Sites en tout genre
#1411
Posté 19 septembre 2006 - 08:59
Attention ! Ces posts peuvent choquer un jaune public.
#1412
Posté 19 septembre 2006 - 11:57
#1414
Posté 24 septembre 2006 - 12:28
#1415
Posté 24 septembre 2006 - 21:12
terrible
je ne sais pas comment il a fait pour formuler cette offre
#1416
Posté 24 septembre 2006 - 21:47
#1417
Posté 25 septembre 2006 - 16:36
Attention ! Ces posts peuvent choquer un jaune public.
#1418
Posté 25 septembre 2006 - 16:58
C'est normal, car on a rien sans Rien.
#1419
Posté 28 septembre 2006 - 13:19
#1420
Posté 28 septembre 2006 - 13:40
Quelle nostalgie de revoir Ghost'n Goblin, Double Dragon, Ikari Warriors et Gauntlet
Vais ressortir la mienne, je crois.
#1421
Posté 28 septembre 2006 - 21:54
Je suis vraiment désolé, mais les chutes me font toujours mourir de rire... c'est pas sympa mais c'est comme ça
#1422
Posté 28 septembre 2006 - 22:29
Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle.
#1423
Posté 02 octobre 2006 - 15:55
#1424
Posté 02 octobre 2006 - 21:13
#1425
Posté 03 octobre 2006 - 01:08
#1426
Posté 07 octobre 2006 - 07:14
Article dans l'Est d'aujourd'hui :
Kamini affole le web
Ce chanteur de rap est devenu célèbre en quelques jours grâce à un clip tourné avec les paysans de son village.
« J'viens pas de la cité, mais le beat est bon / J'viens pas de Paname, mais de Marly-Gomont ». En deux semaines, ce refrain est devenu le plus repris du web, et Marly-Gomont, paisible village picard de 400 âmes, a acquis une notoriété à faire pâlir de jalousie plus d'un chef-lieu de canton. C'est là, au milieu des champs, que Kamini a tourné le clip de « Marly Gomont », la chanson qui tourne en boucle sur les ordinateurs depuis l'ouverture du site internet de l'artiste fin septembre. « On en est à deux millions de visites », comptabilise le jeune homme, infirmier psychiatrique « à mi-temps » la nuit, chanteur de rap le jour, qui vient de passer sa semaine à écumer les maisons de disques de la capitale.
Depuis huit jours, toutes les majors font les yeux doux à l'artiste, dont le clip décalé et hilarant a suscité une déferlante de curiosité et de sympathie comme seul le web peut en créer. Sur un tempo chaloupé, Kamini raconte sa vie quotidienne dans ce village semblable à des milliers d'autres. Seul noir de son école, le fils de médecin doit supporter les sarcasmes de ses petits camarades, qui le surnomment « Pépito » ou « Noiraude ». La première boulangerie est à 8 km, et le seul moyen de « transport en commun », c'est le cyclomoteur. Le chanteur apparaît au milieu d'un troupeau de vaches ou juché sur un tracteur, ses copains font les pitres, il danse en compagnie d'une famille de voisins, d'un agriculteur ou d'un pêcheur.
Vaches et tracteurs
« Le rap, aujourd'hui, ce ne sont que des images de flingues, de grosses caisses et des meufs à poil. Je pense que les gens ont été surpris parce que dans mon clip, c'est tout l'opposé. On voit des personnes âgées et des tracteurs », analyse-t-il entre deux interviews télé. « Je ne fais que parler de ce que je connais, à la manière d'un rappeur qui raconte sa vie à Los Angeles. Moi, le hasard fait que j'ai grandi là-bas ». Martin Coulon, le manager du chanteur, responsable d'un petit label lillois (« La Plèbe Production »), raconte que le lien internet vers le clip a été envoyé à plusieurs maisons de disques début septembre. L'idée était alors uniquement de démarcher les majors.
La machine s'est emballée quand des destinataires de la vidéo, séduits par cet « ovni », ont envoyé le lien à des connaissances, qui l'ont eux-même transmis à leurs copains. De mail en mail, la diffusion s'est faite de façon exponentielle. 24 h après l'ouverture du site internet de Kamini, 60.000 personnes se connectaient en simultané et la vidéo était reprise sur toutes les plus grandes plate-formes musicales, à l'instar de « Youtube » ou « Myspace ». Le chanteur est aujourd'hui impatient de sortir le CD single de « Marly-Gomont », comme le lui réclament les milliers d'internautes qui lui laissent des messages sur sa boîte aux lettres. Il pense signer avec une maison de disques dès la semaine prochaine. Quant aux habitants de Marly-Gomont, « ils kiffent, ils sont contents, les personnes âgées viennent me féliciter »
« J'avais confiance en ce que je faisais, mais je ne pouvais évidemment pas imaginer ce qui s'est passé. Le pouvoir d'internet est vraiment impressionnant. Mais pour l'instant, tout ça reste virtuel, je dois encore faire mes preuves », réagit encore Kamini, qui assure ne pas être « scotché » sur son nuage. « Dès que je prends la voiture pour aller au travail, ça me fait redescendre rapidement sur terre ». Raisonnable, la nouvelle coqueluche du « web » ne compte pas quitter son emploi d'infirmier psy, en tout cas pas à court terme. Si Kamini écrit et compose depuis dix ans, il avait pris soin d'achever ses études avant de persévérer dans la musique. Ses autres titres abordent avec humour de multiples thèmes, à mille lieux de l'étiquette de « rap rural » qui lui colle déjà à la peau sur les forums du net. « Et quand je vais écrire sur la Lune, on va dire quoi, que je fais du rap interstellaire ? ». Kamini sait qu'il va devoir travailler pour confirmer. Après un décollage aussi fulgurant, ce serait trop bête de n'être qu'une comète.
www.kamini.fr
#1428
Posté 16 octobre 2006 - 21:22
Article dans l'Est d'aujourd'hui :
Kamini affole le web
Ce chanteur de rap est devenu célèbre en quelques jours grâce à un clip tourné avec les paysans de son village.
« J'viens pas de la cité, mais le beat est bon / J'viens pas de Paname, mais de Marly-Gomont ». En deux semaines, ce refrain est devenu le plus repris du web, et Marly-Gomont, paisible village picard de 400 âmes, a acquis une notoriété à faire pâlir de jalousie plus d'un chef-lieu de canton. C'est là, au milieu des champs, que Kamini a tourné le clip de « Marly Gomont », la chanson qui tourne en boucle sur les ordinateurs depuis l'ouverture du site internet de l'artiste fin septembre. « On en est à deux millions de visites », comptabilise le jeune homme, infirmier psychiatrique « à mi-temps » la nuit, chanteur de rap le jour, qui vient de passer sa semaine à écumer les maisons de disques de la capitale.
Depuis huit jours, toutes les majors font les yeux doux à l'artiste, dont le clip décalé et hilarant a suscité une déferlante de curiosité et de sympathie comme seul le web peut en créer. Sur un tempo chaloupé, Kamini raconte sa vie quotidienne dans ce village semblable à des milliers d'autres. Seul noir de son école, le fils de médecin doit supporter les sarcasmes de ses petits camarades, qui le surnomment « Pépito » ou « Noiraude ». La première boulangerie est à 8 km, et le seul moyen de « transport en commun », c'est le cyclomoteur. Le chanteur apparaît au milieu d'un troupeau de vaches ou juché sur un tracteur, ses copains font les pitres, il danse en compagnie d'une famille de voisins, d'un agriculteur ou d'un pêcheur.
Vaches et tracteurs
« Le rap, aujourd'hui, ce ne sont que des images de flingues, de grosses caisses et des meufs à poil. Je pense que les gens ont été surpris parce que dans mon clip, c'est tout l'opposé. On voit des personnes âgées et des tracteurs », analyse-t-il entre deux interviews télé. « Je ne fais que parler de ce que je connais, à la manière d'un rappeur qui raconte sa vie à Los Angeles. Moi, le hasard fait que j'ai grandi là-bas ». Martin Coulon, le manager du chanteur, responsable d'un petit label lillois (« La Plèbe Production »), raconte que le lien internet vers le clip a été envoyé à plusieurs maisons de disques début septembre. L'idée était alors uniquement de démarcher les majors.
La machine s'est emballée quand des destinataires de la vidéo, séduits par cet « ovni », ont envoyé le lien à des connaissances, qui l'ont eux-même transmis à leurs copains. De mail en mail, la diffusion s'est faite de façon exponentielle. 24 h après l'ouverture du site internet de Kamini, 60.000 personnes se connectaient en simultané et la vidéo était reprise sur toutes les plus grandes plate-formes musicales, à l'instar de « Youtube » ou « Myspace ». Le chanteur est aujourd'hui impatient de sortir le CD single de « Marly-Gomont », comme le lui réclament les milliers d'internautes qui lui laissent des messages sur sa boîte aux lettres. Il pense signer avec une maison de disques dès la semaine prochaine. Quant aux habitants de Marly-Gomont, « ils kiffent, ils sont contents, les personnes âgées viennent me féliciter »
« J'avais confiance en ce que je faisais, mais je ne pouvais évidemment pas imaginer ce qui s'est passé. Le pouvoir d'internet est vraiment impressionnant. Mais pour l'instant, tout ça reste virtuel, je dois encore faire mes preuves », réagit encore Kamini, qui assure ne pas être « scotché » sur son nuage. « Dès que je prends la voiture pour aller au travail, ça me fait redescendre rapidement sur terre ». Raisonnable, la nouvelle coqueluche du « web » ne compte pas quitter son emploi d'infirmier psy, en tout cas pas à court terme. Si Kamini écrit et compose depuis dix ans, il avait pris soin d'achever ses études avant de persévérer dans la musique. Ses autres titres abordent avec humour de multiples thè$mes, à mille lieux de l'étiquette de « rap rural » qui lui colle déjà à la peau sur les forums du net. « Et quand je vais écrire sur la Lune, on va dire quoi, que je fais du rap interstellaire ? ». Kamini sait qu'il va devoir travailler pour confirmer. Après un décollage aussi fulgurant, ce serait trop bête de n'être qu'une comète.
www.kamini.fr
Il a un article dans Le Monde et il est passé sur Canal+ à l'emission de michel denisot. Comme quoi internet peut etre un bon vecteur pour la chanson et pas qu'un repère à pirates...
#1429
Posté 16 octobre 2006 - 21:26
On voit pas trop bien en fait... Quelqu'un m'explique ce que ça veut dire "freak out"?
#1430
Posté 16 octobre 2006 - 21:31
Quelqu'un m'explique ce que ça veut dire "freak out"?
Je traduirai ça par "Péter un plomb"
#1431
Posté 16 octobre 2006 - 21:33
Boris Vian
#1434
Posté 17 octobre 2006 - 17:13
Génial!
Vous imaginez Souvet comme ça?
#1435
Posté 17 octobre 2006 - 22:19
Vous n'avez rien compris. Il a dit ce matin que son élocution lente est due à sa timidité et au fait qu'il soit un gaucher contrarié. Moi aussi je suis un gaucher contrarié mais je bois moins.
#1436
Posté 22 octobre 2006 - 06:48
#1437
Posté 22 octobre 2006 - 09:37
Pas mal, il a trouvé Benabar, mais je l'ai eu avec Pedretti (il m'a proposé Laurent Blanc !)
#1438
Posté 22 octobre 2006 - 09:44
#1439
Posté 22 octobre 2006 - 11:59
bluffant
bluffant
bluffant
bluffant
bluffant
bluffant
bluffant
bluffant
bluffant
Mais en fait, je francisais cet anglissisme pour respecter mon coéquipier DB
#1440
Posté 22 octobre 2006 - 12:47
Anglicisme, you idiot !
10 times.