Bof le mythe de Furlan entraîneur idéal victime des circonstances, JL nous l'a déjà fait avec Domenech et Renard.
Il faut accepter je crois que la grande masse des entraîneurs a des résultats en dents de scie, ce qui est une forme d'illustration de ce que serait la compétition sans dopage, car l'alchimie pour tirer le meilleur parti d'un groupe dont la moitié est ennemie des titulaires qui eux-mêmes n'ont pas forcément d'atomes crochus, sur fonds d'intrigues par agents de joueurs, et de ventes/achats opportunistes par présidents interposés est sans cesse à réinventer.
Ceci dit, Troyes est une équipe de merde qui a faussé le championnat de L2 avec une armada de has been trentenaires qui n'avaient plus le niveau de la L1 et ne l'ont pas recouvré par effet du bon dieu à la simple évocation de la montée.
S'il y avait des gens qui aiment le foot à la tête des ligues et fédérations, ils auraient immédiatement remis le bon d'accession troyen à une équipe méritante, capable de gagner la Gambardella à intervalles réguliers et d'y briller presque toujours.
Malheureusement pour toi, mon post n'était pas un éloge de Furlan.
Je m'en fous de Furlan. Je décrivais juste le fonctionnement de Troyes depuis quelques années, de manière un peu ironique, rien de plus.
Si tu n'avais pas perdu ta légendaire rigueur en cours de route d'argumentaire, tu te serais même souvenu que j'étais le seul ici à ne pas m'extasier et me pâmer devant le "génial" Troyes de la saison passée, qui jouait juste un tout petit mieux que les autres grâce à Jean et Nivet, infime supériorité qui trouve ses limites depuis août.
En cela, je ne pense pas que Furlan soit le premier responsable de la situation actuelle de l'ESTAC, mais il ne convoque chez moi aucune sympathie particulière ni accointance.
