Cela ne remonterait-il pas à la subornation de témoin dont Primorac, ami de Wenger, fut victime dans l'affaire VA-OM ?
A moins que cela ne soit à cause des déclarations de Wenger lors de l'affaire Eydelie, qui se déclarait "pas surpris" par ces déclarations.
Les accusations de tricherie et de corruption proférées par l'ancien milieu de terrain de l'Olympique de Marseille Jean-Jacques Eydelie contre son ancien club ne surprennent pas Arsène Wenger.
L'ancien entraîneur de Monaco se souvient lundi dans les colonnes du journal "L'Equipe" de "l'atmosphère de corruption" qui régnait autour de l'équipe marseillaise.
"Ca ne me surprend pas"
"Ce sont des choses que je savais, que beaucoup de gens savaient" explique celui qui était de 1987 à 1994 l'entraîneur de Monaco, un des grands rivaux de l'OM. "J'affirme en tout cas que ça ressemble à cent pour cent à ce que j'ai connu."
"Ce qui me revient, c'est l'atmosphère de corruption", explique le manager d'Arsenal. Il affirme qu'il a "eu des doutes" sur quelques-uns de ses propres joueurs, qui auraient pu s'arranger pour ne pas jouer à plein lors des rencontres contre l'OM.
Arsène Wenger affirme qu'il "avait essayé d'alerter" sur la conduite de l'Olympique de Marseille, mais qu'il ne pouvait "rien prouver". "A l'époque, c'était très dur", se souvient-il.