(el merengue @ Samedi 15 Octobre 2005 13:44)
(Clyde @ Vendredi 14 Octobre 2005 18:42)
Bijotat: "Ce sont plutôt les phénomènes extérieurs qui nous perturbent actuellement. Il ne faut pas croire que les propos tenus contre le président ou moi nous font plaisir. Le problème, c'est que tout cela est négatif, déstabilisant, et rejaillit sur le groupe."
En clair, fermez tous vos gueules car c'est de votre faute si on joue mal et on perd.
En filligrane, je me dédouane de mes responsabilités en les faisant supporter aux supporters.
Bravo Dom'
Y'a peut-être pas que les supporters qui sont désignés par "phénomènes extérieurs", mais aussi la presse, peut-être les blessures des joueurs-cadres, etc...
Evidemment, il vise aussi les gens qui réclament sa tête et celle de Plessis, et c'est difficile de lui donner tort. Son déménagement est pas une coïncidence, s'il voulait retrouver un peu de paix et de sérénité, et pouvoir penser à autre chose en rentrant chez lui.
La pression extérieure est énorme (vu les résultats) et c'est facile de concevoir que les joueurs se chient dessus, du moins jouent pas très détendus... Est-ce qu'ils supportent la pression ? Manifestement non. Pas certains en tout cas. On peut pas changer les joueurs une fois de plus, et Plessis semble pas disposé à dégager Bijotat, donc essayons de les mettre tous dans un contexte moins hostile. Parce que là, on les aide pas en sifflant ou en braillant "démission" au stade. J'en ai envie aussi tellement cette situation est chiante, mais en réfléchissant...
Bref, si on regarde de façon pragmatique ce qu'on peut faire avec nos moyens, malheureusement y'a pas grand chose à part ça.
Euh, faut pas exagérer quand même.
A l'OM ou à Paris, la pression est énorme. Avec ce genre de résultat, ils seraient des dizaines de milliers (et pas quelques dizaines) à réclamer sa tête.
Il ne sait pas fait casser sa voiture, ni saccager sa maison. Personne ne l'attend à la sortie du stade pour lui casser la tête et la presse sportive locale n'est pas franchement virulente.
Donc, pression énorme, bof, quoi.
"Les socialistes, c'est comme Christophe Colomb, quand ils partent, ils ne savent pas où ils vont et, quand ils arrivent, ils ne savent pas où ils sont" © Winston Churchill
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Critères pour choisir un sport : si tu es grand, tu peux faire basketeur; si tu es costaud, tu peux faire rugbyman; si tu es con, tu peux faire footballeur.