Pas vraiment.
Curieusement (ou pas), je n'ai pas vu de réponse à ceci : "Enfin, pour sortir du domaine des arts, tu parles de lapidation, de mains coupées, c'est bien beau tout ça. C'est gravissime, mais davantage que Guantanamo, la bombe nucléaire, le culte du profit (ça entraîne la mort aussi hein, regarde chez France Télecom), les pères de famille virés et incapables de nourrir leur famille pendant que leurs PDG quittent le navire sombrant en partie par leur faute avec des parachutes dorés de quelques millions d'euros etc. ?
Car oui, les Indiens d'Amazonie ne t'intéressent peut-être pas, mais ils n'en ont surtout rien à foutre de t'intéresser. Ils sont sans conteste aussi heureux que nous et, aussi rêveur sois-je, il me semble que c'est l'aboutissement recherché par tout être humain. Eux n'ont peut-être pas de Rembrandt, de Vivaldi ou d'Ipad, mais ils n'ont pas l'air de s'en porter plus mal. Comme quoi la puissance culturelle du grand Occident donneur de leçons n'est pas forcément la solution incontournable."
Il ne me semble pas que cette description symbolise une pensée "tout le monde il est beau, tout le monde il est méchant", en revanche, elle est certainement moins manichéenne que "les Blancs sont géniaux, les Arabes sont des criminels primitifs".