Ce qui est ahurissant, c'est la longueur de la procédure, et encore on en est qu'au début. Par ailleurs et contrairement à l'opinion répandue, le fait d'être complètement ivre lors d'une agression sexuelle, (ou autre), ne minimise en aucun cas sa responsabilité. Bien au contraire.
Je comprends que le club n'ait aucun commentaire à faire sur cette question. Mais en coulisse on doit s'agiter pour savoir comment gérer "au mieux" cette affaire.