Lacombe a bon faire la mijaurée dans les médias spécialisés il est en partie responsable de la situation actuelle par sa politique de recrutement trop peu audacieuse !!! Remplacer Ideye par Privat quelle farce !!!!
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«Certains se prennent pour d'autres»
En deux journées, Sochaux a perdu deux fois et encaissé dix buts. Si Mecha Bazdarevic est resté plutôt calme après la défaite à Auxerre (1-4), Alexandre Lacombe, son président, a promis un rapide recadrage.
a thèse de l'accident ne tient plus, et le discours présidentiel pourrait monter d'un cran mardi. Alexandre Lacombe, qui a passé un été compliqué à gérer les états d'âme de Maïga et Anin, va sans doute devoir élargir le cercle de ses tourments. « Je suis en colère, mais je préfère ne rien dire, car je pourrais être très dur, a grincé le président sochalien. Certains se prennent pour d'autres. Il y a des comportements inadmissibles, et s'il le faut, on jouera avec d'autres. Ils ont le talent, mais pas l'état d'esprit. Il va y avoir une mise au point mardi. »
Bazdarevic : « C'est inexplicable »
Les Lionceaux, ou au moins ceux qui ont accepté de marquer un temps d'arrêt sur le chemin menant à un bus où l'ambiance promet d'être lugubre, ont avancé l'hypothèse d'une faillite collective. « On a payé en deuxième période les efforts fournis en première », a avancé Teddy Richert, sans vraiment parvenir à convaincre son auditoire. « Quand on ne fait pas tous les efforts, on redevient une équipe banale », a poursuivi Edouard Butin, le visage marqué.
Evidemment, aucun Sochalien n'a pris le risque de charger un secteur plus qu'un autre. Le politiquement correct a fini par l'emporter. Mecha Bazdarevic s'est lui aussi réfugié derrière un mur de prudence, réservant (peut-être) ses reproches individuels et collectifs à l'intimité de son bureau. « C'est inexplicable, on fait une première mi-temps correcte, on est solidaires, et en dix minutes, on perd le match. » Il l'assure, son discours passe toujours auprès de ses joueurs, même si le Bosnien semble las des comportements d'une partie de la nouvelle génération. « Ce sont les jeunes d'aujourd'hui », a-t-il lâché pour commenter le geste d'énervement de Boudebouz lors de son remplacement par Roudet (64e). « Il n'allait pas m'embrasser. » A Sochaux, ce n'est pas vraiment la tendance...
Alexis BILLEBAULT, à Auxerre