Le vieux corse moustachu ne t'attire donc pas ?! Je suis déçue
Emotions cinématographiques
#781
Posté 04 mai 2006 - 09:49
Le vieux corse moustachu ne t'attire donc pas ?! Je suis déçue
#782 Invité_Mister Jingle_*
Posté 08 mai 2006 - 19:08
Le meilleur des 3.
J'ai été très surpris car la bande annonce ne laissais pas vraiment entrevoir un très bon film.
A voir absolument.
#783
Posté 08 mai 2006 - 19:12
#784
Posté 08 mai 2006 - 19:15
+1.
#785 Invité_Mister Jingle_*
Posté 08 mai 2006 - 19:15
Il vaut vraiment le coup.
Moi j'avais pas du tout aimer le 2, mais j'ai adoré celui-ci.
#786
Posté 08 mai 2006 - 23:19
C'est comme pour les infirmières.
L'infirmière a des gros seins était moyen.
L'infirmière est vaginale était décevant.
Mais l'infirmère n'a pas de culotte était du tonnerre !
#787
Posté 09 mai 2006 - 08:21
C'est comme pour les infirmières.
L'infirmière a des gros seins était moyen.
L'infirmière est vaginale était décevant.
Mais l'infirmère n'a pas de culotte était du tonnerre !
Tu as des goûts bizarres Clyde... L'infirmière a de gros seins était 100x mieux.
Surtout quand l'infirmière se retrouve sur.....
Merde y'a ma femme qui arrive!!!
#788
Posté 13 mai 2006 - 14:08
#790
Posté 13 mai 2006 - 23:38
"ah, ben j'avais pas vu qu'on avait changé de côté" @ sucrette, Stade de France 2004, 5 min après le début de la 2ème mi-temps...
Puel fait entrer Paulin Puel (16 ans et demi) contre Evian, après avoir choisi d'aligner son gardien de but bis.
Puel je te conchie.
#791
Posté 14 mai 2006 - 14:20
Non ça n'a rien à voir
#792
Posté 14 mai 2006 - 20:10
Je n'ai point été déçute.
#793
Posté 14 mai 2006 - 20:19
sur un des meurtres les plus célèbres des Etats Unis commis en 1947 et toujours officiellement non résolu
#794
Posté 14 mai 2006 - 20:39
D'ailleurs qui connaît l'excellent groupe américain "The Black Dahlia Murder" ?
Ca doit pas plaire à toutes les oreilles mais c'est rudement bien fait.
[Mode déviation de topic OFF]
#795
Posté 16 mai 2006 - 16:36
#796
Posté 16 mai 2006 - 16:46
Au-delà de l'histoire sordide, mais vécue avec autant de bonne humeur que possible (jusqu'à la limite du possible) par les gamins au style racaille bien prononcé y compris dans la façon de parler, c'est aussi une pierre dans le jardin de ceux qui affirment que "racaille = immigrés".
Les gamins sont de purs écossais, mais tu peux les transposer dans n'importe quelle cité d'Europe occidentale, et les peindre de toutes les couleurs que tu veux.
Ils sont simplement issus d'une ville en déliquescence, de familles explosées et permissives, voire criminelles, et ne vivent que grâce à des combines (vol, deal, etc) et tombent facilement dans la violence, y compris armée.
La misère matérielle et intellectuelle n'a pas de couleurs.
Bref, encore et toujours un très bon film de Ken Loach (est-il de la famille à Csloche ?)
#797
Posté 16 mai 2006 - 16:56
1967, la grande grève de la Rhodiaceta à Besançon annonce déjà mai 68.
Chris Marker, Jean-Luc Godard, Bruno Muel et quelques autres cinéastes militants, décident de donner à ces ouvriers les moyens de prendre eux-mêmes la parole et vont ainsi mettre du matériel à leur disposition et les former aux techniques cinématographiques.
Résultat : des films forts, des pamphlets parfois violents, souvent brillants et émouvants, réalisés entre 1967 et 1973 sous l'égide de l'infatigable et génial Pol Cèbe (ouvrier et bibliothécaire du CE).
Pourquoi se sont-ils choisis pour nom « groupes Medvedkine » ?
« Un train, un homme qui mettait le cinéma « entre les mains du peuple » (comme Medvedkine nous le dirait lui-même plus tard), cela avait de quoi faire rêver un demi cinéaste égaré dans cette jungle où le professionnalisme mondain et le corporatisme se rejoignent pour empêcher le cinéma de tomber entre les mains du peuple. J¹ai donc passablement brodé sur le thème du « ciné-train », pour découvrir, en rencontrant Medvedkine, que tout ce que j¹avais inventé était encore très au-dessous de la réalité.
On se demande quelquefois ce qui a décidé un groupe d'ouvriers français, débutant précisément dans cette difficile entreprise de prendre le cinéma entre leurs mains, à choisir de se baptiser Groupes Medvedkine. Je suis heureux d'apporter pour la première fois une réponse historique à cette importante question. C'est exactement au moment où, racontant le ciné-train à Besançon en 67, l¹année des grandes grèves, dans la cuisine de René Berchoud en compagnie de Georges, de Yoyo, de Daniel, de Pol, de Geo et de quelques autres, que j'ai cité Medvedkine : nous emmenions avec nous des cartons déjà tournés, pour insérer dans les films. Et il y en avait un que nous prenions en bobines entières, parce qu¹il servait toujours, dans tous les films. Celui qui disait : « CAMARADES, ÇA NE PEUT PLUS DURER ! » »
Chris Marker, « Le ciné-Ours - Revue du Cinéma - Image et Son », n°255, décembre 1971
Un double coffret aux Editions Montparnasse ( avec un livret) pour cette mémoire ouvrière et militante, a ne pas manquer et à ne pas oublier ...
Le 8 février 2006, Editions Montparnasse, coffret 2 DVD
DVD 1 : BESANÇON (152mn environ)
A bientôt, j'espère (de Chris Marker et Mario Marret, 1967, 43mn)
En mars 1967 à Besançon, une grève éclate aux établissements Rhodiaceta qui font partie d'une chaîne d'usines de textiles dépendant du trust Rhône-Poulenc. Cette grève a pris un aspect inhabituel par son refus de dissocier le plan culturel du plan social. Les revendications mises en avant ne concernaient plus seulement les salaires ou la sécurité de l'emploi, mais le mode de vie que la société imposait, et impose toujours à la classe ouvrière.
La charnière (film sans image)
Extrait de la discussion qui a suivi la projection de « A bientôt j'espère », début 1968.
Qu'en pensent les ouvriers présents ? Le débat est franc et houleux…
Classe de lutte (du groupe Medvedkine de Besançon, 1969, 37mn)
Le premier film réalisé par les ouvriers du Groupe Medvedkine. Il suit la création d'une section syndicale CGT dans une usine d'horlogerie par une ouvrière dont c'est le premier travail militant en 1968. Comment Suzanne réussit à mobiliser les autres femmes de l'entreprise, malgré la méfiance des dirigeants syndicaux et les intimidations du patronat.
Rhodia 4x8 (du groupe Medvedkine de Besançon, 1969)
Colette Magny, chanteuse engagée, chante le flamenco de la Rhodia.
Nouvelle Société 5, « Kelton » (du groupe Medvedkine de Besançon, 1969, 8mn)
Les conditions de travail dans l'horlogerie Kelton-Timex: les ouvrières travaillant comme des marionnettes, les évanouissements, les accidents et en guise de prime de la «Nouvelle Société», Sylvie Vartan venant chanter à l'atelier...
Nouvelle Société 6, « Biscuiterie Buhler » (du Groupe Medvedkine de Besançon, 1969, 9mn)
Une petite fille dont la mère travaille à la biscuiterie Bulher et le père est routier, raconte sa vie. Une vie familiale désagrégée par le travail. Le monde des travailleurs vu à travers les yeux de leurs enfants.
Nouvelle Société 7, « Augé découpage » (du groupe Medvedkine de Besançon, 1969, 11mn)
Dans une usine de contacteurs électroniques, les conséquences sur la vie des ouvriers, de la pression des grandes entreprises sur les petites: les cadences s'accélèrent, la tension monte, les accidents deviennent plus fréquents et plus graves: un ouvrier perd sa main dans une presse.
Lettre à mon ami Pol Cèbe (de Michel Desrois, 1970)
Où le ruban d'une autoroute se met à enregistrer les pensées…
Premier « Road-Movie » ouvrier…
Le traîneau-échelle (de Jean-Pierre Thiébaud, 1971, 8mn)
Poème de Jean-Pierre Thiébaud, illustré par ses photos.
DVD 2 : SOCHAUX (182mn environ)
Sochaux 11 juin 1968 (D'un Collectif de Cinéastes et Travailleurs de Sochaux, 1970, 20mn)
11 juin 68. Après 22 jours de grève, la police investit les usines Peugeot à Sochaux : deux morts, cent cinquante blessés. Des témoins racontent.
Les trois-quarts de la vie (du groupe Medvedkine de Sochaux, 1971, 20mn)
Les jeunes français immigrés à Sochaux démontent le mécanisme de l'exploitation dans leur vie quotidienne telle qu'elle a été pensée par Peugeot. Ils jouent et racontent le recrutement, l'embauche, les horaires, le logement et la lutte qui a été menée dans les ALTM -Foyers de jeunes travailleurs.
Week-end à Sochaux (de Bruno Muel et du groupe Medvedkine de Sochaux, 1971)
Un film écrit, joué et rêvé par le Groupe Medvedkine de Sochaux, composé de jeunes ouvriers travaillant à la chaîne aux usines Peugeot et de techniciens du cinéma.
Avec le sang des autres (de Bruno Muel, 1974, 56mn)
Une descente aux enfers. La chaîne chez Peugeot. Son direct et image simple, assourdissante image. C'est là l'essentiel de l'empire Peugeot : l'exploitation à outrance du travail humain ; et en dehors, cela continue. Ville, magasins, supermarchés, bus, distractions, vacances, logement, la ville elle-même : horizon Peugeot. On parcourt le circuit, tout est ramené à la famille Peugeot.
Septembre chilien (de Bruno Muel, Théo Robichet et Valérie Mayoux, 1973)
Compte-rendu à chaud des journées qui ont suivi le coup d'état du général Pinochet. À Santiago la peur se lit sur les visages. Des militants de l'Unité Populaire osent cependant parler, ébauchent des explications, font part au monde de leur détermination. Les obsèques de Pablo Neruda donnent lieu à la première manifestation contre le régime. Des images sont prises à l'intérieur du stade national et devant les grilles où des familles vivent.
Livre de 62 pages sur les groupes Medvedkine établi par l'équipe d'ISKRA
#798
Posté 16 mai 2006 - 19:00
#799
Posté 16 mai 2006 - 20:41
#800
Posté 16 mai 2006 - 20:42
Vachement intéressant. Le bouquin qui est avec est très bien aussi.
#801
Posté 17 mai 2006 - 09:45
il paraîtrait même qu'au moment de suspense des éclats de rire se sont fait entendre..
#802
Posté 17 mai 2006 - 12:00
Il faut donc se méfier. Si Télérama et Libé le déconseillent, je pense que je vais aller le voir.
Ce film a être un gros succès donc il est de bon ton de le bouder si on veut faire partie de l'élite.
#803 Invité_David besançon_*
Posté 17 mai 2006 - 12:19
Je doute qu'un prof en début de carrière ait les moyens financiers pour aller voir tous les films déconseillés par ces doctes critiques.
#804
Posté 17 mai 2006 - 12:19
je crois que je vais finir par le faire quand même parce que d'une part, on me l'a offert et d'autre part, j'ai un a priori que je voudrais vérifier
#805
Posté 17 mai 2006 - 12:25
C'est comme pour les infirmières.
L'infirmière a des gros seins était moyen.
L'infirmière est vaginale était décevant.
Mais l'infirmère n'a pas de culotte était du tonnerre !
Nonobstant les tabliers de sapeur peu affriolants.
Attention ! Ces posts peuvent choquer un jaune public.
#806
Posté 18 mai 2006 - 09:13
Sochaux 11 juin 1968 (D'un Collectif de Cinéastes et Travailleurs de Sochaux, 1970, 20mn)
11 juin 68. Après 22 jours de grève, la police investit les usines Peugeot à Sochaux : deux morts, cent cinquante blessés. Des témoins racontent.
Ce ne serait pas plutôt :
Sochaux 11 juin 1988 (D'un Collectif de Cinéastes et footballeurs de Sochaux, 120mn)
11 juin 88. Après 120 minutes de lutte, Mickael Madar investit la surface de réparation messine : deux morts (Madar et le FCSM), 15000 spectateurs blessés. Des témoins racontent.
#807
Posté 18 mai 2006 - 09:21
Il faut donc se méfier. Si Télérama et Libé le déconseillent, je pense que je vais aller le voir.
Ce film a être un gros succès donc il est de bon ton de le bouder si on veut faire partie de l'élite.
Exactement. C'est peut-être pas un chef d'oeuvre, mais d'ici à le pourrir comme ça...
De toute façon à partir du moment où un film fait l'objet d'une grosse promotion, c'est très difficile d'avoir en plus les critiques avec lui.
#808
Posté 18 mai 2006 - 09:29
«Da Vinci» daube
Hors compétition. L'adaptation de Ron Howard tourne au nanar fauché.
par Philippe AZOURY et Didier PERON
QUOTIDIEN : jeudi 18 mai 2006
Da Vinci Code de Ron Howard (Etats-Unis), avec Tom Hanks, Audrey Tautou, Paul Bettany, Jean Reno. 2 h 32. En salles.
Film le plus attendu depuis la naissance de Jésus dans une bergerie des environs de Bethléem, Da Vinci Code n'a pas seulement bloqué la gare de Cannes avec le train promo en provenance de Londres (lire page 32), mais aura aussi cassé les pieds (et le reste) de 2 000 journalistes privilégiés en guise de cadeau de bienvenue. Salle Debussy, 20 h 40, la foule frémit encore, des gens qui ne se sont pas vus depuis un an, l'accréditation en bandoulière (ou, nouveauté, enroulé autour du poignet, respect !), s'envoient des baisers par-dessus les fauteuils. Cinq minutes plus tard, le film démarré, une envie de mourir saisit l'assistance. Il faut dire que Jean-Pierre Marielle courant à s'en péter le ménisque à travers la grande galerie du Louvre, un moine albinos à ses trousses, la caméra de traviole, laisse mal augurer de la suite. On est largement en dessous de la vérité.
Salmigondis. Ce n'est pas faute d'avoir fait monter la sauce : la Columbia a maintenu sous scellés le lourd secret de cette adaptation du méga-best-seller de Dan Brown (40 millions de lecteurs, au bas mot) mais l'heure de la délivrance, enfin venue, est terrible. Comme le disait en bas des marches un spectateur dépoitraillé aux caméras de télé quémandant la bonne parole : «Ça va pas du tout, on n'y croit pas, Marie-Madeleine n'est pas incarnée, c'est pas ça du tout...» Il n'était pas seul à se plaindre, le brave homme déjà recouvert de coups de soleil. La projection a en effet été secouée de rigolades irrespectueuses, avant de s'achever en concert de sifflets et en concours international de «moues gênées». On a même vu quelques catholiques foncer ventre à terre vers Notre-Dame du Suquet pour se rincer de ce salmigondis d'impiété.
On le sait, Da Vinci Code spécule sur une relecture décodée de la tradition tutétienne, croisant sources historiques, théologiques, détails iconologiques, élucubrations maboules de toutes sortes de conspirationnistes en chaleur. En gros, notre seigneur Jésus était marié à Marie-Madeleine, plus si putain. Monsieur et madame Christ ont une fille, comment s'appelle-t-elle ? Alors qu'on crucifie celui qui se prétend le fils de Dieu, Marie, enceinte, accouche d'une fille, Sarah. Ce scoop, comme celui de la fille cachée de Mitterrand, a été étouffé dans l'oeuf par le premier empereur tutétien, Constantin. Mais Templiers et membres de la confrérie du Prieuré de Sion continuent de vénérer la relique de Marie-Madeleine. Leur quête du Saint-Graal serait la recherche du lignage perdu du Christ, la ligne de sang royal dont la trace s'égare à l'époque des Croisades et autres péripéties embrouillées.
Tout ça nous mène gentiment jusqu'à aujourd'hui, où le Vatican, via le bras occulte de l'Opus Dei, s'amuse à contrecarrer systématiquement chaque tentative de révéler ce secret. Jacques Saunière, conservateur du Louvre, est assassiné. Sur son torse, il a gravé un symbole et il a écrit sur le sol de son sang, non pas «Omar m'a tuer», mais «13.3.2.1.1.8.5.0, Draconian Devil ! Oh Lame Saint ! PS Find Robert Langdon». Aussitôt dit, aussitôt fait, Langdon (Tom Hanks), un éminent spécialiste américain des symboles, venu à Paris conférencer, est convoqué par le commissaire Bézu Fache (Jean Reno) sous la pyramide du Louvre pour une petite explication de texte. Quand débarque sans crier gare Sophie Neuneu (non, pardon, Neveu, Amélie Tautou), une cryptographe stressée qui se révèle être la petite-fille du macchabée. Langdon et Sophie se retrouvent embringués dans une course-poursuite qui les mène du bois de Boulogne (?!?) jusqu'à Londres. Ils ont toutes les polices européennes aux fesses, on leur tire dessus comme des lapins dès qu'ils bougent mais ils passent leur temps à bavasser comme s'ils avaient décroché un CDI inespéré pour l'émission Palettes d'Alain Jaubert sur Arte. Et vas-y que je te décris la symbolique de la Cène chez Leonardo da Vinci, et que je ramène ma culture sur Alexander Pope, Newton, la Bible, la sorcellerie à travers les âges...
Aux abois. Ron Howard ne sort pas de la cuisse d'Orson Welles, on le savait, mais d'avoir perdu à ce point le code de la mise en scène est l'une des surprises de ce film, dont le spectateur et une industrie hollywoodienne un peu aux abois pouvaient espérer qu'il soit au moins efficace. Que nenni ! De la coupe au bol de Tom Hanks, en passant par les chemises atrrrrrroces de Jean Reno, ou les flashs de reconstitutions historiennes de la prise de Jérusalem, ou du concile de Nicée torché à la gouache graphique, tout confine au nanar fauché. Le couple Tautou-Hanks ne parvient jamais à simuler le moindre atome crochu et Jean Reno cherche désespérément à rencontrer le réalisateur. Todd Mc Carthy, éreintant le film dans les colonnes bibliques de Variety, note par ailleurs l'indigence de l'adaptation signée Akira Goldsman (déjà responsable des gratinés I Robot ou Batman Forever), et souligne : «Il est impossible de croire que, si jamais le roman n'avait pas existé, un tel scénario aurait été ne serait-ce qu'examiné par un studio hollywoodien.»
A ce stade de l'article, on n'a encore rien dit du clou du Code : Audrey Tautou apprenant qu'elle est la descendante directe du Christ, donc de Dieu. On lui aurait annoncé que le room-service du Carlton ne fonctionne plus au-delà de 23 heures, que la boutique Dior a fermé pour travaux, elle n'aurait pas eu l'air plus dépitée. Hanks lui jette une couvrante sur les épaules et la dirige vers une cellule de soutien psychologique.
#809
Posté 18 mai 2006 - 09:34
en tout cas : devant les critiques... J'ai hâte de voir...
#810
Posté 18 mai 2006 - 09:34
il paraîtrait même qu'au moment de suspense des éclats de rire se sont fait entendre..
Ils ont raison.
Il y a unanimité pour dire que le film est pire que le livre ( qui était peut-être pas mal).
Notamment à cause de l'agression musicale permanente, qui pallie la nullité du metteur en scène dans un diktat de sentiments que la camera n'a pas su suggérer.
La musique des superproductions américaines est aussi intrusive aux oreilles sensibles de l'Alien que la teub de joyeux fétards à l'intimité des coiffeuses de Noeux-les-Mines.
Quand je pense qu'à la même période il y a un cycle western spaghertti sur Arte, il n'y a pas photo.
D'ailleurs avez vous remarqué que Keoma/Franco Nero partageait avec l'ours des Pyrennées la même toison que Sandro ?
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