Les comptes du FCSM n'étaient pas pourris comme tu le laisses supposer, argument commode pour se farcir les gestions passées à peu de frais.
Et d'ailleurs, pourquoi l'auraient-ils été plus que d'autres clubs ?
Sacré Clyde ! Aurais je eu des doutes quant à ta mauvaise foi que ton mail les dissipe définitivement.
Plessis est parti avec les caisses débordantes de millions d'€, une gestion unanimement acclamée par le monde du foot, Lacombe a apporté une sérénité et une progression du club sans commune mesure à base de suppression de corbeilles de fruits et autres ruisseaux qui firent la grande rivière de sa glorieuse réussite.
Li a dépensé un pont d'or pour acquérir ce fleuron de la gestion sportive et ne l'a acquis que de haute lutte après un épique combat contre Tavarès !
Et puis paf, les basques sont arrivés et ça été la merde. On a vu des personnes douteuses aux cotés du président chinois, le club d'un seul coup n'avait plus de projet sportif et les basques ont vidé les caisses... Les gens d'ici étaient tellement bien, le club de l'homme c'était mieux avant comme dirait Francis..
Je comprends mieux alors...
Il reste bien sûr et c'est heureux des amoureux du club au centre, dans et hors des tribunes, mais bien peu. Ou sont les politiques ? Si prompts à porter les volontés de PSA, leur manque d'engagement, de publicité sur leurs éventuelles actions ne vous interpellent pas ?
Il serait bien plus sain pour le débat de chercher les causes et non de s'écharper sur les conséquences. Les basques n'auraient jamais du arriver aux manettes du FCSM pas plus que Li. Ils ont trouvé un club aux caisses vides, j'en veux pour preuve que la DNCG a rendu en décembre le même avis que celui de l'année d'avant : interdiction de recruter à titre onéreux, relégation. Le mal date d'avant et ces avis prouvent que le travail fait avant leur arrivée était mauvais et nécessitait un changement total des pratiques de gestion au sein du club.
Que leur méthode soit mauvaise, le classement et l'avis de la DNCG le confirment, mais ils ne sont pas la cause.