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#61
Posté 26 août 2012 - 13:54
Il y a un an, vendre Maïga après avoir vendu Ideye, pour 8ME c'était non négociable car il était trop tard pour lui trouver un remplaçant, alors qu'il y avait encore des cadres dans l'équipe pouvant sauver les meubles.
Aujourd'hui le vendre 1 ou 2 ME moins cher ça ne pose pas de problème et vous ne lui cherchez même pas de remplaçant, malgré la vente de Martin qui rend encore plus difficile le travail d'un attaquant.
What the fuck... ?
#62
Posté 01 septembre 2012 - 22:42
Dehors les incompétents.
Nous, le club, on l'aime.
Je n'en peux plus de toi.
Mais dégage, dégage, dégage.
Quant à toi Fabien Derien, arrête de lui sucer les roustons.
SALL, The pride of Juraside
#63
Posté 02 septembre 2012 - 15:34
Voyant qu'Auxerre a du brader ses "meilleurs" joueurs pour rester en L2, tu as supprimer les meilleurs joueurs de notre effectif. Comme ça, si descente il y a, (tu peux le dire maintenant c'est ton objectif) tu pourras toujours demander à Nogueira de diviser son salaire par 2.
Ton rêve Alex, c'est quoi ? Une masse salariale à moins d'1 M€ par an c'est ça.
Merde c'est le budget de Strasbourg en CFA ça ! Tout est dit.
Avec un peu de chance, le mec qui tient la buvette de Quevilly te paiera un demi dans 2 ans.
#64
Posté 02 septembre 2012 - 15:50
Dehors les incompétents.
Nous, le club, on l'aime.
Je n'en peux plus de toi.
Mais dégage, dégage, dégage.
Quant à toi Fabien Derien, arrête de lui sucer les roustons.
+1000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000
0000000000000000000000000000000000000000
#65
Posté 03 septembre 2012 - 22:17
#66
Posté 04 septembre 2012 - 04:08
http://www.hostingpi...uxthird2011.png
#67
Posté 04 septembre 2012 - 05:19
Grace à vous je vais suivre la Ligue 2 sur eurosport
Trou de balle
#68
Posté 04 septembre 2012 - 16:43
http://www.hostingpi...uxthird2011.png
#69
Posté 04 septembre 2012 - 16:51
Avez-vous prévu de fêter ce mercato rondement mené avec l'ensemble des joueurs et des dirigeants autour d'une coupe de champagne ?
Non ? Pourquoi ? Avez-vous peur que Hély, Genghini ou d'autres vous balancent leur coupe à la figure ? Si c'est ça, c'est que vous n'avez peut-être pas fait du si bon travail...
Crawl back to the top
Something pulls you up
And a voice says you can't stop
Then I started swimming
I was going down
But now I started
Winning
#70
Posté 04 septembre 2012 - 17:01
désolé, c'est la rentrée !
#71
Posté 04 septembre 2012 - 17:19
Vous êtes le fossoyeur de notre club, s'il ne s'en remet pas, ce sera à cause de vous, et tous autant que nous sommes, nous saurons nous en souvenir.
#72
Posté 04 septembre 2012 - 17:25
"on ne peut pas dire la vérité à la TV car tout le monde la regarde" - Coluche
#73
Posté 04 septembre 2012 - 17:26
#74
Posté 04 septembre 2012 - 18:08
Tu incarnes l'échec.
#75
Posté 04 septembre 2012 - 18:40
Tu incarnes l'échec.
mais pas les chèques
#76
Posté 04 septembre 2012 - 18:50
Tu incarnes l'échec.
mais pas les chèques
Et mat !
#77
Posté 04 septembre 2012 - 21:17
#78
Posté 04 septembre 2012 - 22:51
#79
Posté 04 septembre 2012 - 23:01
#80
Posté 05 septembre 2012 - 06:55
Bravo président !
#81
Posté 05 septembre 2012 - 07:07
Nous ne vous méritons pas. Quittez-nous !
#82
Posté 05 septembre 2012 - 07:32
J'espère chaque jour que dans un éclair de lucidité, la famille Peugeot le foute à la porte.
JCP m'a ressusciter !!!
#83
Posté 05 septembre 2012 - 09:58
#84
Posté 05 septembre 2012 - 10:38
#85
Posté 05 septembre 2012 - 11:52
#86
Posté 05 septembre 2012 - 12:02
Alexandre,
Je t’écris cette lettre que tu liras peut-être si jamais tu venais à prendre une semaine de travail au milieu de tes vacances chargées. Permets-moi aussi de te tutoyer, car finalement voilà quatre ans que nous (re)gardons les chèvres ensemble.
J’aurais pu te gribouiller ces quelques lignes il y a bien longtemps, mais je crois que l’heure est bien choisie pour dresser un bilan de ton œuvre, au moment même où tu sembles toi vouloir déposer celui du club.
Le match face à Montpellier ce samedi aura servi de déclic. Deux choses m’ont frappé: d’abord « l’affaire Boudebouz », qui fait tout de même passer (avec ta précieuse aide !) le public de Bonal pour des crânes rasés refoulés, la presse nationale étant peu regardante sur le conditionnel dans ses papiers ; ensuite, la désaffection inquiétante de ce même public. 9554 spectateurs pour accueillir le récent champion de France, certes c’est un chiffre qui ferait pâlir d’envie un dirigeant ajaccien, mais j’ai pour ma part l’impression que c’est un symptôme de plus du virus qui incube au cœur de ce club depuis le 1er juillet 2008.
Je passe sur l’obligation, au sein de cette maigre populace, de subir les chambrages d’une cagole flanquée du maillot de l’adversaire au moindre exploit de celui-ci. Là où ces comportements sont bannis dans les autres stades, je sais combien le moindre billet vendu compte pour toi. Je te vois d’ici me rétorquer que cette faible affluence est le résultat de la conjoncture économique, du mauvais alignement de Saturne sur Jupiter ou je ne sais quel prétexte.
Une autre théorie pourrait cependant s’avérer plus pertinente, et les deux évènements précédemment cités en sont la parfaite illustration : la disparition latente de nos valeurs et la mort progressive de notre passion. Nous les avions pourtant toutes deux solidement chevillées au corps, et ce depuis plusieurs décennies pour certains. C’est dire le mérite qui reviendrait à celui capable de nous libérer de ce boulet émotionnel auquel nous sommes pourtant si attachés. J’abrège là le suspense, tu remportes évidemment le gros lot.
Sportivement, bien entendu, ce n’est pas la première période de vaches maigres que connaît le FC Sochaux-Montbéliard. D’autres avant toi ont manœuvré un navire à la dérive. Longtemps, les doigts ont pointé certains de tes sous-fifres : Francis Gillot, Mehmed Bazdarevic, Bernard Genghini, Vaclav Sverkos, Nicolas Maurice-Belay, Damien Perquis, Pierrette Lutz etc. Et force est de constater que les gens passent et le navire continue de sombrer.
A titre personnel, je pense que le désastre sportif que nous connaissons aujourd’hui, tu l’as enfanté ce 15 avril 2011 après une longue gestation déjà parsemée de coups d’éclats similaires. Ce jour-là, tu es censé prolonger les contrats de deux joueurs essentiels d’un groupe qui terminera 5e du championnat en cours (Nicolas Maurice-Belay et Boukary Dramé). Les discussions tournent mal, et c’est un fiasco total. Tu auras à ce moment-là de nombreux soutiens, beaucoup saluent ton courage de ne pas céder aux caprices de starlettes en herbe et vantent ta gestion exemplaire. Cette éclatante vitrine vole finalement en éclat le 31 août de la même année, lorsque sur les coups de 22 h, tu offres un contrat de 4 ans à un joueur mis au ban dans son club, Abdul Razzagui Camara : 1,5M d’euros auxquels s’ajoute le salaire mensuel, pour un 73ème couteau qui finira la saison en réserve, et alors qu’une prolongation même revue à la hausse de son brillant prédécesseur Maurice-Belay aurait coûté moins cher, la Grèce n’aurait pas fait mieux.
Ce dernier, à qui tu as si justement rappelé que ses statistiques ne méritaient guère mieux qu’une baisse de salaire, lui qui serait incapable de marquer même un vulgaire pénalty. Quel degré d’ingratitude faut-il générer aux yeux d’un joueur pourtant attaché à ses années passées en Franche-Comté pour que celui-ci en vienne à vouloir l’abattre comme une bête mourante en inscrivant l’un de ces fameux pénalty flanqué d’un maillot adverse (match du 29 avril 2012 face à Bordeaux, défaite cuisante 0-3 à Bonal), simplement pour te prouver que tu avais tort ?
Nous pourrions ici nous pencher sur la liste impressionnante des victimes de ta gestion humaine, mais rappelons simplement que fédérer contre soi des gens aux mentalités aussi diverses que Teddy Richert, Modibo Maïga, Jérémie Bréchet, Nicolas Maurice-Belay, Jacques Faty, Kévin Anin ou Romain Pitau est un fait d’armes méritant un accessit.
Attardons-nous juste sur le cas du dernier cité. Car en effet le 15 avril 2011 n’est que le sommet de ton entreprise de démolition. Bien avant, tu avais déjà usé avec délectation de ta potion magique, savoureux mélange d’économies d’épicier et d’une attitude de cow-boy régnant en son saloon. Romain Pitau, cinq années au club marquées par une attitude et un investissement irréprochables, méritait-il de se voir signifier sa non reconduction de contrat sur le parking du stade à la sortie d’un entraînement ? Nous sommes en 2009, le club se maintient de justesse après un début de saison apocalyptique ; onze joueurs sont en fin de contrat, les onze sont invités à quitter le club. Aucun ne soulignera ton élégance. Plutôt que de miser sur l’aura générée par Pitau, vieux briscard et homme de base du milieu de terrain cinq saison durant, tu obtiens dans la deadline du mercato le prêt de Benjamin Gavanon, en manque de temps de jeu à Nancy. Tiens, ce cheminement m’en rappelle un autre ! Au final, combien de points perdus la saison suivante pour combien d’euros économisés ?
Parmi les onze, signalons également le cas d’Omar Daf, autre figure légendaire de Bonal, tellement inutile dans l’effectif que tu le rapatrieras trois ans plus tard.
Je te vois d’ici me rétorquer que ce grand ménage aboutira à une cinquième place en 2011. Cet exploit pourra longtemps te servir d’excuse, ce n’est pourtant qu’un écran de fumée, une anomalie due à un extraordinaire sprint final alors que le club était, jusqu’à neuf journées de la fin, engluée à sa place en seconde partie de tableau et jouant le maintien. L’osmose de cette équipe, née de la bonne entente au sein d’un vestiaire de « potes », laissait entrevoir des jours meilleurs. D’ailleurs, les joueurs sont venus te trouver au printemps pour te dire qu’ils souhaitaient continuer leur route ensemble, exprimant clairement leur volonté de voir les contrats de Maurice-Belay et Dramé être prolongés. La suite, on la connaît …
Alors soit, nous savons pertinemment combien le sportif est aujourd’hui lié à l’économique dans le football moderne. Est-ce pour cette raison que je devrais avaler les couleuvres que tu tentes de nous faire ingurgiter, en attribuant à la crise économique tous les maux de notre club pour mieux te dédouaner de ton incompétence notoire ? Tu déclarais il y a quelques jours qu’il était impossible de dénicher un attaquant à 15 buts par saison pour 3M d’euros. Le 4 septembre, François David, un journaliste expatrié en Espagne rappelait que Michu a été transféré pour 2,5M d’euros à Swansea après avoir inscrit 17 buts en Liga la saison passée. Forcément, la contradiction interpelle : à quoi peuvent bien servir les personnes que tu payes pour dénicher les perles rares s’ils ne font pas leur boulot d’écailleurs ? Tu l’as pourtant dis toi-même, voilà un an que la cellule de recrutement était à la recherche d’un attaquant. Sauras-tu tirer les conclusions d’un échec aussi cuisant ?
Comment expliquer, autrement que par l’incompétence que je veux bien t’attribuer, que sur les 11 titulaires d’il y a deux ans, il n’en reste que deux sans qu’aucun remplaçant de valeur égale ne soit venu suppléer les partants ? Tu disais récemment (encore), que le club était autonome financièrement et que l’actionnaire te laissait les mains libres. Comment expliquer alors le peu d’investissement sur le marché des transferts tandis que les rentrées d’argent dans ce domaine sont au beau fixe ? La couverture des dépenses courantes, du centre de formation, ou de la baisse des droits télévisés ne saurait justifier que la balance s’affaisse à ce point.
Nous avions compris depuis bien longtemps combien tu es attaché aux petites économies, quand bien même celles-ci empièteraient sur la passion des supporters ou le bien-être des joueurs : nul doute que la suppression des corbeilles de fruits secs dans le vestiaire t’aura permis de rétablir à l’équilibre les comptes du club, davantage que les ventes d’Erding, Ideye, Martin ou Maïga dont l’odeur des billets verts nous reste encore inconnue.
Nul doute de ton émotion au moment où tu déplaças des abonnés de longue date de leur secteur, histoire d’économiser des frais d’entretien qui t’auront sans aucun doute permis de payer trois jours de salaire de Razza Camara. Un déplacement de supporters de leur secteur qui, au final, coûtera plus cher qu’il n’était censé rapporter, eu égard au nombre de fidèles dégoûtés par cette obligation de quitter une place qu’ils occupaient depuis des années et qui ont pris la décision de ne pas renouveler leur abonnement.
Nul doute non plus de ton effroi à l’idée d’émasculer la seule tribune véritablement active de Bonal, sans laquelle le stade ressemblerait à n’en pas douter à un COSEC lors d’une rencontre départementale de volleyeuses juniors, en retirant à ses membres drapeaux et tifos et en encadrant ceux-ci comme de vulgaires délinquants récidivistes. Heureusement pour toi, les accusations récentes de racisme viendront sans problème justifier cette politique autoritariste instaurée de longue date.
Nous ne doutons pas que c’est pour ces raisons que tu te retrouves parachuté dans un monde que, visiblement, tu n’aimes pas ou, à coup sûr, que tu ne comprends pas. Les temps sont durs pour Peugeot et le FC Sochaux est un luxe qui lui coûte cher. Toutefois, es-tu à ce point loyal pour claironner que le club n’est pas siphonné par son actionnaire et endosser le costume de l’incompétent notoire de service ; où es-tu à ce point incompétent pour siphonner des millions d’euros et les laisser disparaître sans être capable de nous expliquer par quel tuyau ils passent ?
La morale, l’exemplarité, les valeurs historiques du peuple sochalien, on s’en tape fichtrement, admets-le ! On peut par exemple laisser un joueur se mettre en grève ou insulter les supporters face caméra sans jamais exiger de lui d’excuses publiques. On peut aussi en laisser un autre beugler le chant d’un club adverse avec ses supporters, tandis que ses coéquipiers se battent contre sur le terrain, sans en faire une affaire d’état .
Mais nous aurions bien aimé, figure-toi, te voir réagir dans la presse avec autant d’aplomb à ces divers camouflets que lorsque le second joueur en question se dira victime d’insultes racistes alors que personne n’avait encore pu confirmer cette accusation, méthode qui ressemble autant à un processus de victimisation (orchestré ?) qu’à une fuite de responsabilités. Mais nous comprenons bien l’attachement particulier qui te lie à lui, et surtout aux euros qu’il est susceptible de rapporter. D’ailleurs, les acheteurs se sont bousculés tout l’été au portillon.
J’aurais également apprécié entendre ta voix au moment où tes supporters, ceux que tu es censé représenter, se sont injustement vu sucrer le déplacement au Vélodrome à l’été 2011, sous des prétextes fallacieux et alors que le parcage réservé aux supporters adverses sera finalement occupé par des Marseillais.
J’aurais aimé t’entendre aussi lorsque notre calendrier fut massacré par la Ligue il y a deux ans, nous obligeant à enchaîner les matchs à l’extérieur et à affronter deux fois de suite le sacro-saint OM.
En clair, j’aurais adoré t’entendre tout au long de ces années défendre ceux qui te permettent de vivre, et qui permettent au football professionnel de vivre gracieusement, plutôt que de surgir avec parcimonie pour défendre tes seuls intérêts économiques et financiers.
Aujourd’hui, je souffre, comme quelques dizaines de milliers d’autres amoureux du FC Sochaux-Montbéliard. Comment pourrait-il en être autrement, alors que je constate avec impuissance que le club de mon cœur s’enfonce dans la médiocrité non seulement sportive mais aussi humaine ? Pour mieux justifier les saignées dont est victime l’effectif, tu brandis la formation comme un évangile. Mais derrière les footballeurs que nous formons avec brio, le peuple sochalien attend de trouver des hommes, ou au moins l’ombre de ceux-ci. L’ombre des valeurs qu’il aime venir embrasser en se rendant au stade, celles de son terreau ouvrier, le travail, la solidarité, l’humilité. Pas des mercenaires en herbe clamant leur amour pour l’Olympique de Marseille sur le site officiel du club dès leur première interview. La mentalité désastreuse qui gangrène le FC Sochaux aujourd’hui est le résultat d’une politique humaine dont vous êtes le responsable, vous et les gens que vous avez placé ou maintenu aux postes clés.
Je souffre car je vois les valeurs du FC Sochaux sombrer au même rythme que la défense de son équipe professionnelle.
Je souffre en voyant son président cautionner des attitudes désastreuses pour son image et pour l’image du football en général.
Je souffre en voyant ce même président vider et réduire au silence match après match un stade qui petit à petit prenait vie depuis le début des années 2000.
Je souffre en le voyant mettre en place une politique sportive kamikaze en prétextant une conjoncture économique que tous ses adversaires subissent pourtant eux aussi.
Je souffre en voyant jouer chaque semaine l’équipe la plus faible qu’il m’a été donné de voir au Stade Bonal depuis que je m’y rends et la perspective de retrouver celle-ci à un voire deux étages inférieurs dans peu de temps.
Je souffre en voyant le président (toujours lui) appliquer la politique de l’autruche et nous faire croire qu’après la pluie vient le beau temps.
Je souffre en me rendant compte qu’il fait fuir à un rythme effréné les figures historiques de notre club et les joueurs de talent en les remplaçant par des busards, et ce au nom d’économies dont on ne connaît ni les tenants, ni les aboutissants.
Je souffre en pensant que le fondateur historique de ce club puisse avoir l’idée de le laisser mourir afin de se délester d’un poids prestigieux mais excessivement cher. Je souffre en pensant que c’est pour cette raison qu’un tel pantin fut délégué aux responsabilités. Je souffre qu’un tel désespoir m’ait entraîné à user des mêmes méthodes rhétoriques que François Hollande. En clair, je souffre.
Et c’est donc pour ma santé, pour celle de mes voisins de tribune, pour celle de l’ensemble de mes congénères sur ce forum, pour celle de tous les supporters du FC Sochaux, que je te demande solennellement de foutre le camp. Car le FC Sochaux c’est moi, ce sont toutes ces personnes qui se saignent à la tâche pour venir garnir toutes les deux semaines les tribunes de Bonal, ce sont celles qui se tuent à faire vivre des sites internet, à organiser des déplacements à travers la France, à subir des heures et des heures de route afin d’encourager ceux qui s’apparentent de plus en plus comme de vulgaires mercenaires que l’on ne force même plus à applaudir leur public. Le FC Sochaux, ce sont tous ces gens, pas toi.
Comme disait un célèbre chanteur lors d’une autre lettre ouverte écrite à son PDG pas franchement plus respectable, « si nous sommes tous embarqués sur la même planète, on n’est décidément pas du même monde ». Retourne dans le tien !
#87
Posté 05 septembre 2012 - 12:36
Je crois que le FCSM applique déjà le fair-play financier et que le club ne peut dépenser ce qu'il n'a pas puisque l'actionnaire ne remettra jamais un centime par les temps qui courent.
Je prenais tout à l'heure l'exemple de Rennes que je trouve assez significatif. Jusqu'à cette année le club vivait sur son budget et l'actionnaire mettait la main à la poche pour quelques transferts supplémentaires mais c'est terminé maintenant. Dréossi a très bien résumé la situation si bien qu'aujourd'hui M'Villa que je n'aime pas particulièrement mais qui n'est tout de même pas un manchot est devenu un boulet pour le club qui a du dégraisser sans pour autant combler les départs et ce juste pour continuer à vivre.
J'attends tout comme vous le remplacement de Lacombe pour voir enfin une autre personnalité, je ne suis par contre pas certain qu'on y verra une autre politique. Cette dernière phrase aurait toute sa place dans le topic ne nous fâchons pas maintenant que j'y pense.
#88 Invité_David Besançon_*
Posté 05 septembre 2012 - 12:58
(Qui ne copie pas que les procédés rhétoriques de François Hollande, mais aussi ceux de L'Alien. Mais c'est pour la bonne cause.)
#89
Posté 05 septembre 2012 - 13:41
#90
Posté 05 septembre 2012 - 14:00