Le mieux, c'est de plus s'attendre à rien. On s'est pris tellement de murs dans la gueule qu'au bout d'un moment, faut arrêter de se faire du mal.
Que Plessis et Wantiez tentent un dernier coup de poker, c'est tout à leur honneur. Mais je n'y crois guère.
Qu'on y croie ou pas, demain tout le monde va martyriser sa touche F5, toi compris.
Alors je ne vais pas te demander de te taire ; simplement d'essayer de comprendre pourquoi tu as besoin de dire que tu ne le sens pas.
C'est une sorte pari de Pascal bas de gamme. Tu paries sur une issue négative ; si elle se produit tu es gratifié car tu as eu raison ; si l'inverse se produit tu seras heureux de t'être trompé, tu l'écriras ici, et publier ce message de contrition te remplira d'allégresse.
Dans les deux cas, tu gagnes ; pour pas cher.
Malheureusement, tu te trompes sur toute la ligne.
Déjà, je ne ferais certainement pas F5 toute la journée car je retape une baraque et que je ne serais pas sur le forum. Y'a des priorités auxquelles on ne peut pas se soustraire.
De plus, chacun ressent une situation différemment d'un autre. Et en l'occurrence, ma position n'engage que moi et je n'essaie de convaincre personne. Je ressens une certaine lassitude après ce marathon en coulisses. Evidemment que le National serait un moindre mal et ce serait inespéré. Tant mieux si ça arrive. Pour le bien du club et pour nous tous.
Si je me trompe c'est encore mieux ; non pardon, encore pire. Ca veut dire que tu déverses ton anxiété le soir, et que pendant les 18 ou 24 heures qui suivent tu n'en as plus rien à foutre ! Tu auras déversé une petite bombinette d'anxiété avant de vaquer à tes affaires.
Comprends que je ne t'interpelle pas sur tes opinions, mais juste sur ta façon de les exprimer.
Le pari de Pascal c'était "on ne sait pas si Dieu, et par extension le Paradis et l'enfer, existent. Dans le doute il vaut mieux y croire, on y gagne à tous les coups."
Nous avons eu successivement le pari de Samuel (rires (jaunes) enregistrés), le pari de Romain, et maintenant le pari de Jean-Claude. Ca coûte quoi d'y croire, ou au moins de t'abstenir d'écrire que tu n'y crois pas ?
La réponse ne me regarde pas, mais qu'est-ce que tu fiches encore debout à 23h30 si demain tu dois te lever de bonne heure pour une dure journée de travaux ?
Je ne te parle pas d'optimisme mais juste d'espoir.