Et pourquoi pas Jussié en attaquant. Il est libre et pourrait amener son expérience.
« La deadline arrive fin janvier, en ce moment je travaille beaucoup. Le mot c’est le travail. Je suis avec un préparateur physique de rugby à 7, qui est basé à Bordeaux et qui s’appelle Bruno Marrier, quelqu’un de très bien. Je suis très en forme. Je me dis que c’est le moment de travailler en attendant une nouvelle proposition. Il ne me reste pas longtemps mais on verra ce que ça va donner à la fin de ce mercato. Il a failli y avoir le Brésil, il y a eu des touches, des contacts, ça a beaucoup parlé. Mais finalement ça ne s’est pas fait. Il y a un espoir parce qu’à 33 ans, avec l’envie que j’ai, je me dis que ce serait dommage d’arrêter ma carrière de cette façon. Ce qui est sûr, c’est que je ne peux pas repartir sur six mois sans jouer, donc je devrais prendre une décision fin janvier. Si le 31 janvier à minuit il n’y a rien, la carrière s’arrêtera obligatoirement au niveau professionnel. Mais professionnellement si rien ne se présente le 31, j’arrête, je prends ma retraite professionnelle […] A 33 ans j’ai vécu beaucoup de choses. J’aime le foot mais pour moi il faut un bon projet, c’est ce que j’exige, ce n’est pas le côté financier qui me bloque. Ce n’est pas forcément un projet français. Après, à 33 ans, en ayant joué longtemps et c’est vrai que ma carrière est derrière moi, je me permets de pouvoir choisir et c’est ça aussi qui fait qu’aujourd’hui je n’ai pas trouvé de club. Je ne peux pas aller n’importe où. Il faut un bon projet pour qu’on puisse avancer. A partir du moment où un club me sollicite, je suis prêt physiquement et mentalement, et s’il n’y a rien, ce n’est pas grave, je me serais donné à fond ».