Ne nous fâchons pas !
#7681
Posté 17 septembre 2014 - 12:35
#7682
Posté 18 septembre 2014 - 10:06
Défense de Mosco : "Il s'agit évidemment d'un livre de ministre de l'Economie [pas d'un livre privé], ".
Allez hop, de l'argent public pour écrire son bouquin et les droits d'auteur dans la popoche.
Malheureusement, avec seulement 800 ventes, il n'aura pas touché de droits d'auteur.
Mais rassurez-vous; Mosco a depuis été recasé commissaire européen le 10 septembre, un job à 24.734€/mois..
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Critères pour choisir un sport : si tu es grand, tu peux faire basketeur; si tu es costaud, tu peux faire rugbyman; si tu es con, tu peux faire footballeur.
#7683
Posté 18 septembre 2014 - 11:30
#7684
Posté 18 septembre 2014 - 11:44
Si ça se trouve Jean-Pierre Biot fait plus.
#7685 Invité_David Besançon_*
Posté 18 septembre 2014 - 16:16
Il a une grosse famille, Mosco.
#7686
Posté 18 septembre 2014 - 16:23
Il a une grosse famille, Mosco.
Y'a combien de députés au parlement européen ?
#7687
Posté 19 septembre 2014 - 11:52
Il a une grosse famille, Mosco.
il paraitrait qu'une quinzaine d'exemplaires auraient été acheté par les anciens salariés de la librairie Forum de Montbéliard en marque de soutien à l'ex ministre/député/président/conseiller municipal
#7688
Posté 19 septembre 2014 - 16:14
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Critères pour choisir un sport : si tu es grand, tu peux faire basketeur; si tu es costaud, tu peux faire rugbyman; si tu es con, tu peux faire footballeur.
#7689
Posté 19 septembre 2014 - 23:40
Intéressant.
#7690 Invité_David Besançon_*
Posté 20 septembre 2014 - 12:03
Note que Valérie Pécresse en avait vendu 400 ("Etre une femme politique, c'est pas si facile", un titre pareil, ça ne s'invente pas) avant de devenir ministre du budget de la France.
#7691
Posté 21 septembre 2014 - 16:02
#7692 Invité_David Besançon_*
Posté 21 septembre 2014 - 16:11
Ce qui nous rajeunit peut-il nous faire du mal ?
#7693
Posté 21 septembre 2014 - 20:04
Il a eu une perche énorme, c'est une poutre à ce niveau, concernant les référendums qui donnent la parole au peuple.
Et il passe royalement à autre chose
Avec des itws comme ça, on ne vas pas avancer.
#7694
Posté 21 septembre 2014 - 20:15
Un jour lors d'une campagne de publicité j'avais vu ce slogan :" tout ira pour le mieux à la fin, si ce n'est pas mieux c'est que ce n'est pas la fin"
Le nom des fous est écrit partout, le nom des fins est écrit sans fin
#7695
Posté 21 septembre 2014 - 21:27
Il a eu une perche énorme, c'est une poutre à ce niveau, concernant les référendums qui donnent la parole au peuple.
Et il passe royalement à autre chose
Avec des itws comme ça, on ne vas pas avancer.
Déjà aux ordres.
#7696
Posté 21 septembre 2014 - 22:36
Les fameux "scientifiques de l'éducation" qui traitaient d'imbéciles au mieux et de fascistes au pire ceux qui préconisaient la méthode syllabique étaient donc des charlatans. Plusieurs générations de gamins gâchés à cause d'eux. Et très peu d'enseignants capables d'enseigner avec cette méthode parce qu'on en a interdit l'application (des instits recouvraient des bouquins de syllabiques avec la couverture des manuels "officiels") mais aussi parce qu'on l'avait boutée des IUFM.
On fait quoi maintenant ? Et bien, on va continuer pareil...
Tout dépend de la langue étudiée par ces recherches. Je ne sais pas de quelle étude parlait ce reportage, mais je suppose qu'une étude du National Reading Panel concernait la langue anglaise et donc les conclusions ne sont absolument pas pertinentes pour le français.
Après il faut bien comprendre que le taux d'inconsistance de la langue française se situe entre 10 et 20% pour la lecture et entre 70 et 80% pour l'écriture. La consistance est le degré d'incertitude entre ce qui est écrit et ce qui est lu/entendu. Cela provient du fait qu'il y a beaucoup d'homophonie. Par exemple, femme, dame, flamme, âme sont 4 façons différentes de prononcer le même son. De même, une même graphie peut prendre plusieurs valeur en prononciation, par exemple bille et ville. Un mot comme oignon ne peut pas être compris par un enfant avec une méthode purement syllabique.
Une dose de globale est donc indispensable à l'apprentissage du français, et on l'utilise tous quand on cherche comment s'écrit un mot dans le dictionnaire...
Là où je te rejoins, c'est qu'il faut commencer par du syllabique, et avec des mots réguliers (mots qui s'écrivent comme ils se prononcent, ex : animal). Mais on est vite limité, car les mots réguliers en français ne sont pas nombreux et on est obligé, très tôt dans l'apprentissage de faire du global.
Quand tu dis que la méthode mixte à départ global est imposé, c'est absolument faux. Les professeurs des écoles ont une grande liberté pédagogique et utilisent les méthodes qu'ils jugent les plus pertinentes. Il suffit, d'ailleurs, d'aller vérifier les programmes ou progressions sur le site du ministère pour s'en convaincre. Sur ce lien, tu trouveras les progressions (qui sont des aides pour les PE et non des choses imposées), et tu verras qu'il est conseillé que l'apprentissage de la lecture commence par l'apprentissage des correspondances entre les lettres et les sons dans les graphies simples et complexes. Autrement dit, c'est du syllabique.
#7697
Posté 22 septembre 2014 - 13:40
Ah non je suis désolé, il est petit certes mais hier soir sur France c'était notre grand ex Président venant faire sa récitation de communication, et pas un enfant !
Le retour des vacances du petit Nicolas !
#7698 Invité_David Besançon_*
Posté 22 septembre 2014 - 16:14
Les fameux "scientifiques de l'éducation" qui traitaient d'imbéciles au mieux et de fascistes au pire ceux qui préconisaient la méthode syllabique étaient donc des charlatans. Plusieurs générations de gamins gâchés à cause d'eux. Et très peu d'enseignants capables d'enseigner avec cette méthode parce qu'on en a interdit l'application (des instits recouvraient des bouquins de syllabiques avec la couverture des manuels "officiels") mais aussi parce qu'on l'avait boutée des IUFM.
On fait quoi maintenant ? Et bien, on va continuer pareil...
Tout dépend de la langue étudiée par ces recherches. Je ne sais pas de quelle étude parlait ce reportage, mais je suppose qu'une étude du National Reading Panel concernait la langue anglaise et donc les conclusions ne sont absolument pas pertinentes pour le français.
Après il faut bien comprendre que le taux d'inconsistance de la langue française se situe entre 10 et 20% pour la lecture et entre 70 et 80% pour l'écriture. La consistance est le degré d'incertitude entre ce qui est écrit et ce qui est lu/entendu. Cela provient du fait qu'il y a beaucoup d'homophonie. Par exemple, femme, dame, flamme, âme sont 4 façons différentes de prononcer le même son. De même, une même graphie peut prendre plusieurs valeur en prononciation, par exemple bille et ville. Un mot comme oignon ne peut pas être compris par un enfant avec une méthode purement syllabique.
Une dose de globale est donc indispensable à l'apprentissage du français, et on l'utilise tous quand on cherche comment s'écrit un mot dans le dictionnaire...
Là où je te rejoins, c'est qu'il faut commencer par du syllabique, et avec des mots réguliers (mots qui s'écrivent comme ils se prononcent, ex : animal). Mais on est vite limité, car les mots réguliers en français ne sont pas nombreux et on est obligé, très tôt dans l'apprentissage de faire du global.
Quand tu dis que la méthode mixte à départ global est imposé, c'est absolument faux. Les professeurs des écoles ont une grande liberté pédagogique et utilisent les méthodes qu'ils jugent les plus pertinentes. Il suffit, d'ailleurs, d'aller vérifier les programmes ou progressions sur le site du ministère pour s'en convaincre. Sur ce lien, tu trouveras les progressions (qui sont des aides pour les PE et non des choses imposées), et tu verras qu'il est conseillé que l'apprentissage de la lecture commence par l'apprentissage des correspondances entre les lettres et les sons dans les graphies simples et complexes. Autrement dit, c'est du syllabique.
Des PE qui se sont faits sermonner par leur inspecteur parce qu'ils faisaient du départ en syllabique, ça n'existe pas ? Mon oeil !
Sinon, le reportage en question, c'était bien en France avec de la langue française.
#7699
Posté 23 septembre 2014 - 13:06
Après que le syllabique soit meilleur que le global, j'en suis persuadé.
Par contre, dans ce que tu relates, il manque certains renseignements.
En effet, tu dis que les résultats dans 5% des écoles sont meilleurs que dans 95% des écoles. La différence entre les deux échantillons est déjà tout de même considérable. Mais il faudrait savoir si la répartition des différents types d'école est la même dans les deux échantillons. Si ce n'est pas le cas, la cause peut être toute autre.
Si on fait une étude dans une école du centre ville de Besançon et dans une de Planoise, je suis prêt à parier que les résultats ne seront pas les mêmes même s'ils utilisent la même méthode.
#7700
Posté 23 septembre 2014 - 13:21
Les fameux "scientifiques de l'éducation" qui traitaient d'imbéciles au mieux et de fascistes au pire ceux qui préconisaient la méthode syllabique étaient donc des charlatans. Plusieurs générations de gamins gâchés à cause d'eux. Et très peu d'enseignants capables d'enseigner avec cette méthode parce qu'on en a interdit l'application (des instits recouvraient des bouquins de syllabiques avec la couverture des manuels "officiels") mais aussi parce qu'on l'avait boutée des IUFM.
On fait quoi maintenant ? Et bien, on va continuer pareil...
Tout dépend de la langue étudiée par ces recherches. Je ne sais pas de quelle étude parlait ce reportage, mais je suppose qu'une étude du National Reading Panel concernait la langue anglaise et donc les conclusions ne sont absolument pas pertinentes pour le français.
Après il faut bien comprendre que le taux d'inconsistance de la langue française se situe entre 10 et 20% pour la lecture et entre 70 et 80% pour l'écriture. La consistance est le degré d'incertitude entre ce qui est écrit et ce qui est lu/entendu. Cela provient du fait qu'il y a beaucoup d'homophonie. Par exemple, femme, dame, flamme, âme sont 4 façons différentes de prononcer le même son. De même, une même graphie peut prendre plusieurs valeur en prononciation, par exemple bille et ville. Un mot comme oignon ne peut pas être compris par un enfant avec une méthode purement syllabique.
Une dose de globale est donc indispensable à l'apprentissage du français, et on l'utilise tous quand on cherche comment s'écrit un mot dans le dictionnaire...
Là où je te rejoins, c'est qu'il faut commencer par du syllabique, et avec des mots réguliers (mots qui s'écrivent comme ils se prononcent, ex : animal). Mais on est vite limité, car les mots réguliers en français ne sont pas nombreux et on est obligé, très tôt dans l'apprentissage de faire du global.
Quand tu dis que la méthode mixte à départ global est imposé, c'est absolument faux. Les professeurs des écoles ont une grande liberté pédagogique et utilisent les méthodes qu'ils jugent les plus pertinentes. Il suffit, d'ailleurs, d'aller vérifier les programmes ou progressions sur le site du ministère pour s'en convaincre. Sur ce lien, tu trouveras les progressions (qui sont des aides pour les PE et non des choses imposées), et tu verras qu'il est conseillé que l'apprentissage de la lecture commence par l'apprentissage des correspondances entre les lettres et les sons dans les graphies simples et complexes. Autrement dit, c'est du syllabique.
Des PE qui se sont faits sermonner par leur inspecteur parce qu'ils faisaient du départ en syllabique, ça n'existe pas ? Mon oeil !
Sinon, le reportage en question, c'était bien en France avec de la langue française.
Pfffff, ça fait longtemps qu'on a supprimé le global pur. On fait du mixte désormais, avec de la phonologie qui est du syllabique mais appliqué de façon moins bête qu'avant. La grande différence par rapport à avant c'est qu'on a des gamins de moins en moins éveillés et avec un vocabulaire très limité. En zep, on peut avoir des gosses qui arrivent en CP avec un niveau de compréhension de langage d'un chien d'aveugle. On veut que l'école soit un service comme un supermarché, qu'on donne tout et tout de suite. Mais on ne peut pas faire le travail quotidien qui doivent être fait par des parents à la maison.
Le niveau scolaire redescend à ce qu'il se faisait il y a plusieurs décennies. Apprendre bêtement quelques notions de base.
#7701
Posté 23 septembre 2014 - 14:01
L'école s'engage à tenir un programme annuel d'acquisition (surement un besoin primaire de justification de son travail).
Face à cela je ne m'étonne plus de voir des parents attendre de l'école que leur enfant ai le niveau.
Pour le travail quotidien qui devrait être fait par les parents à la maison, ça me questionne également. On part du prérequis que les parents ont la capacité à avoir l'acquis nécessaire pour accompagner leur enfant. est une réalité ?
J'ai moi même un enfant scolarisé en primaire et souvent je me confronte à des méthodologies d'apprentissage qui sont loin de celle que j'ai connu au même cycle (toutes matières confondues). Quand mon enfant bloque, je me demande toujours si je dois être déviant et lui proposer une méthodologie différente dans laquelle je suis à l'aise (au risque de la parasiter l'enseignant et son programme et embrouiller mon enfant) ou insister dans une approche auquel je ne crois pas.
Bref tout ça pour te dire, que le problème de l'école c'est (entre autre) d'évoluer seul en pensant que l'on puisse tous les suivre naturellement. Aurait elle oublié que plus les enfants qui se sont nourri en son sein n'ont pas les acquis suffisant, plus les parents qu'ils deviendront ne seront pas de bon partenaire ?
Le nom des fous est écrit partout, le nom des fins est écrit sans fin
#7702 Invité_David Besançon_*
Posté 23 septembre 2014 - 14:40
Le niveau scolaire redescend à ce qu'il se faisait il y a plusieurs décennies. Apprendre bêtement quelques notions de base.
Je sais bien, je l'ai dit dès le départ.
Le problème aujourd'hui, ce sont les méthodes mixtes à départ global.
J'ai bien souligné et mis en gras. J'aurais dû peut-être le faire avant.
#7703
Posté 23 septembre 2014 - 17:55
Peu, a priori, s'il s'agit d'un départ.
Franchement, je vois des élèves sensibilisés, conditionnés à la combinatoire dès la Grande Section et les les difficultés rencontrées sont là quand même.
Le problème me semble ailleurs.
#7705
Posté 28 septembre 2014 - 21:22
#7706
Posté 28 septembre 2014 - 21:44
Le nom des fous est écrit partout, le nom des fins est écrit sans fin
#7707
Posté 28 septembre 2014 - 22:15
C'est à dire ?
#7708 Invité_David Besançon_*
Posté 29 septembre 2014 - 13:29
Il s'agit de positions anciennes de la part de Chevènement.
De plus, le petit livre sur les scenarii de dissolution de l'euro est le fait de quelques économistes ayant travaillé pour la Fondation Res Publica proche du MRC. Je connais personnellement plusieurs d'entre eux. Il ne s'agit pas de tactique mais de conviction ancrée et ancienne.
#7709
Posté 29 septembre 2014 - 20:17
Je citerai cette phrase tiré de l'étude : " La Fondation est consciente des fragilités de ce type d’études mais elles contribuent à éclairer le débat..."
Quel est l’intérêt de publier une série de supposition avec un titre accrocheur, dans l'aire du temps, mais qui de l’aveu même du donneur d'ordre ont peu de chance d'être dans le vrai ?
Le nom des fous est écrit partout, le nom des fins est écrit sans fin
#7710
Posté 30 septembre 2014 - 11:00
"ah, ben j'avais pas vu qu'on avait changé de côté" @ sucrette, Stade de France 2004, 5 min après le début de la 2ème mi-temps...
Puel fait entrer Paulin Puel (16 ans et demi) contre Evian, après avoir choisi d'aligner son gardien de but bis.
Puel je te conchie.