Là où ça me fait chier, c'est quand c'est substitué à des excuses fallacieuses comme, dans le cas présent, "l'équilibre futur" du gamin. OK, t'es le quinzième à en parler cher PaL, mais pour la quinzième fois, est-ce que c'est plus dangereux pour son équilibre que les centaines d'autres facteurs (anthropologiques, l'idée selon laquelle le pilier d'une famille c'est un homme et une femme ; ou sociaux, le fait d'être moche, binoclard, d'avoir une voix efféminée, d'être gros, d'être mauvais en sport etc.) ? Est-ce que ça doit peser tellement plus lourd que le reste dans l'idée qu'un môme puisse s'épanouir ?
Et si tu nous disais en quoi tes arguments à base de "c'est pas forcément pire qu'autre chose" ne sont pas fallacieux ?
Et si, plutôt que de dire "tu es le 15e à me dire ça mais c'est moi qui ai raison", tu te disais que 15 personnes d'un avis contraire au tien sur un forum qui compte une centaine d'intervenants actifs, ça commence à faire beaucoup et qu'il est peut-être temps de lâcher l'affaire ?