiques !
Que l'on prenne enfin acte de la faillite totale de certaines méthodes d'enseignement, dont l'usage nuit à ceux là même qui ont le plus besoin d'aide : les enfants issus des milieux défavorisés.
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