Ne nous fâchons pas !
#1141
Posté 04 avril 2012 - 09:53
Le statut SNCF est un truc très spécifique qui n'est pas celui du fonctionnaire, tout du fonctionnaire et rien que du fonctionnaire. Je reformule : les nouveaux embauchés dans les filiales récemment créées n'ont pas le statut du personnel SNCF.
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#1142
Posté 04 avril 2012 - 09:55
Même les anciens embauchés ne sont pas fonctionnaires. Ils ont certes un statut différent du CDI lambda mais ils ne font pas partie de la fonction publique.
Espérons qu'ils résisteront mieux au stress que ceux de France Télécom.
Parce qu'un écart de productivité globale de 30% s'observe facilement entre une organisation au point et une autre qui ne l'est pas.
#1143
Posté 04 avril 2012 - 10:53
Même les anciens embauchés ne sont pas fonctionnaires. Ils ont certes un statut différent du CDI lambda mais ils ne font pas partie de la fonction publique.
Ils ne font pas partie de la fonction publique dans le sens où ils ne sont pas payés directement par nos impots.
Ils bénéficient de régimes spéciaux comme EDF/GDF ou RATP.
Après se pose la question de l'équilibre financier de ces régimes spéciaux. Il y avait 500.000 cheminots à la fin de la guerre, ils sont 150.000 aujourd'hui. Je me demande quand même qui paye les retraites de ces cheminots vu le nombres d'actifs par retraités et vu l'âge du départ en retraite (50 ans pour les conducteurs, 55 pour les autres)
---------------------
Critères pour choisir un sport : si tu es grand, tu peux faire basketeur; si tu es costaud, tu peux faire rugbyman; si tu es con, tu peux faire footballeur.
#1144
Posté 04 avril 2012 - 11:14
Même les anciens embauchés ne sont pas fonctionnaires. Ils ont certes un statut différent du CDI lambda mais ils ne font pas partie de la fonction publique.
Comme ça doit être bon de gérer une entreprise privée avec l'argent de l'état. Mais bon puisqu'ils ne sont pas fonctionnaires, je m'incline et continuer à payer pour un service que je n'utilise plus depuis longtemps, car moi j'ai des horaires à respecter
#1145
Posté 04 avril 2012 - 11:33
Merci pour ce sacrifice. Moi, je n'ai pas d'enfant et j'ai terminé mes études à 25 ans, et je paie pour les crèches et les écoles. Dingue, non ?
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#1146
Posté 04 avril 2012 - 12:12
Il y a eu énormément de débats à propos des effets de la privatisation des chemins de fer britanniques, en particulier depuis que la structure maintenant en place a considérablement évolué par rapport à celle envisagée à l'époque de la loi sur les chemins de fer de 1993. Les principaux thèmes de discussion sont les suivants :
Service clients : la privatisation était supposée apporter une amélioration du service aux clients et beaucoup de lignes ont en effet vu des améliorations dans ce domaine avec de meilleurs services dans les gares et à bord des trains. Dans les premières années, toutefois, le service clients fut irrégulier quand de trop nombreux conducteurs se sont trouvés courtisés par les nouveaux exploitants (TOC) et que des trains ont dû être annulés. Par ailleurs, les conséquences de l'accident ferroviaire de Hatfield en 2000 ont gravement affecté le service pendant de nombreux mois.
Tarifs et horaires : dans le but de protéger les intérêts des voyageurs, certains tarifs (pour la plupart des tarifs saisonniers de banlieue) et certains horaires de base ont été soumis à régulation. Toutefois les TOC ont encore une certaine latitude pour modifier les tarifs non soumis à régulation et peuvent changer le nombre de trains mis en circulation, dans les limites permises par les contraintes techniques et de régulation. Si le niveau moyen des tarifs a peu changé depuis la privatisation, cela masque des variations importantes. Le prix des billets de banlieue ont baissé en monnaie constante, mais beaucoup de tarifs libres ont augmenté substantiellement, en particulier les tarifs courants sur les grandes lignes interurbaines où les exploitants ont essayé d'encourager les clients à acheter plutôt, moins cher, des billets émis à l'avance. Concernant l'offre horaire, beaucoup plus de trains sont mis quotidiennement en circulation qu'à l'époque des BR, les exploitants ayant cherché, en faisant circuler des trains plus fréquents, mais généralement plus courts, à capter davantage de clients.
Renouvellement du matériel roulant : les promoteurs de la privatisation attendaient de la mise en concurrence des ROSCO entre elles une meilleure offre de matériel roulant aux exploitants (TOC). En pratique, dans la plupart des cas, une entreprise exploitante donnée a besoin d'un certain type de trains pour son exploitation, et souvent une seule des ROSCO dispose de ce type de matériel, si bien que l'exploitant n'a d'autre choix que de payer le prix de location décidé par la ROSCO. Le vieux matériel roulant fut une grande source de profit pour les ROSCO, car elles pouvaient les facturer assez cher alors même que British Rail les avaient complètement amortis. Cela était dû à l'adoption par le gouvernement, comme méthode de fixation des coûts de location, du « prix d'indifférence » qui était conçu pour rendre l'achat de nouveaux trains plus intéressant comparé à la poursuite de l'exploitation de matériel hors d'âge. En fait, l'âge moyen des trains au Royaume-Uni n'est pas différent de ce qu'il était dans les dernières années des BR.
Ponctualité et fiabilité : les chemins de fer privatisés n'ont pas démontré les améliorations espérées en matière de ponctualité et de fiabilité. Les contrats mis en place entre les sociétés étaient conçus pour inciter à des améliorations dans ces domaines, mais du fait de la grande augmentation du nombre de trains mis en circulation, avec plus ou moins le même matériel et sur un réseau identique, il y eut moins de marge de manœuvre en cas de problèmes, avec les effets subséquents sur la ponctualité.
Développement du trafic : il n'est pas évident que la privatisation ait eu pour but d'augmenter le trafic, mais c'est ce qui s'est produit dans les premières années des chemins de fer privatisés avec beaucoup plus de trains mis en circulation, plus de voyageurs et plus de fret (plus en termes de distance moyenne que de masse transportée) transportés. Les opposants à la privatisation argüent que certaines augmentations de trafic se seraient produites de toute façon, en ligne avec l'évolution de l'économie britannique. Il fallut plusieurs années pour retrouver les niveaux de trafic atteints par les BR à la fin des années 1980 au sommet de la précédente période d'expansion économique. Si un nombre de voyageurs plus important sont maintenant transportés chaque année qu'à n'importe quelle époque depuis les années 1950, alors que la longueur du réseau était le double de ce qu'elle est actuellement, ce constat est à pondérer par l'augmentation de la population britannique sur une soixantaine d'année.
Sécurité : c'est l'un des thèmes les plus sensibles. Le chemin de fer peut poursuivre une amélioration continue de la sécurité sous le régime de la privatisation ; en fait, le taux d'amélioration a augmenté par rapport à celui enregistré dans les dernières années des BR. Toutefois, quatre accidents ferroviaires graves, survenus dans les années suivant la privatisation (Southall (1997), Ladbroke Grove (1999), Hatfield (2000) et Potters Bar (2002)), ont miné la confiance dans la sécurité des chemins de fer privatisés et souligné le fait que le processus de privatisation avait créé de nouvelles sources de risques (par exemple la séparation de la gestion de l'infrastructure de l'exploitation des services). le secteur ferroviaire a cherché à maîtriser ces risques et jusqu'à présent, il n'y avait plus eu de nouvel accident mortel dont le système ferroviaire ait été responsable depuis mai 2002. Les deux autres accidents mortels qui s'étaient produits depuis la privatisation (Great Heck (2001) et Ufton Nervet (2004)) avaient été causés par des voitures bloquées sur les voies et heurtées à pleine vitesse. Mais, le vendredi 23 février 2007, le train grande vitesse "pendolino" Londres-Glasgow appartenant à la compagnie Virgin Trains, a déraillé à cause d'une anomalie liée à l'infrastrucure ferroviaire, causant un mort et plusieurs blessés.
Investissements : il est généralement admis que les chemins de fer britanniques, du temps de la nationalisation, ont subi un sous-investissement systématique depuis les années 1960, les gouvernements successifs ayant favorisé ouvertement le développement du transport routier, et qu'au moment de leur privatisation les chemins de fer étaient en mauvais état, nécessitant un renouvellement important. Cet argument a été maintes fois repris, par exemple par Sir Richard Branson, le dirigeant d'une des principales entreprises exploitantes, Virgin Trains, pour expliquer le faible niveau de service de sa société. Toutefois, les observateurs bien informés, notamment le journaliste Roger Ford dans le magazine spécialisé Modern Railways, avaient démontré que c'était largement un mythe. Alors que les BR étaient sensiblement moins subventionnés que la plupart des réseaux européens, ils avaient réussi à maintenir le réseau à un niveau de qualité raisonnable. En vérité, dans les dernières années de la gestion des BR, il pouvait faire circuler davantage de trains à plus de 160 km/h que n'importe quel autre réseau ferroviaire dans le monde. Cela en grande partie parce que, au Royaume-Uni, on avait réparti les investissements sur toutes les lignes plutôt que de favoriser un petit nombre de lignes à grande vitesse.
Financement : la privatisation était conçue pour permettre de financer les investissements par des emprunts privés et soustraire les chemins de fer aux contraintes à court terme imposées par le budget de l'État. Toutefois, il a toujours été reconnu qu'un certain niveau de subvention publique serait nécessaire pour maintenir des services non rentables mais socialement utiles. Parmi les trois grands secteurs de l'activité voyageurs (Grandes lignes, réseau Sud-Est et lignes régionales), seul le premier pouvait espérer être commercialement indépendant. La contradiction entre d'une part la recherche d'un investissement maximum du secteur privé et d'autre part le recours à des mesures de subvention et de régulation de l'activité ferroviaire pour qu'elle produise les services attendus s'est montré difficile à résoudre. L'équilibre atteint ne satisfait pas la plupart des partisans de la privatisation ni de ses opposants. Néanmoins, la privatisation a poussé le secteur privé à investir dans les chemins de fer et a conduit le gouvernement à s'engager dans des schémas de financement à long terme qui donnent plus de garantie pour les projets de développement.
Rentabilité et efficacité : Une des principales attentes de la privatisation était que les services ferroviaires seraient produits de manière plus efficace par le secteur privé grâce à la recherche du profit. L'espoir que des charges considérables pouvaient être éliminées du système fut déçue. Les nouveaux exploitants se sont rendu compte que les BR avaient déjà réalisé l'essentiel de ce qui pouvait être fait pour améliorer l'efficacité. En outre, la motivation par le profit s'est trouvée affaiblie quand certains exploitants voyageurs ont rencontré des difficultés financières et ont dû s'inscrire dans des contrats de gestion avec les autorités de régulation, qui réduisaient l'incitation à innover. De plus, les nouvelles contraintes en matière de santé et de sécurité et la complexité de la structure privatisée avaient introduit des coûts supplémentaires dans l'activité. Au total, les subventions versées par l'État aux chemins de fer sont bien plus élevées maintenant qu'elles ne l'étaient du temps des BR.
Contrôle politique : l'un des bénéfices attendus de la privatisation était qu'elle aurait soustrait le secteur ferroviaire à une gestion politique à court terme qui ne convenait pas à une activité lourde comme le chemin de fer, qui nécessite des investissements sur le long terme. Cela ne s'est pas produit et, avec les dernières modifications apportées à l'organisation du secteur, les chemins de fer britanniques sont bien davantage sous le contrôle du gouvernement qu'ils ne l'ont jamais été auparavant.
Sources : Wikipédia.
http://fr.wikipedia....de_British_Rail
"on ne peut pas dire la vérité à la TV car tout le monde la regarde" - Coluche
#1148
Posté 04 avril 2012 - 12:20
Merci pour ce sacrifice. Moi, je n'ai pas d'enfant et j'ai terminé mes études à 25 ans, et je paie pour les crèches et les écoles. Dingue, non ?
Eternel débat, j'ai 2 enfants étudiants donc je paye aussi pour les crêches et les écoles mais en plus je dois payer pour les études spécifiques de mes gamins. Mais bon mon point n'est pas de vouloir supprimer l'ensemble du service public (ou assimilé) mais bien savoir ce qui doit en faire partie sachant qu'un moment donnée il faudra bien se poser la question
#1149 Invité_David besançon_*
Posté 04 avril 2012 - 12:55
Même les anciens embauchés ne sont pas fonctionnaires. Ils ont certes un statut différent du CDI lambda mais ils ne font pas partie de la fonction publique.
Ils ne font pas partie de la fonction publique dans le sens où ils ne sont pas payés directement par nos impots.
Ils bénéficient de régimes spéciaux comme EDF/GDF ou RATP.
Après se pose la question de l'équilibre financier de ces régimes spéciaux. Il y avait 500.000 cheminots à la fin de la guerre, ils sont 150.000 aujourd'hui. Je me demande quand même qui paye les retraites de ces cheminots vu le nombres d'actifs par retraités et vu l'âge du départ en retraite (50 ans pour les conducteurs, 55 pour les autres)
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Les clercs de notaire et les marins bénéficient de régimes spéciaux.
C'est du secteur public ?
#1150
Posté 04 avril 2012 - 13:07
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Critères pour choisir un sport : si tu es grand, tu peux faire basketeur; si tu es costaud, tu peux faire rugbyman; si tu es con, tu peux faire footballeur.
#1151
Posté 04 avril 2012 - 14:11
Attention ! Ces posts peuvent choquer un jaune public.
#1152
Posté 04 avril 2012 - 15:21
#1153
Posté 04 avril 2012 - 15:28
Merci pour ce sacrifice. Moi, je n'ai pas d'enfant et j'ai terminé mes études à 25 ans, et je paie pour les crèches et les écoles. Dingue, non ?
Et moi je ne suis jamais malade, en activité et n'ai aucun risque d'être au chômage et je cotise aussi pour tous ces parasites ... ou par solidarité. Là est la différence de point de vue.
#1154
Posté 04 avril 2012 - 15:39
La question n'est pas de savoir pour qui travaille pour qui mais uniquement qui paye qui. Le statut n'a que peu d'importance ce qui m'importe c'est de payer ce qui me sert et éventuellement peut servir à la collectivité par contre je ne suis pas favorable de payer la SNCF (exemple) avec mes impôts et en plus d'être obligé d'acheter un billet à prix d'or si par malheur je ne trouve dans l'obligation d'utiliser ses services (pour un Nice Paris par exemple...). Je ne vois pas vraiment la notion de service public dans tout cela
#1155
Posté 04 avril 2012 - 16:03
Merci pour ce sacrifice. Moi, je n'ai pas d'enfant et j'ai terminé mes études à 25 ans, et je paie pour les crèches et les écoles. Dingue, non ?
Et moi je ne suis jamais malade, en activité et n'ai aucun risque d'être au chômage et je cotise aussi pour tous ces parasites ... ou par solidarité. Là est la différence de point de vue.
Bah, la solidarité, c'est très bien quand c'est dans l'intérêt général et sur un principe d'égalité.
Lors de la réforme des retraites, il y avait moyen de mettre tout le système à plat et repartir sur un pied d'égalité. Au nom de quoi par exemple un conducteur de train pourrait partir à 50 ans à la retraite là où son homologue conducteur de camion partira à 67 ?
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#1156
Posté 04 avril 2012 - 16:23
Merci pour ce sacrifice. Moi, je n'ai pas d'enfant et j'ai terminé mes études à 25 ans, et je paie pour les crèches et les écoles. Dingue, non ?
Et moi je ne suis jamais malade, en activité et n'ai aucun risque d'être au chômage et je cotise aussi pour tous ces parasites ... ou par solidarité. Là est la différence de point de vue.
Après tu n'es jamais malade, je ne te souhaite pas malheur mais tu n'en es pas à l'abri !
Tu as fait des études jusqu'à 25 ans et ça te fais chier de payer celles des autres je trouve que tu ne manques pas de toupet !
Après comme l’État privatise tout ce qui peut rapporter du profit tu n'es pas à l'abri de te retrouver dans le privé et subir un plan social, ça c'est vite arrivé, demande aux employés de France-télécom ou de la Poste les pressions qu'ils subissent pour qu'ils démissionnent, ces mecs ne se suicident pas à la chaine juste pour faire chier le monde
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#1157
Posté 04 avril 2012 - 16:27
Merci pour ce sacrifice. Moi, je n'ai pas d'enfant et j'ai terminé mes études à 25 ans, et je paie pour les crèches et les écoles. Dingue, non ?
Et moi je ne suis jamais malade, en activité et n'ai aucun risque d'être au chômage et je cotise aussi pour tous ces parasites ... ou par solidarité. Là est la différence de point de vue.
Tu cotises surtout parce que ce sont des prélèvements obligatoires, heureusement d'ailleurs car j'ai un doute quant à la générosité de nos concitoyens.
#1158
Posté 04 avril 2012 - 16:30
#1159
Posté 04 avril 2012 - 17:01
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#1160 Invité_David besançon_*
Posté 04 avril 2012 - 17:01
Tu fais des régimes spéciaux une spécificité du secteur public. Je te réponds que ce n'est pas le cas.
#1161
Posté 04 avril 2012 - 17:02
Et même si je commence à en avoir marre de payer pour les régions sinistrées au niveau de l'emploi comme la Franche Comté alors que ma région riche aurait intérêt à se désolidariser, je le fais avec plaisir pour les fonctionnaires doubistes ou hautsaônois qui ne risquent finalement pas grand chose.
Il en est de même pour La Poste à mon sens. Aujourd'hui, qu'on envoie un courrier de Paris à Lyon ou de Héricourt à Ploumanac'h, le tarif est le même. On fait quoi? On la joue rentabilité et on augmente le prix du Héricourt-Ploumanac'h et on laisse le Paris Lyon à des boîtes qui ne font que le rentable, ou alors on joue le service public et on permet aux ploucs de pouvoir continuer à communiquer entre eux? C'est une décision éminemment politique.
SALL, The pride of Juraside
#1162
Posté 04 avril 2012 - 17:05
Oui, mais elle a pas eu ses 500 signatures, la république solidaire. Alors, que "les autres" aillent se faire enc...
(je mets un smiley, pour le second degré)
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#1163
Posté 04 avril 2012 - 17:28
Si. Ils font un concours avec les ouvriers esclaves chinois et cambodgiens. En fait c'est ça le truc.
Clique en dessous et tu sauras : Attention ce lien peut choquer les partisans acharnés de la mondialisation voir les militants et électeurs UMP.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Foxconn
Sinon si tu penses que tu vas te faire licencier pourquoi n'essayes tu pas de faire une formation ou de trouver ailleurs un CDI ?
"on ne peut pas dire la vérité à la TV car tout le monde la regarde" - Coluche
#1164
Posté 04 avril 2012 - 17:28
Normal, je suis un sanguin de la base, mais j'entends tellement ce genre de réflexion débile au taf que ça finit par m'agacer sérieusement car eux le pensent vraiment !!!
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#1165
Posté 04 avril 2012 - 17:29
#1166
Posté 04 avril 2012 - 17:49
Si. Ils font un concours avec les ouvriers esclaves chinois et cambodgiens. En fait c'est ça le truc.
Clique en dessous et tu sauras : Attention ce lien peut choquer les partisans acharnés de la mondialisation voir les militants et électeurs UMP.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Foxconn
Sinon si tu penses que tu vas te faire licencier pourquoi n'essayes tu pas de faire une formation ou de trouver ailleurs un CDI ?
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#1167
Posté 04 avril 2012 - 18:15
Même moi j'avais compris!!! C'est dire
#1168
Posté 04 avril 2012 - 18:19
Si. Ils font un concours avec les ouvriers esclaves chinois et cambodgiens. En fait c'est ça le truc.
Clique en dessous et tu sauras : Attention ce lien peut choquer les partisans acharnés de la mondialisation voir les militants et électeurs UMP.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Foxconn
Sinon si tu penses que tu vas te faire licencier pourquoi n'essayes tu pas de faire une formation ou de trouver ailleurs un CDI ?
C'est vrai que le régime Chinois est un vrai régime démocratique de droite. En effet les électeurs de l'UMP peuvent trembler
#1169
Posté 04 avril 2012 - 18:46
Tu es trop fort toi.
Mais à ton avis ces usines profitent à qui sinon aux grandes multinationales que défend le système actuel de mondialisation ? Il est contre la mondialisation Sarko ?? Première nouvelle.
Dis plutôt que t'en as rien à foutre des ouvriers chinois et qu'ils peuvent tous crever comme des rats morts. Au moins tu seras honnête à défaut d'être con.
On sait sauver les banques ou l'Euro. Par contre les problèmes de la faim dans le monde, on ne sait pas. Tu trouves tout ça normal ?
"on ne peut pas dire la vérité à la TV car tout le monde la regarde" - Coluche
#1170
Posté 04 avril 2012 - 18:46