Posté 13 octobre 2022 - 14:42
Ce qui est surprenant, c'est de se séparer d'entraîneurs qui sont clairement dans la course au maintien pour des clubs dont l'objectif est ... le maintien.
Furlan, par exemple, me semblait parfaitement dans les temps. Par définition, la course au maintien implique des suées et des difficultés. Si on lourde le chef d'orchestre sous prétexte qu'il rencontre des difficultés, ils vont pouvoir valser longtemps.
Je pense que la saison particulière que nous vivons avec la coupe du monde et les quatre descentes génère une certaine panique chez les présidents.
Ceux-là préfèrent activer le siège éjectable du coach rapidement pour pouvoir miser le plus tôt possible sur le fameux "choc psychologique", en allant piocher chez quelques chômeurs au pedigree intéressant, Pelissier, Gourvennec, Puel, que sais-je. Il en a suffi d'un pour que les autres, derrière, aient des vapeurs et accélèrent le processus pour ne pas que leur "choc psychologique" intervienne trop tard.
"Hé camarade, si les jeux sont faits, au son des mascarades on pourra toujours se marrer !"