Le départ d'Aziz était un signal très fort que le club partait en sucette.
Mais ça devait passer comme un nouveau challenge alors...
Premier cas de figure :
Lacombe qui n'était pas un bon commercial chez Peugeot (Hypothèse non vérifiée et peut être fausse) a été nommé pour remplacer un Plessis pas très académique arrivé en bout de course.
L'idée étant que les conséquences sont moins graves pour le Groupe dans le foot que dans la vente d'autos et que de toute façon diriger un club de foot relèvant plus du coup de bol et de l'art que du management classique ,le risque est gérable.
Deuxième cas de figure :
On va sortir du foot. On sait qu'on va descendre mais pour la première fois depuis la création du club, on s'en fout ! D'ailleurs les désabonnements prouvent que la spirale négative s'enclenche aussi bien que possible du côté des supporters.
Conclusion personnelle : Si on est dans le premier cas, il reste un espoir de réaction de la part de Peugeot.
Je ne pense pas. Depuis toujours le président est issu de la maison Peugeot. Plessis venant de la vente et vu son palmarès et son bilan, la direction a cru que face à la montée du foot business il fallait un homme aguerri aux affaires.
Il se peut, les ventes de Peugeot semblent en témoigner, que ce fut un très bon directeur des ventes, seulement le foot est un monde à part et y arriver sans connaissances n'est pas un atout.
Il doit prendre conseil près de Nanard et autre buses qui tirent le club vers le bas. Plessis est ce qu'il est mais il a un temps de réaction plus rapide, il avait plus d'ambitions.
Lacombe n'a pas l'envergure d'un président, au bout de quelques mois cela saute à la figure. Son idée de renforcer Gillot quand tout allait mal pour stabiliser le club était bonne en soi. Quand celui-ci prouve qu'il n'est pas capable d'apporter la progression sur plusieurs années et est plutôt synonyme de régression, une réaction autre que partir en vacances s'impose.