Un bon torchon de gauchiste sectaire. Mis à part de juger le management de Peugeot jusque dans les années 1970, ce qui a été fait maintes fois fait par des historiens il y a déjà 20 ans, c'est tout ce qu'il fait. Et en plus, c'est bien vide et il pointe ce qu'il veut bien pointer (ex : les ex membres de l'OAS, une petite part des "Niçois" embauchés suite à 68, et vite débauchés d'ailleurs), histoire de faire vendre. On est au courant des pratiques de petites p°°°° de Peugeot de cette époque. Mais c'est le foot qui nous interesse ici.
Le club crée un esprit d'entreprise, mais positif, au moins cela crée un point commun amical de l'ouvrier au cadre. C'est toujours ça à prendre. Combien de journée écourtée pour un match important du FCSM? (ca fait longtemps que cela se fait plus quand même) De places donnés? C'est un facteur de bonne ambiance dans la région, et oui c'est un patron qu'il l'a fait, ça fait peut être chier certains anar bobos, mais c'est l'héritage du coin.
Le rapprochement entre Sochaux est la gestion syndicale Peugeot est plus que bancal...
Un oubli, de taille cependant, il y a eu 2 morts le 11 Juin 68 à Sochaux. Et "s'il y en a un qu'il fallait citer" (il n'y a évidemment pas de choix à faire 2 morts c'est déjà terrible) parmi les deux, (ici il cite Henri Blanchet mort en tombant d'un mur) c'était plutôt Pierre Beylot, mort par balle.
Quant aux syndicats "jaunes" quand je lis "vite débauchés" n'exagérons rien. Ils sont restés a minima jusqu'en 73 (depuis fin 68) et je pense plus surement qu'il y en avait encore quelques-uns au moins jusqu'en 78.