Mouhamadou Drammeh
#31
Posté 11 octobre 2023 - 07:24
#32
Posté 11 octobre 2023 - 08:36
#33
Posté 11 octobre 2023 - 10:03
#34
Posté 11 octobre 2023 - 10:48
On a notre première recrue du mercato.
"ah, ben j'avais pas vu qu'on avait changé de côté" @ sucrette, Stade de France 2004, 5 min après le début de la 2ème mi-temps...
Puel fait entrer Paulin Puel (16 ans et demi) contre Evian, après avoir choisi d'aligner son gardien de but bis.
Puel je te conchie.
#35
Posté 11 octobre 2023 - 15:59
Malheureusement.
#36
Posté 21 novembre 2023 - 12:23
#37
Posté 21 novembre 2023 - 12:30
#38
Posté 21 novembre 2023 - 12:42
Une première apparition à Dijon le 15 décembre ?
#39
Posté 21 novembre 2023 - 14:00
#40
Posté 21 novembre 2023 - 14:11
#41
Posté 21 novembre 2023 - 14:17
Pas fan non plus. Laissons reprendre doucement et sereinement, dans les meilleures conditions possibles.
#42
Posté 21 novembre 2023 - 14:42
#43
Posté 27 novembre 2023 - 20:30
C'est typiquement dans des matchs âpres comme celui de ce soir qu'il nous fera beaucoup de bien en 2024.
#44
Posté 11 décembre 2023 - 18:35
Reblessé .... le verra t on jouer deux matchs ?
#45
Posté 11 décembre 2023 - 18:54
Au mieux, ce sera au printemps.
Il faut recruter Liénard, désormais.
#46
Posté 11 décembre 2023 - 18:56
#47
Posté 11 décembre 2023 - 19:00
#48
Posté 11 décembre 2023 - 19:52
Maintenant il faut recruter un milieu (solide et si possible d'expérience).
A voir les possibles candidatures...
#49
Posté 12 décembre 2023 - 07:43
#50
Posté 12 décembre 2023 - 07:47
il est peut-être fragile, à l'instar de Abou Diaby
Ou alors il a des difficultés dans sa vie personnelle, que je ne connais pas
#51
Posté 12 décembre 2023 - 08:03
"Le problème de ce monde, c'est que les idiots et les fanatiques sont toujours plus sûrs d'eux tandis que les sages sont envahis par le doute." Bertrand Russel
#52
Posté 12 décembre 2023 - 08:50
#53
Posté 12 décembre 2023 - 09:11
On a peut être plus les moyens de les envoyer dans des centres de rééducation pour joueur professionnel (type Capbreton) non plus...
ALLEZ SOCHAUX!
#54
Posté 12 décembre 2023 - 09:23
Cela faisait un moment que Drammeh avait retrouvé l'entrainement collectif. La rechute ne semble pas être due à une maladresse des joueurs adverses. Cela aurait pu arriver tout aussi bien à Dijon ou face à Lorient.
Samuel Laurent est un âne (Petite-fille de Madame Cristina)
#55
Posté 12 décembre 2023 - 11:32
Ou alors... Le staff médical a merdé en le faisant reprendre trop vite ? À la base on avait dit pas avant 2024... Ceci n'est pas un message pour accuser, simplement pour nuancer.
Je me pose la même question. Ne fallait il pas attendre 2024 pour le faire rejouer que ça soit bien consolidé ? Il nous restait 2 matches en décembre... Dont un qui n'avait aucun intérêt (4 0 contre une R1)
C'est franchement triste pour lui. Une saison blanche.
#56
Posté 12 décembre 2023 - 16:25
Soit il n'a pas de chance, soit il est plus que fragile.
Je penche plutôt pour la seconde option malheureusement.
Bon courage a lui tout de même
#57
Posté 12 décembre 2023 - 19:18
#58
Posté 12 décembre 2023 - 23:32
#59
Posté 21 février 2024 - 06:54
Football - National
Mouhamadou Drammeh (FC Sochaux) : « J’ai encaissé des trucs qui m’ont fait grandir plus vite que les autres »
Blessé à un pied dès ses premiers entraînements avec le FC Sochaux, puis victime d’une rechute dès son match de reprise, DrMouhamadouammeh enchaîne les galères, comme trop souvent depuis le début de sa carrière. Il en a tiré une grande sagesse, qui fait de lui un cadre respecté du vestiaire.
Rémi Farge - Aujourd'hui à 05:00 - Temps de lecture : 4 min
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Mouhamadou Drammeh est comparé à un « sage » à Sochaux, comme son compatriote Omar Daf à l’époque. « Je suis venu le remplacer », se marre-t-il. Photo Lionel Vadam
Mouhamadou Drammeh est comparé à un « sage » à Sochaux, comme son compatriote Omar Daf à l’époque. « Je suis venu le remplacer », se marre-t-il. Photo Lionel Vadam
Début février, au détour d’une question sur les cadres de son groupe, Oswald Tanchot avait cité le nom de Mouhamadou Drammeh. L’ancien Rémois, arrivé l’été dernier au FCSM, n’a pourtant disputé qu’une poignée de minutes cette saison. Cette confidence de l’entraîneur sochalien nous a donc donné l’idée de partir à la rencontre du milieu de terrain de 24 ans, qui en paraît dix de plus quand il engage la conversation. Et quelques secondes, si ce n’est un regard, suffisent à comprendre pourquoi Tanchot lui accorde une place aussi importante dans le vestiaire en dépit de ses blessures.
« J’ai 24 ans, mais mentalement j’en ai peut-être 30-35. J’ai dû encaisser pas mal de trucs qui m’ont fait grandir plus vite que les autres. Je prends beaucoup plus de recul, je suis calme, et c’est aussi ce qui me permet de toujours me relever », sourit Mouhamadou Drammeh, avec une maturité parfois déconcertante. Sans doute tient-il cela de son parcours. Né d’un père sénégalais et d’une mère gambienne au sein d’une famille nombreuse, on lui a « toujours appris à ne jamais rien lâcher ». Avec une philosophie simple et pleine d’espérance : « La vie est faite de hauts et de bas, alors si tu restes fort quand tu es en bas, tu finiras par aller en haut… »
« Quand on te dit que tu as une tumeur, ça te remue »
Dans sa carrière, l’ancien Rémois est dans un creux, c’est incontestable. La faute à une blessure au cinquième métatarse deux jours à peine après sa signature. Une fracture qui n’est jamais anodine chez un footballeur. Sur ce type d’os, le risque de rechute est en effet évalué à 30 % ! Et c’est ce qui est arrivé à Drammeh (comme Neymar avant lui), dès son match de reprise, en décembre contre Geispolsheim. « C’est exactement la même blessure. La seule différence, c’est qu’il y a eu une intervention chirurgicale, avec la pose d’une plaque pour solidifier le tout. J’ai bossé trois mois tous les jours pour revenir en forme et je fissure à nouveau dès le premier match. C’est terrible, c’est un moment difficile de plus… »
Mouhamadou Drammeh à Bonal le 16 février dernier. Photo Lionel Vadam
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Mouhamadou Drammeh à Bonal le 16 février dernier. Photo Lionel Vadam
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Mouhamadou Drammeh à Bonal le 16 février dernier. Photo Lionel Vadam
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Mouhamadou Drammeh à Bonal le 16 février dernier. Photo Lionel Vadam
Mouhamadou Drammeh à Bonal le 16 février dernier. Photo Lionel Vadam
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Mouhamadou Drammeh à Bonal le 16 février dernier. Photo Lionel Vadam
Un de plus, car rien n’est simple depuis quelques années. Mouhamadou Drammeh a connu à peu près tous les pépins possibles pendant sa formation. Les croisés sur chaque genou, ainsi qu’une lésion du cartilage en U16 qui l’a obligé à s’arrêter un an. Puis, bien pire, à 20 ans, quand une tumeur lui a été détectée à la mâchoire. « Lors d’un test dentaire, on m’a découvert cette tumeur qui creusait dans l’os. C’était une tumeur bénigne, mais sur le coup c’est dur à entendre et à encaisser. Là on sort du foot, on parle juste de la vie, j’ai eu un peu peur quand même. Je me suis fait opérer rapidement et les risques ont été écartés, mais quand on te dit que tu as une tumeur, ça te remue… »
« Ce groupe a une évolution, y compris sur le plan humain »
Décrit comme « très calme et très écouté » par son entraîneur, le milieu de terrain sochalien répond par un sourire. « C’est ma nature, j’ai hérité cela de mes parents. Mais il est vrai que les épreuves que j’ai traversées ont amplifié ce côté de sage ou de grand frère ». Voilà pourquoi, même sans jouer, Mouhamadou Drammeh est un relais important pour Oswald Tanchot. « Avec le coach, on parle souvent. On a une belle relation. Parfois, c’est plus simple pour l’entraîneur de faire passer des messages en s’appuyant sur des joueurs ».
Lui doit parfois pousser les plus jeunes à avoir plus d’ambition, notamment en début de saison. Ou, au contraire, les ramener sur terre pour prévenir toute enflammade, comme à Niort en novembre. « On avait oublié les fondamentaux, nos principes de jeu, nos valeurs. Tout de suite après le match, je leur ai dit que, pour des jeunes, ce n’était pas plus mal de prendre une bonne claque pour se remettre les idées en place. Ils comprennent les messages rapidement. Je vois une belle évolution, y compris sur le plan humain. Ce groupe grandit plus vite que les autres. Il est très jeune, très dynamique, il a faim. J’ai très vite compris qu’on pouvait être ambitieux et aller chercher autre chose que le maintien », insiste Mouhamadou Drammeh. Avec lui sur le terrain en mai ? Il en rêve. Il a bien le droit.
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Mouhamadou Drammeh. Photo Lionel Vadam
Mouhamadou Drammeh : « J’espère pouvoir rejouer d’ici un mois et demi »
Mouhamadou Drammeh s’est débarrassé de ses béquilles fin janvier. Depuis, il a pu reprendre le vélo et les appuis en piscine. Et maintenant ? « Sur une blessure osseuse, on est dépendant de la consolidation… J’espère pouvoir rejouer d’ici un mois et demi. Mon objectif, c’est d’être sur le terrain avant la fin de la saison pour aider les copains ». Des copains qui ont enchaîné les victoires en championnat, pour le plus grand bonheur de leur coéquipier blessé. « C’est frustrant de regarder les matchs sans pouvoir faire grand-chose. Mais en même temps, je suis très satisfait quand je les vois jouer et être performants. Cela aurait été plus dur à vivre s’ils avaient eu de mauvais résultats. Les voir joyeux, ça rejaillit sur moi ! »
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Posté 21 février 2024 - 07:15