Pointage sur l'actu'
#5611 Invité_David besançon_*
Posté 04 avril 2007 - 12:39
Dans les temps médiatiques qui règnent, un soupçon d'inconscience aussi !
#5612
Posté 04 avril 2007 - 12:50
C'est de l'éducation à l'ancienne. La leçon etait retenue du premier coup et pour la vie !
Ségolène perd ses nerfs de s'occuper de cette affaire villageoise début 20ème siécle..
#5613
Posté 04 avril 2007 - 12:53
C'est de l'éducation à l'ancienne. La leçon etait retenue du premier coup et pour la vie !
C'était aux gosses de casser leur tirelire pour se payer la cantine ?
J'exagère volontairement...
#5614 Invité_David besançon_*
Posté 04 avril 2007 - 12:54
Que peut comprendre un gosse de maternelle de ses histoires de sous ?
Cela ne regarde pas les gosses. On aurait pu faire manger les gosses et mettre en demeure les parents de payer. Ce n'est quand même pas difficile...
J'ajoute que ce que je fais pour des ados de 11 à 16 ans pourtant en âge de comprendre, une mairie peut le faire pour des gosses de cet âge là.
#5615
Posté 04 avril 2007 - 12:56
on aurait dû leur arracher un oeil pour le vendre aux marchés noirs
#5616
Posté 04 avril 2007 - 12:57
on aurait dû leur arracher un oeil pour le vendre aux marchés noirs
C'est a toi qu'on va arracher un oeil et te vendre sur les marché noirs!!!!!
On n'inclus pas le enfants dans cette foutue politique!
#5617 Invité_David besançon_*
Posté 04 avril 2007 - 12:59
Il plaisante....
Cela s'appelle du deuxième degré.
#5618
Posté 04 avril 2007 - 13:00
#5619
Posté 04 avril 2007 - 13:00
Il plaisante....
Cela s'appelle du deuxième degré.
Je sais...
#5620
Posté 04 avril 2007 - 13:02
#5621
Posté 04 avril 2007 - 13:02
Oh zut toi je donne mon point de vue c'est tout!
#5622
Posté 04 avril 2007 - 13:11
#5623
Posté 04 avril 2007 - 13:15
Peut-être bien a toi
#5624
Posté 04 avril 2007 - 13:24
Et ton cerveau, tu l'as donné à qui ?
Peut-être bien a toi
*drole*
#5625
Posté 04 avril 2007 - 14:08
Que peut comprendre un gosse de maternelle de ses histoires de sous ?
Cela ne regarde pas les gosses. On aurait pu faire manger les gosses et mettre en demeure les parents de payer. Ce n'est quand même pas difficile...
J'ajoute que ce que je fais pour des ados de 11 à 16 ans pourtant en âge de comprendre, une mairie peut le faire pour des gosses de cet âge là.
Louis XIV était Roi de France à 14 ans.
Cette histoire me fait rire parce qu'elle est anachronique.
#5626
Posté 04 avril 2007 - 14:16
#5627
Posté 04 avril 2007 - 14:19
#5628
Posté 04 avril 2007 - 14:37
#5629
Posté 04 avril 2007 - 14:45
Bin.. min loute, cha va pas? Ché les Boches qui minge du nutella. Nous in minge des gauffe aveuc eud el glaire.
eud el ieaux chucrée ?
#5630
Posté 04 avril 2007 - 15:09
j'espere que dans le pain il y avait au moins du nutella et que l'eau etait sucree
Bin.. min loute, cha va pas? Ché les Boches qui minge du nutella. Nous in minge des gauffe aveuc eud el glaire.
eud el ieaux chucrée ?
l'autre president ch'tarbé iranien a libéré les marins britaniques!!
#5631
Posté 04 avril 2007 - 15:21
#5632
Posté 04 avril 2007 - 15:27
#5633
Posté 04 avril 2007 - 15:52
#5634
Posté 04 avril 2007 - 15:57
Que les parents aient des difficultés passagères ou qu'ils soient mauvais payeurs, ce qui peut arriver, les gosses n'ont pas à être mêlés à tout ça et ne doivent pas être mis au courant (par l'administration en tout cas, si les parents veulent leur dire, ça les regarde).
C'est pourquoi ces méthodes me choquent particulièrement.
Tu raisonnes avec tes reflexes du métier. Sauf que là, on parle d'école maternelle, dont les enfants ne sont pas obligés d'aller à l'école et cela impose donc une certaine souplesse pour les repas.
Entendons nous bien, c'est honteux que ces gosses n'aient pas eu à manger. Maintenant se pose la question de la responsabilité.
Les enfants de cette école (3-6 ans) ne mangeant pas forcément de manière régulière à la cantine, il parait logique d'en informer l'école le cas échéant, cela d'autant plus que l'école fait appel à un prestataire extérieur. Cette réservation de repas se faisant par paiement, si tu n'as pas payé, c'est que tu ne veux pas que ton enfant mange à la cantine. CQFD.
Les parents ont donc bien leur part de responsabilité en n'ayant pas informé l'école de leur intention de mettre leur enfant à la cantine.
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Critères pour choisir un sport : si tu es grand, tu peux faire basketeur; si tu es costaud, tu peux faire rugbyman; si tu es con, tu peux faire footballeur.
#5635
Posté 04 avril 2007 - 18:50
Ca la change des sondages où elle perd sévère.
Ce qui d'ailleurs ne l'empêche pas de continuer.
Affreux !
La délinquance juvénile est de plus en plus précoce.
#5636
Posté 04 avril 2007 - 20:51
Entendons nous bien, c'est honteux que ces gosses n'aient pas eu à manger. Maintenant se pose la question de la responsabilité.
Les enfants de cette école (3-6 ans) ne mangeant pas forcément de manière régulière à la cantine, il parait logique d'en informer l'école le cas échéant, cela d'autant plus que l'école fait appel à un prestataire extérieur. Cette réservation de repas se faisant par paiement, si tu n'as pas payé, c'est que tu ne veux pas que ton enfant mange à la cantine. CQFD.
Les parents ont donc bien leur part de responsabilité en n'ayant pas informé l'école de leur intention de mettre leur enfant à la cantine.
Il existe aussi des écoles maternelles évoluées où tu peux dire le matin si ton enfant mange ou pas et où tu payes la cantine a posteriori, les repas étant également fournis par un prestataire extérieur.
#5637 Invité_David besançon_*
Posté 04 avril 2007 - 20:53
Et un repas est dû même si l'enfant ne mange pas exceptionnellement.
Au moins avec ça , pas de problème de ce genre !
#5638
Posté 04 avril 2007 - 20:59
Plein !
#5639
Posté 04 avril 2007 - 21:06
#5640
Posté 05 avril 2007 - 08:11
Elèves sans papiers : le «coup» de la circulaire Sarkozy
Par Catherine COROLLER - Libération
QUOTIDIEN : jeudi 5 avril 2007
C'est la radiographie d'une «triste farce» que livre aujourd'hui la Cimade (service oecuménique d'entraide, qui se consacre à l'accompagnement des étrangers). Le titre du rapport qu'elle consacre à «la circulaire du 13 juin 2006 relative à la régularisation des familles étrangères d'enfants scolarisés» est éloquent : «De la loterie à la tromperie». Maître d'oeuvre de cet épisode ? Nicolas Sarkozy. En juin 2006, l'ex-ministre de l'Intérieur publiait une circulaire ouvrant des possibilités exceptionnelles de régularisation aux parents sans papiers d'enfants scolarisés. Depuis des mois, les militants du Réseau éducation sans frontières (RESF) faisaient peser, en effet, sur lui et ses services une pression constante. «C'est dans ce contexte d'intense mobilisation que Nicolas Sarkozy annonce, le 6 juin 2006, la possibilité d'être régularisées pour des familles "dont les enfants sont nés en France, ont toujours été scolarisés et ne parlent pas la langue de leur pays d'origine"», rappelle la Cimade.
«Coup politique». Une semaine plus tard, la fameuse circulaire est publiée, soumettant une éventuelle régularisation à six critères. Certains «objectifs» comme les deux années de résidence en France d'au moins un des parents ou la scolarisation effective d'un enfant au minimum. D'autres «subjectifs» comme l' «absence de lien de cet enfant avec le pays dont il a la nationalité» ou «la réelle volonté d'intégration». 33 538 demandes sont déposées dans les préfectures. Mais, méfiantes, les associations s'interrogent sur les arrière-pensées politiques de Sarkozy.
Dans son rapport, la Cimade tranche, jugeant que toute cette affaire n'a été, pour Sarkozy, qu'un «coup politique». «Casser le mouvement de mobilisation engagé autour des familles en accordant quelques milliers de régularisations puis donner des gages de fermeté en affichant plus de 24 000 refus de séjour semblent avoir été les véritables objectifs poursuivis.»
La Cimade démonte soigneusement l'opération. Selon elle, le ministre a eu pour obsession, dès la parution de son texte, d' «éviter le "succès" de la circulaire» et de «limiter le nombre des régularisations». Immédiatement, les préfectures ont été assaillies. «Cet afflux, pourtant prévisible, ne semble pas avoir été anticipé ni préparé par le ministère», accuse la Cimade. Parce qu'il n'a jamais été question de régulariser toutes les familles répondant aux critères ? Signe révélateur, selon les associations, «certaines préfectures ont refusé de délivrer des formulaires de demande de régularisation ou d'enregistrer des demandes, empêchant les familles d'accéder à la procédure». A Paris, au contraire, les étrangers sont d'abord très bien accueillis : «Les familles se présentaient pour déposer leur dossier et se voyaient proposer un entretien le lendemain ou la semaine suivante», et certaines «ne respectant pas tous les critères étaient régularisées».
«Mentir». Le 24 juillet, changement de ton. «Ce jour-là, devant les préfets réunis, [Sarkozy] "resserre les boulons" et évoque un quota de régularisations : "On peut raisonnablement s'attendre à ce que 20 000 demandes soient présentées, ce qui aboutira, au total, à attribuer des cartes de séjour à 6 000 personnes."» Commentaire de la Cimade : «Cela s'appelle fixer un quota et conduit à faire mentir la promesse initiale d'un examen particulier de chaque dossier.» Après cette date, les portes de la préfecture de Paris se referment : «Les délais pour obtenir une convocation à l'entretien s'allongent. La préfecture de Paris, qui jusqu'alors fixait les rendez-vous très rapidement, n'en donnait plus, attendant les directives. La plupart des dossiers suivis et déposés à partir de ce moment furent rejetés.» Sur quels critères ? «Les décisions de refus montrent que les liens conservés avec le pays de nationalité ont été très souvent mobilisés pour rejeter des demandes répondant pourtant aux critères», souligne la Cimade, qui dénonce également dans beaucoup de cas la «non-motivation des refus des régularisations».
Complice. Patrick Peugeot, le président de la Cimade, a des mots très durs. «A travers la manière dont ont été traitées ces milliers de familles, c'est de la maltraitance quotidienne des étrangers et du désordre imposé dans les services préfectoraux que ce rapport témoigne», écrit-il. L'avocat Arno Klarsfeld, nommé médiateur par Sarkozy, a été complice de cette farce, et a multiplié les déclarations contradictoires, affirmant d'abord que «la régularisation sera "généreuse"», puis que «l'Etat ne peut pas régulariser tous les parents qui ont des enfants scolarisés». En conclusion, Patrick Peugeot «[exhorte] les futurs élus de ce pays à régulariser ces familles, afin que ces milliers d'enfants ne grandissent pas dans le sentiment que leur vie aura été l'otage d'une opération de communication».