556 réponses à ce sujet

[beaunsantos]

Le tract n'est pas adressé qu'aux amoureux du club et même parmi ceux-ci tous ne savent pas.
Par contre, tous connaissent Jean Claude.
Aucun intérêt = zéro voix récupérée
Je ne serai pas aussi affirmatif même si je pense que cela restera à la marge
De la déception également car JCP l'a fait en
connaissance de cause. J'aurais préféré qu'il s'affiche comme soutien "idéologique" sans inclure notre FCSM. C'est très regrettable.

[klijnjan]

Pas facile. JC Plessis, c'est le FCSM.

[Soch-Aliens vs Predators]

Certainement pas. C'est un malade qui souffre d'une affliction dont le nom m'échappe probablement une racine grecque donc  4 ou 5 syllabes avec des h et des y surnuméraires, mais qui consiste à considérer Bonal comme la pelouse de son jardin et à vouloir la sertir de nains.

 

Bazarder Perisic et essayer de recruter Baky Koné, le seul qui pouvait faire ses lacets sans se pencher, ça n'est pas être le FCSM, le club de Pintenat, Stopyra, et Paille.

[ilan the best]

Certainement pas. C'est un malade qui souffre d'une affliction dont le nom m'échappe probablement une racine grecque donc  4 ou 5 syllabes avec des h et des y surnuméraires, mais qui consiste à considérer Bonal comme la pelouse de son jardin et à vouloir la sertir de nains.

 

Bazarder Perisic et essayer de recruter Baky Koné, le seul qui pouvait faire ses lacets sans se pencher, ça n'est pas être le FCSM, le club de Pintenat, Stopyra, et Paille.

Malheureusement il n'y a pas que lui ici, les hommes au Tanchot étant par nature également attirés par les puces.

[abeille25]

Football - National
Jean-Claude Plessis avant de quitter le FC Sochaux : « C'est une histoire d'amour »
Vendredi soir, le match contre Orléans (19 h 30) au stade Bonal sera le dernier de Jean-Claude Plessis en qualité de président du FC Sochaux. Prêt à verser sa petite larme, il nous a accordé une longue interview avant de faire ses valises, avec le sentiment du devoir accompli.

Propos recueillis par Rémi Farge - Hier à 20:00 | mis à jour hier à 21:23 - Temps de lecture : 5 min
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Jean-Claude Plessis. Photo Lionel Vadam

FC SOCHAUX - ORLÉANS
Vendredi (19 h 30) au stade Bonal
Jean-Claude Plessis, cette fois nous y sommes, vous allez quitter le FC Sochaux pour de bon après le match de vendredi contre Orléans. Êtes-vous un peu ému ?

Non, car j’avais tout prévu. Et puis je reviendrai ! Je pars le cœur léger, content du travail accompli et fier de moi et de toute l’équipe qui a permis à ce club de repartir. Maintenant, il faut laisser la place à d’autres gens plus jeunes, avec de nouvelles idées. Je ne suis pas rassuré par l’état du football et même un peu inquiet pour demain, donc je n’ai aucun regret de quitter ce monde-là. En revanche, j’ai trouvé beaucoup de bonheur à Sochaux et je laisse un club sain.

La fierté que vous ressentez est-elle encore plus grande qu’au terme de votre premier passage ?

Mon premier passage était différent. Là, je suis fier parce que nous avons sauvé le club alors que tout paraissait perdu. Ici, c’est une histoire d’amour. Je suis tombé sur des actionnaires enthousiastes, sur des collectivités partantes pour bousculer leur calendrier en plein été. Si on y ajoute le mouvement des Sociochaux, c’est une affaire historique. Personne n’a fait cela pour gagner de l’argent, juste par amour. Le club est structuré et sauvé, j’en suis sûr, même si le moindre incident prend des proportions dingues… Il faudra bien monter un jour, bien sûr, et je pense que cette saison, on jouera la première place. J’ai énormément confiance en Clément (Calvez), en Sandro Nardis et en Julien Cordonnier. La semaine dernière, toutes nos équipes ont gagné (NDLR : 14 sur 15). Cela veut dire que le centre de formation repart, qu’on redevient le FC Sochaux. Et tout cela avec de l’argent français.


Photo Lionel Vadam


Ma récompense, c’est d’aller aux matchs des équipes de jeunes et de les voir gagner

Qu’est-ce qui a été le plus dur durant cette année ?

(Il réfléchit) Non, rien… Ou alors certaines réactions dès que les résultats sont un peu moins bons. Mais si tu ne veux pas avoir ce genre de critiques, il ne faut pas venir dans le football et aller vendre des pistaches à la fête foraine. Ce qui a été dur, ça a été la première semaine, le temps de réunir des actionnaires, de l’argent, et d’être inscrit en National par la FFF. Pierre (Wantiez) est parti mais je n’oublie pas qu’il a été un élément fondamental de notre réussite.

Et qu’est-ce qui a été le plus marquant ?

Les félicitations de la DNCG lors de notre dernière audition. (…) Ce que je regrette, c’est que la presse nationale ne se soit intéressée à notre histoire que pendant huit jours. Alors que ce qu’on a fait pourrait être un exemple à suivre pour d’autres clubs, d’ailleurs le club de rugby de Biarritz a fait comme nous, à une autre échelle.

Y’a-t-il une forme de fierté d’avoir ouvert une nouvelle voie dans le modèle de gestion d’un club de football professionnel ?

Non, parce que le FC Sochaux est la seule chose qui m’intéresse. Je suis fier d’avoir réalisé cela, avec les gens qui étaient avec moi. Et ma récompense, c’est d’aller aux matchs des équipes de jeunes et de les voir gagner. C’est un clin d’œil de l’histoire.


Jean-Claude Plessis le soir de la venue de Rennes en Coupe de France. Photo Lionel Vadam

Quand on vous voit au bord du terrain, en match ou à l’entraînement, vous passez votre temps à serrer des mains, à poser pour des photos. Et on a toujours eu l’impression que c’était un plaisir pour vous…

C’était mon métier, j’étais dans le commerce. Je ne suis pas parfait, mais dire bonjour, cela fait partie de mon éducation. Cela me fait aussi plaisir de serrer la main des gens. Je ne peux pas manger quelque part sans qu’on vienne me parler ou me prendre en photo (rires). Mes fils ont la même éducation, ils ont le sens du contact.

Et ça ne va pas vous manquer ?

Non, parce que ça devient un peu trop. A Brest, je connais du monde, mais c’est différent. Ici, les gens ont de l’affection pour moi. L’autre jour, dans la rue, un petit garçon est venu me prendre la jambe pour me demander un câlin. Comment veux-tu ne pas être ému ?

Avec notre parcours en Coupe de France, j’ai pleuré d’émotion

Pendant les matchs, vous êtes-vous laissé happer par l’émotion, parfois ?

Oui, avec notre parcours en Coupe de France j’ai pleuré d’émotion. On avait une équipe qui venait de nulle part, Oswald Tanchot a su jouer un rôle de bâtisseur, sans hésiter à faire jouer des jeunes. D’ailleurs, aujourd’hui, il n’y a plus aucune reconnaissance des jeunes, des parents, des agents. Ils veulent gagner de l’argent à 18 ans, au lieu d’en gagner plus, plus tard. On verra ce que deviennent ces garçons… Mais il est évident que si on continue de former des jeunes qui refusent de signer leur premier contrat professionnel, cela posera un problème pour les centres de formation.

Comment percevez-vous l’évolution du FCSM et du tissu local en quinze ans ?

Les gens pensent parfois qu’on a encore des Pagis, des Frau, des Pedretti… Quand je suis arrivé au club, j’ai eu la chance d’avoir une génération exceptionnelle, avec des jeunes dont les parents travaillaient à l’usine. A l’époque, on avait 3 000 abonnés et on n’attirait que 12 000 personnes pour un match de Coupe d’Europe contre l’Olympiakos de Rivaldo ! Les gens étaient quand même gâtés… Aujourd’hui, ils trouvent que ça ne va pas assez vite et ils ont raison, mais aller trop vite est encore plus dangereux.


Jean-Claude Plessis pas la main à son beau-fils Clément Calvez. Photo Lionel Vadam

Et l’évolution du football ? Vous disiez que ça n’allait pas vous manquer. Vous avez l’impression qu’on va dans le mur ?

On est déjà dans le mur ! Nasser Al-Khelaïfi est le vrai patron du football français. Il fait ce qu’il veut et le PSG est condamné à être champion toute sa vie, ce qui est un problème. Mais aujourd’hui, il suffit de regarder qui sont les dirigeants : Al-Khelaïfi, McCourt, Textor… Notre football est comme notre industrie. Il va y avoir des morts l’été prochain. Les clubs sont en train de crever et la Ligue achète un nouvel immeuble. C’est ahurissant et il devrait y avoir une commission d’enquête sur ce sujet. Quand j’étais vice-président de la Ligue, on avait d’autres dirigeants, avec Aulas, Martel, Rousselot, Urano, etc. La Ligue marchait bien à l’époque. Si j’y étais encore, je ferais du bruit !

Je trouve assez étonnant que les gens d’ici passent leur temps à se martyriser en parlant de leur ville

Vous avez dit ne pas vouloir d’hommage, encore moins de statue, mais vous êtes quand même conscient d’être un personnage central de l’histoire du FC Sochaux, club bientôt centenaire ?

Oui, sans doute… Mais il ne faut pas s’arrêter là-dessus, parce que la mort est derrière tout ça (sourire).

Qu’est-ce qui va le plus vous manquer ?

Tout. Même le bus, ça ne m’a pas trop perturbé. A l’époque, on prenait des petits avions et je peux vous dire que, par moment, quand on revenait à Courcelles avec un peu de vent, on n’était pas toujours sur la piste (rires) ! Les gens vont me manquer, oui. Et Montbéliard, aussi. Je trouve assez étonnant que les gens d’ici passent leur temps à se martyriser en parlant de leur ville. On est très bien à Montbéliard.

Vous allez verser une petite larme vendredi soir ?

Sûrement. Je n’ai pas honte de cela, l’émotion fait partie de la vie. Il m’est déjà arrivé d’être ému la saison dernière. Mais il faut que je m’occupe de moi un petit peu…

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3 commentaires
direction
26.09.2024 | 08h49
SIGNALER
Jean Claude on ne te remerciera jamais assez pour tout ce que tu nous a apporté avec Pierre. Merci à Jean Francois d'avoir involontairement contribué à ta décision de venir nous sauver.

En espérant te croiser de nouveau

sochaux25
25.09.2024 | 21h43
SIGNALER
merci M Plessis, quelle chance pour Sochaux de nous avoir eu avec nous. longue vie à vous
Visa70
25.09.2024 | 20h57
SIGNALER
Merci pour tout Mr Plessis, bon vent à vous

[GauchixHBCM]

Merci Monsieur Plessis.
Pas de barbecue party cette année pour le départ.

[Levieux]

En tout cas il dit ce qu'il a sur le cœur..ça fait plaisir qu 'il se rende compte de la folie financière du foot..
Le problème c'est que les clubs formateurs français vont crever.. c'est tout le contraire qu'il faudrait..

[Lejeun]

Entretien testimonial.
Merci et longue vie à lui.

[Romi]

Merci Mr Plessis merci pour tout

[Samm]

The greatest of all time 

[slow pulse boy]

Il parle d'or. Il n'avait déjà pas la langue dans sa poche il y a 15-20 ans, alors maintenant qu'il n'a plus rien à gagner ou perdre ni à prouver... maintenant, ses mots porteront-ils jusqu'à la ligue, la fédé ou le ministre des sports, malheureusement j'en doute

[abeille25]

J'en remets une couche


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FC Sochaux : en coulisses, le président Plessis va leur manquer
En attendant l'hommage du stade Bonal vendredi, lors de la venue d'Orléans en championnat National, Sandro Nardis et Julien Cordonnier saluent l'action de Jean-Claude Plessis, qui s'apprête à rendre son costume de président du FC Sochaux. Le patron de la FFF, Philippe Diallo, y va aussi de son petit mot.

Propos recueillis par R. F. - Aujourd'hui à 09:00 - Temps de lecture : 3 min
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Julien Cordonnier et Jean-Claude Plessis en août 2024. Photo Lionel Vadam

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Julien Cordonnier : « Un feeling tout de suite malgré la différence d'âge »
« Il va me manquer. On a créé une relation assez forte. J’ai passé énormément de temps avec lui sur la dernière année. Malgré la différence d’âge, il y a eu un feeling tout de suite », souligne le manager général du FCSM. Les deux hommes ont passé beaucoup de temps ensemble, notamment sur les matchs à l'extérieur. « Jean-Claude est fédérateur, il amène du calme et de la confiance autour de lui et sait le transmettre aux gens qui travaillent avec lui ».

« Il mérite un hommage pour son travail, mais le meilleur hommage ce serait de gagner contre Orléans. (...) En évoluant avec lui, j’ai appris de lui sa capacité à bien s’entourer. Il dit toujours que l’important quand on dirige c’est de bien s’entourer. Il permet de prendre de la hauteur, de prendre du recul, de gagner en maîtrise ».


Philippe Diallo : « Je suis admiratif de ce qu'il a fait »

Philippe Diallo, président de la FFF et candidat à sa réélection, a été l'un des collaborateurs de Jean-Claude Plessis dans les années 2000, lorsque le président sochalien officiait aussi à l'Union des clubs professionnels (UNCPF). « On se connaît et on s’apprécie depuis longtemps. Jean-Claude est un amoureux de la vie, c’est ainsi que je le définirais », confie Diallo.

« Il a eu une première période formidable à Sochaux et je suis admiratif de ce qu’il a fait l’été dernier avec Pierre Wantiez. On a eu une forte inquiétude sur l’avenir du FC Sochaux. Il est sorti de sa retraite bretonne pour reprendre son bâton de pèlerin et voler au secours de ce club historique du foot français. Je le remercie de ce qu’il a fait, il a sauvé ce club, qui lui doit beaucoup, avec un travail formidable ».

Nardis : « Bien entendu qu'on va tous être émus »

« On ne peut pas ne pas lui rendre hommage », sourit Sandro Nardis, président du conseil de surveillance du FCSM et compagnon de la première heure dans cette aventure de sauvetage du club. « Bien entendu qu’on va être émus. On ne peut pas oublier aussi facilement un personnage comme Jean-Claude, haut en couleur, avec le verbe facile, mais au-delà de ça, j’ai appris à le côtoyer pendant treize mois et il est très attachant. Il a su fédérer les gens, et nous, nous sommes allés chercher d’autres personnes pour faire ce qu’on a fait. Il est très réfléchi, très transparent dans les échanges et son expérience a été aussi importante dans cette année de reconstruction ».

Pendant un an, le président Plessis a pris la lumière, permettant dans le même temps aux actionnaires de travailler dans l'ombre à la reconstruction. « Son premier passage a laissé une trace. Avec Jacques Thouzery, ils ont été les deux plus grands présidents du FC Sochaux. Rien que son nom a permis d’apporter de la crédibilité au projet de reprise. (...) Cette année, il m’a surtout appris qu’il était urgent de ne pas se précipiter dans le foot, de ne jamais sur-réagir, de prendre le recul nécessaire ».

[chichi]

Merci Mr Plessis.
Vous aurez à jamais ma reconnaissance, vous faites partie de la famille.

[AceOfBonal]

Merci Mr Plessis, que c'est bien de voir que dans ce monde il existe des personnes de cette trempe.
A une époque comme la nôtre vous êtes un guide.
Vous avez tout mon respect et je ne peux m'empêcher de vous souhaiter la retraite paisible que vous méritez et ce dans la meilleure des santé possible.
Il y a eu de grands joueurs et il y a de grands dirigeants, vous en êtes assurément et je sais que vous êtes humble mais les vrais héros sont souvent ceux qui ne s'en ventent pas.

[Seb le lionceau]

Merci pour tout Mr Plessis. Votre nom est à jamais lié au club. Bon vent à vous.

[pacemakers]

Un grand merci Mr Plessis, vous avez été la bonne personne au bon moment pour sauver notre club. 

Votre truculence, votre entrain et bonne humeur, la juste distance que vous prenez avec les évènements font que personne n'est en mesure de vous remplacer. mais vous succéder seulement, dans un style forcément différent du votre. 

[klijnjan]

Simplement MERCI

[John Bonal]

Merci monsieur Plessis. Puissent vos successeurs vous rendre le seul hommage qui vaille : prendre chaque jour soin du FCSM !

[Truella]

Notre Président pour toujours !

Profitez de vos proches et de la belle vie finistérienne...

[Levieux]

Merci Mr plessis et continuer de jeter un œil pour aider a maintenir le club dans le vert..

[brun's]

Que de bons moments passés ensemble Président!

On s’est aussi parfois engueulés, souvent pour pas grand chose. On s’est même séparés mais on a vite compris qu’on s’aimait encore quand nous avons eu la chance de nous retrouver au moment où le club en avait le plus besoin.

Une belle histoire d’amour en somme.

Revenez quand vous voulez, on continuera à vous montrer notre amour. Votre nom est aujourd’hui gravé à jamais dans la riche Histoire de notre cher FCSM.

Merci Jean-Claude & à bientôt!

[Basquoturque]

Que dire monsieur Plessis si ce n'est merci et même un grand MERCI pour tout ce que vous avez fait et tout l'amour que vous avez donné à notre club.
Hier était votre dernière à la présidence mais je crois que pour beaucoup en tout cas pour moi vous serez notre président à vie.

Profitez de votre retraite dans les Côtes d'Armor vous l'avez mille fois mérité.

[GauchixHBCM]

Monsieur Plessis, je vous souhaite de revenir à Rouen en mai pour fêter la montée en L2.

[la faute à qui ?]

Merci M. Plessis.
Un peu déçu de sa sortie, avec "seulement" 9000 spectateurs pour lui rendre hommage

[abeille25]

On peut savoir le presentiel reel??

[ilan the best]

Un immense merci et à bientôt!

[Tetenlair]

Profitez de votre retraite dans les Côtes d'Armor vous l'avez mille fois mérité.

 

Finistère

 

merci pour tout M. Plessis

[OlivierASC]

Nombreux ont été ceux qui ont lutté dans la bataille pour la survie du FCSM mais le président Plessis a été clairement notre étendard.

Je l'ai croisé hier aprem à Belfort mais j'ai malheureusement pas pu le remercier de vive voix j'en suis dégouté.

Alors je l'écris ici: Merci pour tout président!.

[Levieux]

Merci jean Claude et espérons que vos succèsseurs soient dignes de vous et sauvent notre club malgré les presque 10 ans d'errance..

[jb25]