Avec çà, j'espère qu'on a droit aussi à la visite du Papet et d'Ugolin .
Les restos
#31
Posté 01 juin 2008 - 13:02
Avec çà, j'espère qu'on a droit aussi à la visite du Papet et d'Ugolin .
#32
Posté 08 juin 2008 - 07:18
- Chez Nahdi, resto libanais assez connu (rue des Granges). Mézzés (genre de tapas) chauds et/ou froids délicieux pour une vingtaine d'euros (avec dessert mais sans le vin). Accueil très chaleureux, et Nahdi vous fait la visite guidée de ce que vous mangez de façon très amicale.
- L'Etna 3, juste en face de la gare, pizzeria assez classique qui ne paie pas de mine a priori. Mais faut reconnaître que le service était impeccable, rien à redire sur les pizzas (9-10 €) et Tiramisu fabuleux . Ils font aussi des pâtes, entrecôtes, escalopes, moules-frites...
Les deux restos étaient vides à 19h30, mais pleins à craquer à 21h.
#33
Posté 08 juin 2008 - 07:40
- Chez Nahdi, resto libanais assez connu (rue des Granges). Mézzés (genre de tapas) chauds et/ou froids délicieux pour une vingtaine d'euros (avec dessert mais sans le vin). Accueil très chaleureux, et Nahdi vous fait la visite guidée de ce que vous mangez de façon très amicale.
Très sympa le Libanais, mais faut aimer le pois chiche sous toutes ses formes.
A noter que le nom de famille de cette chère Nahdi n'est pas "Nomouk".
#34
Posté 08 juin 2008 - 08:06
Petite précision, on ne trouve du pois chiche que dans 2 des 6 mézzés froids (moussaka et houmous) !
#35
Posté 23 juillet 2008 - 19:48
Testé cette semaine. les pizzas sont en effet tres bonnes pour des tarifs vraiment correctes. Un très bon point!
#36
Posté 02 octobre 2008 - 17:08
#37
Posté 02 octobre 2008 - 17:22
La Cigale...(avec un peu de retard)
#38
Posté 02 octobre 2008 - 20:25
Absolute Beginners
12 mai 2007, OM : A jamais les seconds !!
#39
Posté 03 octobre 2008 - 08:45
#40
Posté 23 octobre 2008 - 12:38
Le 23/10/08 à 06:54 - Propos recueillis par Karine Frelin
Ce tout jeune chef cuisinier de 27 ans vient de reprendre un éminent restaurant à Montbéliard, sa ville natale. Mais avant d’investir le « Cass’Graine », Émilie Petit a eu une autre vie.
Émilie Petit, vous n’êtes pas arrivée directement à la cuisine…
Après le baccalauréat, je me suis dirigée vers les Sciences du langage et de l’éducation, à Besançon. J’ai été jusqu’à la maîtrise, en imaginant faire quelque chose dans l’éducation, ou les métiers de la communication, ou le journalisme. Je devais rester cinq ans en faculté mais au bout de quatre, j’ai décidé de bifurquer.
J’ai toujours adoré cuisiner. Je cuisine depuis toute petite et je suis gourmande. Je parlais de ça avant de partir en fac, mais mes parents voulaient que je fasse des études supérieures. Il y a deux ans, j’ai fini la maîtrise et j’ai dit stop.
Comment s’est passé ce retour vers un CAP, au Centre de formation des apprentis de Bethoncourt ?
Bien, je crois. Depuis trois ans, je parlais de cette formation, je savais où je voulais aller. Mon idée était précise : si je reprenais un restaurant, ce serait le Cass’Graine.
Les années de fac n’ont pas été perdues : si j’avais passé un CAP à 18 ans, je n’aurais pas tenu le choc
J’ai fait ma formation en fonction de ça. Au début, j’étais même prête à financer ma formation, ça a pu se passer autrement.
Au CFA, les rapports n’ont pas été vraiment de professeurs à élève, j’étais plus âgée que les autres. J’ai fait le CAP en une année au lieu de deux, et je l’ai eu en 2007. Cela dit, si j’avais passé un CAP à 18 ans, je n’aurais pas tenu le choc, je ne me sentais pas assez mûre. Les années de fac n’ont pas été perdues.
Quelle a été la suite ?
J’ai postulé chez des étoilés. Ça fait du bien, parfois, de se surpasser. Je suis rentrée chez Alain Chapel (deux étoiles) à Mionnay, dans l’Ain, durant un an. J’étais aux entrées, avec le chef, puis au poisson. Mais j’avais toujours le Cass’Graine en tête et les patrons cherchaient à céder leur affaire. J’ai donc fait toutes les démarches depuis Lyon, à la banque, chez le comptable, je rentrais le week-end pour m’occuper de ce projet. Malgré mon manque de connaissances sur la question, les financiers ont suivi : les gens ressentent quand on a un objectif bien ciblé. Le tout s’est donc concrétisé en juin dernier, où j’ai repris le restaurant.
Qu’est-ce qui vous plaisait dans ce restaurant ?
Il est petit, avec ses 24 couverts, chaleureux. Le cadre me plaisait et la cuisine aussi. Je suis seule en cuisine, avec une serveuse en salle.
Quel genre de cuisine avez-vous mis en place ?
Une cuisine aux produits frais, de marché, de saison. Je change régulièrement les plats, je ne propose « que » trois ou quatre entrées, deux viandes, deux poissons, trois desserts, le tout à l’ardoise. J’aime bien travailler le poisson, les gens apprécient d’en manger au restaurant.
Quelles sont vos références dans le métier ?
Sans aucun doute Philippe Jousse, le chef du restaurant Alain Chapel.
Vous n’avez donc pas de regrets par rapport à votre ancienne vie ?
Aucun. Mes parents me voient épanouie, je ne vois pas le temps passer en cuisine. Et pour l’instant, je suis prise dans un rythme sans trop de temps pour autre chose.
La semaine dernière, vous avez cuisiné pour 1025 demi-pensionnaires à l’Institution Sainte-Marie de Belfort. Comment avez-vous appréhendé cette expérience ?
Quand une amie, enseignante à Sainte-Marie, m’en a parlé, deux-trois semaines avant, j’étais un peu effrayée. Il y avait un risque par rapport au goût, quand on fait les choses en grande quantité. Avec le chef, Thibault Rohner, on a travaillé ensemble pour que ce soit ludique et coloré. Mais il ne faut pas comparer avec ce que je fais au restaurant. Cette expérience m’a sortie de ma cuisine. Je suis contente de l’avoir tentée.
karine.frelin alsapresse.com
Y ALLER
« Chez Cass’Graine », 4 rue du Général-Leclerc à Montbéliard. Tél. 03.81.91.09.97 e-mail : cassgraine orange.fr
Source : http://www.lepays.fr...passer---409285
#41
Posté 23 octobre 2008 - 17:52
#42
Posté 23 octobre 2008 - 18:25
#43
Posté 23 octobre 2008 - 19:32
#44
Posté 23 octobre 2008 - 19:51
#45
Posté 23 octobre 2008 - 20:11
Sinon voilà mais tout le monde sait que c'est La Baie d'Halong le meilleur même si sa typicité alsacienne peut être mise en cause
#46
Posté 24 octobre 2008 - 19:11
T'as pecho dans l'68 ?
#47
Posté 24 octobre 2008 - 19:26
- La maison des Têtes.
- L'Echevin (le long de la Petite Venise) Gastronomique......... Puis nuit au "Maréchal" ?
- Jean Yves Schillinger - 17 quai de la Poissonerie
- La Maison Rouge - rue des Ecoles
Le tout dans les rues pietonnes.
#48
Posté 24 octobre 2008 - 21:51
T'as pecho dans l'68 ?
Nop : je vais y croiser mes parents pour le marché de Noyel, et vu que ça tombe peu avant l'anniv de ma moman, je regarde où l'amener manger un morceau
#49
Posté 24 octobre 2008 - 21:53
Pour confirmer ce 1er avis, j'y suis retourné ce soir. Et bein je confirme sans hésitation !
#50
Posté 24 octobre 2008 - 21:54
#51
Posté 02 décembre 2008 - 13:56
Le 02/12/08 à 07:00 - Sylvain Michel
Après sept mois de travaux, un food-café ouvre ses portes ce matin au 11, faubourg des Ancêtres.
La vitrine du 11, faubourg des Ancêtres à Belfort, s’apprête à révéler ses secrets après sept mois de travaux. Pascal Marini, 51 ans, a en effet repris l’ancien PMU pour mettre en application un de ses concepts : un food-café « qui s’inspire de nombreux voyages à l’étranger, qui constitue un "melting pot" de tout ce qu’on a pu voir ou entendre ».
Ce mardi 2 décembre, The Placeouvrira ses portes sur 260 m² agrémentés de décorations et de mobiliers neufs, disposant d’un local pour les fumeurs, d’un emplacement DJ pour les soirées.
Trônant sur un bar énorme, une colonne givrée est mise en valeur par des lumières tamisées. Des banquettes confortables achèvent de mettre à l’aise dans un style « tendance cubaine ».
« Nous misons sur l’originalité en proposant de la bière corse, des variétés d’eau de différentes régions, d’Alsace, du sud-ouest, de vrais cappuccinos ou du pur café italien. Les amateurs pourront déguster du vin au verre, des crus courants mais très bons, à des prix abordables, précise le patron. Derrière le bar, Aurélien assurera le spectacle. Il préparera ses cocktails avec la technique du "flair bartender", qui consiste à jongler avec le shaker avant de servir la boisson, avec ou sans alcool. »
Apéros dînatoires
Au fond de la grande salle, une porte permet l’accès aux cuisines qui constituent le domaine de Francesco. Le jeune homme, formé au Bar du Palaisdans le vieux Belfort, concoctera des spécialités à base de produits frais. Au menu figurent notamment « trois sortes de pâtes fraîches, des hamburgers maison avec de la viande coupée au couteau et présentée sur assiette, des légumes croquants, uniquement à la commande, ou de grandes tartines de foie gras. Nous allons également innover au niveau des desserts », poursuit Pascal Marini qui souhaite d’abord tester son potentiel de clientèle avant d’envisager d’autres aménagements, en l’occurrence une seconde grande salle, à l’arrière du bâtiment, et une terrasse protégée, dans la cour.
En attendant, il avoue déborder d’idées qui deviendront rapidement réalité avec l’organisation d’apéros dînatoires (les tapas), de soirées anniversaires ou VIP, de rassemblements de personnel d’entreprise, de conférences… Initiative qui devrait séduire, certaines tranches horaires seront réservées aux femmes, « durant les matches de foot », sourit Pascal Marini qui s’est attaché les services d’un DJ « assez renommé » pour assurer l’ambiance. À découvrir, à partir de 9 h 30…
Y ALLER
Food-café The Place, 11, faubourg des Ancêtres à Belfort (Tél. 09.53.24.00.30).
Ouverture mardi 2 décembre à 9 h 30.
Source : http://www.lepays.fr...urdhui---449369
#52
Posté 11 janvier 2009 - 12:15
Amuses Bouches x 2
-----------------------
Tartare de Thon rouge aux légumes d'hiver, glaces aux huîtres et caviar
-----------------------
Saint Jacques Rôties et Gambas émulsion d'algues marines et moules de Bouchot
-----------------------
Lasagne d'artichaut aux foie gras et copeaux de truffes sur jus corsé
-----------------------
Râbles de lapin et légumes d'hiver sur jus truffé
-----------------------
Crème renversé au Safran et framboise
-----------------------
Gâteau praliné et riz soufflé au chocolat, glace carambar....
La blague : Quel est le comble pour un mille pattes peintre ?
De s'emmêler les pinceaux.
Voili Voilou,
Sinon en Restau plus traditionnel sur le Territoire, nous avons testé le Relais d'alsace à Foussemagne. Franchement une très très bonne adresse régionale ! Cuisine Traditionnelle peu inventive mais très bien réalisé. De mémoire j'avais pris des saint jacques à la badiane et un risotto traditionnel + 1 assiette dessert. Compter 40 € par tête avec le vin.
Tout ça pour dire, que comme je ne vais plus à Bonal, j'en profite autrement...
#53
Posté 07 février 2009 - 18:57
bon ce soir, je vais faire un petit tour en Alsace à Westhalten...Très bonne adresse qu'est l'auberge du Cheval Blanc...
#54
Posté 02 mars 2009 - 13:17
Le 02/03/09 à 11:09
Le restaurant "Le Pot d'Etain" à Danjoutin est cité parmi les 14 établissements "Espoirs 2009 pour une étoile" sélectionnés par le Guide Michelin 2009 publié ce matin.
Dans cette centième édition du Guide, les restaurants "Le Saint-Martin" à Montbéliard, "L'Auberge de la Roche" à Morteau, "Mon Plaisir" de Chamesol, "Le France" de Villers-le-Lac, "Le Bon Accueil" à Malbuisson et "L'Etang du Moulin" à Bonnétage conservent leur étoile.
Source : http://www.lepays.fr...etoile---534842
#56
Posté 11 mars 2009 - 14:37
#57
Posté 11 mars 2009 - 22:53
et surtout y a chute de la quantité dans l'assiette !!!
#58
Posté 12 mars 2009 - 10:51
#59
Posté 13 mars 2009 - 19:41
Le 13/03/09 à 07:02 - Lionel Vadam
Pour tenter de sortir d’un réel marasme économique, le restaurateur du Gavroche à Montbéliard propose, chaque mardi, un menu à 10 euros sur lequel 50 centimes sont reversés à la banque alimentaire.
Roulé de jambon à la macédoine, boulettes de viande de bœuf à la provençale, panacotta aux fruits rouges. 10 euros. Mardi dernier, Alain Ienn, le gérant de la Brasserie « Le Gavroche » a vendu 25 menus « solidaires ».
Licenciements économiques
« Depuis le début de l’année, notre chiffre d’affaire est en baisse de 30 à 35 %. Aujourd’hui pour s’en sortir, il faut trouver des idées. » C’est de cet implacable constat qu’est né ce menu complet. « Entrée, plat et dessert pour 10 euros. Les portions ne sont pas plus petites qu’avant, mais je dois faire des choix drastiques au niveau des achats », explique le restaurateur montbéliardais qui espère que « le bouche à oreille » donne un élan à son initiative.
« Pour marquer le coup, pour chaque repas vendu, nous reversons 50 centimes à la banque alimentaire. C’est en quelque sorte un repas solidaire. En ces temps difficiles, chacun fait un effort à sa manière », ajoute Alain Ienn.
Depuis novembre 2007, l’ancien propriétaire de l’Hôtel Bristol a repris cette brasserie, dans le quartier Velotte. Depuis, il constate amèrement que sa porte s’entrouvre de moins en moins souvent.
« Lorsque nous sommes arrivés ici, c’était déjà la crise. Avec l’interdiction de fumer, l’activité du bar s’est en effet fortement réduite. »
La baisse de fréquentation l’a également contraint à licencier une partie de son personnel. « Nous étions sept, aujourd’hui nous ne sommes plus que quatre », commente le restaurateur qui espère un regain d’activité dans les prochains mois.
« J’ai fait le tour des autres restaurants, c’est difficile pour tout le monde et nos fournisseurs aussi. Tout le monde commence à payer ses factures à 120 jours plutôt qu’à 90. Il faut vite que nous sortions de cette spirale… », témoigne le professionnel Montbéliardais.
Source : http://www.lepays.fr...-mardi---544372
#60
Posté 17 juin 2009 - 09:06
Hier soir comme on n'avait pas la grande, on décide de se faire un petit resto avec ma copine. La miss a envie d'italien, ok, direction restaurant Pizzeria Luigi à Taillecourt.
Déco intérieure très italienne mais hyper chargée et désordonnée, et on voit qu'il y a un moment qu'ils n'ont pas renouvelé les décos.
Bref passons sur le cadre. Deux tables servies avant nous, pas l'affluence des grands soirs. Je me dis qu'en semaine c'est pas très surprenant.
La serveuse (pas très fraîche) nous emmène les cartes, on arrive enfin à se décider pour les plats (quasiment les deux plus chers de la carte, on a envie de se faire plaisir pour une fois qu'on sort...)
On demande des cocas en guise d'apéro, la serveuse nous les amène déjà servis dans des verres. A 2.50€ le coca, tu peux quand même t'attendre à avoir une belle bouteille de coca en verre et qu'elle te l'ouvre devant toi. Ca n'a pas loupé, c'était du coca du lidl.
Premier truc qui me donne un peu mal à l'estomac...
On passe notre commande, moi une friture assez variée (carpe, petits poissons de friture, calamars, crevettes et Gambas) accompagnée de salade verte et tomates cerises, ainsi que de frites. Quand la serveuse m'a amené mon plat, j'ai cru qu'elle m'avait servi tout ce que les autres tables avaient commandé: ça va être copieux, mais ça a l'air bon et la friture ne semble pas trop grasse. Bon point.
Après m'avoir servi, la serveuse part emmener un plat au mec d'à côté avant de servir ma compagne. J'étais déjà surpris qu'elle me serve en premier, mais faire un breack dans le service de notre table pour servir la table à côté, j'avais jamais vu ça à part au mac Do quand ils sont en rupture d'un sandwich.
Bref, on commence à manger, Joxy s'aperçoit que l'assiette sur laquelle est présentée son plat est non seulement usée par le temps mais en plus tachée de sauce tomate qui semblait ne pas dater du jour même... Niveau vaisselle on repassera.
La bouffe est bonne, rien à redire là dessus, le chef est à garder.
Le repas continue, on commande une assiette de fromages italiens, mais avant de commander, par principe, je demande de quoi est composée cette assiette: serveuse incapable de répondre à ma question. Les fromages étaient bons, mais on ne sait pas ce qu'on a mangé à part le Parmesan et la mozzarella assez typiques.
En rupture d'eau pendant le fromage et la serveuse absente de la salle, je me lève pour aller demander de l'eau. Je m'approche du bar, pas de serveuse, j'avance un peu pour voir où elle est et à ma grande surprise je la retrouve accroupie derrière le bar en train de siffler un verre de rouge.
Belle ambiance.
Je reviens à ma place, continue de manger mon fromage et là, Joxy trouve une petite boulette de papier chiffonné dans la corbeille de pain: un ticket de caisse avec des notes dessus genre adresse et numéro de téléphone. Ok, je prends la corbeille de pain, et là grande surprise: une vieille frite froide et un bout de fromage au fond de la corbeille. J'interpelle la serveuse bien énervé et elle me répond d'un air tout naturel: "oh merde, ça doit être la corbeille du patron j'ai pas fait gaffe" et nous change la corbeille comme si de rien n'était.
Bref, fin du fromage, plus d'appétit, on laisse plus de la moitié de l'assiette, on se lève et par politesse je suis quand même allé demander la note, bien qu'ayant très envie de partir sans payer.
La bonne femme me tend la note, je regarde le détail et elle me fait "j'ai pas compté l'assiette de fromage" ce à quoi j'ai répondu tout naturellement: "ça tombe bien j'avais pas prévu de la payer.
Pas d'excuses autre que le "petit geste", je lui mentionne qu'on n'est pas près de revenir et que c'est dommage car la bouffe est bonne.
donc voilà, si vous voulez bien manger, allez là bas, mais prenez vos assiettes propres et votre baguette de pain avant d'y aller et allez chercher la bouffe directement sortie de cuisine.