Pointage sur l'actu'
#5251
Posté 15 mars 2007 - 14:18
#5252
Posté 15 mars 2007 - 14:28
Attention ! Ces posts peuvent choquer un jaune public.
#5253
Posté 15 mars 2007 - 14:32
#5254
Posté 15 mars 2007 - 14:33
Le bénéfice a bondi de 29% pour un chiffre d'affaires de 27,6 milliards d’euros, en progression de 21%. L’augmentation des volumes livrés ainsi que la hausse des prix de l’énergie en Europe ont permis cette progression spectaculaire.
68% du bénéfice sera redistribué au actionnaire sous forme de dividente
Pour ceux qui ont des doutes sur le bien fait des privatisations, les choses doivent être plus clair.
1°) Etapes ouverture du capital par l'etat au copain avec un prix attractif qui permet des plus values instantané sur le prix de l'action.
2°) Augmentation des prix du gaz par l'etat, pour faire fructifier ce que l'on a donnée au copain.
3°) Alors que le prix du gaz à augmenté de plus de 30% pour les clients, GDF fait 2.3 Milliard € de bénéfice qu'il décide de redonner pour partie en dividende.
Certains sont encore au niveau de nous raconter que les privatisations sont faites pour le bien du consommateur pour une concurrence accrue des tarifs.
Les privatisations de type EDF et GDF sont faites pour l'actionnairiat et les copains du MEDEF.
C'est usant de voir des truc comme ca.
On comprend mieux l'empressement des copains à Chirac à la tête de Suez de fusionner rapidement avec GDF.
J'ai modifié le montant du bénéfice : Soit c'est 3.6 milliard de bénéfice opérationnel ou 2.3 bénéfice net.
#5255
Posté 15 mars 2007 - 14:37
GDF
Le bénéfice a bondi de 29% pour un chiffre d'affaires de 27,6 milliards d’euros, en progression de 21%. L’augmentation des volumes livrés ainsi que la hausse des prix de l’énergie en Europe ont permis cette progression spectaculaire.
68% du bénéfice sera redistribué au actionnaire sous forme de dividente
Pour ceux qui ont des doutes sur le bien fait des privatisations, les choses doivent être plus clair.
1°) Etapes ouverture du capital par l'etat au copain avec un prix attractif qui permet des plus values instantané sur le prix de l'action.
2°) Augmentation des prix du gaz par l'etat, pour faire fructifier ce que l'on a donnée au copain.
3°) Alors que le prix du gaz à augmenté de plus de 30% pour les clients, GDF fait 3.6 Milliard € de bénéfice qu'il décide de redonner pour partie en dividende.
Certains sont encore au niveau de nous raconter que les privatisations sont faites pour le bien du consommateur pour une concurrence accrue des tarifs.
Les privatisations de type EDF et GDF sont faites pour l'actionnairiat et les copains du MEDEF.
C'est usant de voir des truc comme ca.
On comprend mieux l'empressement des copains à Chirac à la tête de Suez de fusionner rapidement avec GDF.
tais-toi Sale Gauchiste !
C'est dur la vie d'actionnaire. On ne sait même plus où placer ses dividendes...
#5256
Posté 15 mars 2007 - 15:06
Permets-moi de ne pas partager ton point de vue
Boris Vian
#5257
Posté 15 mars 2007 - 15:11
j'men branle de ce que tu penses ce qui est important c'est c'que j'dis !
Permets-moi de ne pas partager ton point de vue
#5258 Invité_David besançon_*
Posté 15 mars 2007 - 15:17
M'étonne pas que ce soit un gauchiste. La révolte contre l'autorité paternelle sans doute.....
#5259
Posté 15 mars 2007 - 15:19
M'étonne pas que ce soit un gauchiste. La révolte contre l'autorité paternelle sans doute.....
#5260
Posté 15 mars 2007 - 15:30
On a maintenant George S (Stupid) Bush.
Boris Vian
#5261
Posté 15 mars 2007 - 15:39
On a maintenant George S (Stupid) Bush.
#5262
Posté 15 mars 2007 - 15:49
#5263
Posté 20 mars 2007 - 09:14
LE MONDE | 19.03.07 | 15h12 • Mis à jour le 19.03.07 | 17h16
Le 22 avril, un à deux millions de Français ne trouveront dans leur bureau de vote ni bulletins ni enveloppes. Pour exprimer leur voix, ils presseront deux touches - la première pour choisir un candidat, la seconde pour confirmer leur choix. Pour la première fois en France, lors d'une élection présidentielle, ces citoyens utiliseront des ordinateurs de vote. Un peu plus d'un millier de terminaux sont aujourd'hui installés dans une cinquantaine de communes, mais leur déploiement ne va pas sans polémique.
Une pétition contre les "ordinateurs de vote"
Le site Ordinateurs-de-vote revendique plus de 8 000 signatures pour sa pétition "pour le maintien du vote papier". Lancé par des "citoyens et informaticiens", le texte, qui se signe en ligne ou sur papier, dénonce le "déclin silencieux du contrôle démocratique". Le collectif invite les signataires à se porter volontaires pour le dépouillement des bulletins les jours de scrutin.
Depuis le début de l'année, plusieurs personnalités et partis politiques s'interrogent sur les risques inhérents à ces systèmes. "Des machines à voter basées sur des matériels informatiques sont aujourd'hui en cours d'installation (...) en France, sans qu'un débat public ait eu lieu sur le bien-fondé de cette technicisation du vote et les éventuels risques de fraude et de manipulation", déclarent ainsi les Verts dans une motion adoptée début février. Le Parti communiste est sur la même ligne. Selon Patrick Bloche, député (PS) de Paris, "un sentiment de méfiance domine largement au Parti socialiste" vis-à-vis d'appareils "qui semblent bien moins transparents que les urnes en Plexiglas".
"Les machines à voter sont accessibles aux malvoyants, permettent un dépouillement immédiat, sans gâchis de papier, sans besoin de table de dépouillement, de scrutateurs, etc., plaide pour sa part Hervé Palisson, directeur de France-Election, importateur en France des machines à voter néerlandaises Nedap. Il faut savoir que, faute de volontaires, ce sont des employés municipaux payés en heures supplémentaires qui procèdent au dépouillement dans certaines communes."
Cette dématérialisation du suffrage est pour certains un risque intolérable. "Le système de vote actuel a été conçu pour que quiconque, même le plus ignorant, puisse se forger l'intime conviction que le vote s'est déroulé honnêtement, dit Roberto Di Cosmo, chercheur au laboratoire Preuves, programmes et systèmes (CNRS, université Paris-VII). Lorsque le vote se fait par voie électronique, est-il possible de se forger, seul, la même conviction ? La réponse est non : il faut recourir à l'expert, à l'argument d'autorité."
L'impossibilité de vérifier l'intégrité du vote inquiète bien au-delà de quelques universitaires ou personnalités politiques. La principale société savante d'informaticiens, l'Association for Computing Machinery (ACM), a récemment pris une position de consensus appelant à ce que tout système de vote électronique soit doublé d'un dispositif d'impression d'un bulletin contrôlé de visu par l'électeur. Ces bulletins papier pourraient être stockés dans une urne classique, autorisant ainsi un recomptage ultérieur des suffrages. Cette précaution ne figure pas dans le règlement technique émis en novembre 2003 par le ministère de l'intérieur (il faut préciser que, dans le vote traditionnel, les bulletins papier ne sont pas conservés mais détruits le soir même après la proclamation des résultats dans chaque bureau, à l'exception des blancs et nuls qui sont annexés au procès-verbal). Les trois modèles d'ordinateur à voter homologués en France - construits par Nedap, l'espagnol Indra Sistemas et l'américain ES&S - sont donc dépourvus d'un tel dispositif de contrôle.
D'autres reproches sont formulés. "Le règlement technique du ministère admet que le programme utilisé dans les machines à voter soit secret, c'est-à-dire que le code-source ne soit pas rendu public, dit ainsi Chantal Enguehard, maître de conférence en informatique à l'université de Nantes. Il est donc impossible aux simples citoyens de l'examiner : la protection du secret industriel a été jugée plus importante que la transparence de la procédure de vote." Par la voix de son directeur, France-Election fait cependant savoir que le code-source n'est pas rendu public pour des raisons de sécurité, mais qu'il a pu être ausculté par des organismes de contrôle comme le Bureau Veritas.
A l'automne 2006, un groupe d'informaticiens néerlandais a fait l'acquisition de machines Nedap pour en évaluer l'intégrité. "Ces informaticiens ont démonté une machine, ont constaté qu'ils pouvaient en changer le logiciel et l'ont reprogrammée pour jouer aux échecs", explique M. Di Cosmo. Surtout, ils affirment être parvenus à capter les radiofréquences émises par la machine à une distance de 25 mètres environ et être ainsi à même de savoir si le nom affiché sur l'écran à cristaux liquides de l'appareil - le nom du candidat pour lequel le vote a été enregistré - comporte ou non des caractères accentués. "Ce qu'ils ont fait, c'est simplement de vérifier que la machine fait bien ce qu'on lui demande", tempère M. Palisson. Quant à la possibilité de surveiller à distance le fonctionnement de la machine, "l'expérience a été faite sur un ancien modèle qui n'est plus en service et, de toute façon, il serait possible de mettre en oeuvre le même type de surveillance avec le vote classique, au moyen de caméras installées dans les isoloirs", réplique le directeur de France-Election, qui fait valoir qu'aucun dysfonctionnement des appareils Nedap n'a été rapporté.
"NEUTRALISER UN CANDIDAT"
L'exercice auquel se sont essayés les informaticiens néerlandais n'est pas isolé. En octobre 2006, quatre chercheurs du département d'informatique et d'ingénierie de l'université du Connecticut sont par exemple parvenus à reprogrammer un terminal de vote Diebold, l'un des constructeurs les mieux implantés aux Etats-Unis. "Une attaque de base peut neutraliser entièrement un candidat, échanger les voix apportées à deux candidats ou biaiser les résultats en reportant sur un candidat les votes apportés à un autre, écrivent les auteurs dans le compte rendu de leurs travaux. La corruption du système peut rester dormante jusqu'au jour de l'élection, ce qui rend impossible sa détection par le biais de tests préélectoraux." Sans que des fraudes avérées aient été mises au jour, plusieurs cas de défaillances de systèmes de vote électronique ont été documentés ces dernières années, surtout aux Etats-Unis, mais aussi en Europe.
Un exemple fameux est l'incident de Schaerbeek (Belgique), le 18 mai 2003. Le décompte des voix exprimées avait excédé de plus de 4 000 le nombre d'inscrits dans la circonscription. Incapable d'en élucider la cause, le collège d'experts mandaté par les autorités fédérales belges a conclu que "l'erreur (avait) très probablement été occasionnée par une inversion spontanée et aléatoire d'une position binaire". C'est-à-dire, en somme, qu'un bit informatique de l'ordinateur de vote a pris "spontanément" la valeur 1 au lieu de la valeur 0. "Ce phénomène, ajoutaient les experts, est abondamment décrit dans la littérature spécialisée." Il ne l'est pas dans le code électoral.
Stéphane Foucart (avec Edouard Bal)
Article paru dans l'édition du 20.03.07.
Une pétition contre le vote électronique est disponible sur le site :
http://recul-democra...e.org/petition/
#5264 Invité_David besançon_*
Posté 20 mars 2007 - 09:15
#5265
Posté 20 mars 2007 - 09:33
Lequel est le plus sécurisé ? Difficile à dire, mais c'est vrai que laisser la procédure de vote aux informaticiens me laisse sceptique.
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Critères pour choisir un sport : si tu es grand, tu peux faire basketeur; si tu es costaud, tu peux faire rugbyman; si tu es con, tu peux faire footballeur.
#5266
Posté 20 mars 2007 - 09:50
Lequel est le plus sécurisé ? Difficile à dire, mais c'est vrai que laisser la procédure de vote aux informaticiens me laisse sceptique.
Faut pas avoir peur.. Ce système vient des Etats-Unis et ce sont des infomaticiens Américains (de Floride pour être précis) qui vont s'en occuper.
#5267
Posté 20 mars 2007 - 10:19
tu m'expliqueras comment on peut frauder une urne classique, à moins que TOUT le bureau de vote soit d'un seul parti politique
#5268
Posté 20 mars 2007 - 10:24
Il faut que tout le bureau soit complice !
#5269
Posté 20 mars 2007 - 10:46
Il faudrait être naïf pour croire que la fraude n'existe pas avec les urnes classiques.
tu m'expliqueras comment on peut frauder une urne classique, à moins que TOUT le bureau de vote soit d'un seul parti politique
En échangeant les urnes par exemple.
Je l'ai vu faire (bon, OK, il y a longtemps, dans une ville dont je tairais le nom, mais qui finit en "court" ). Simple lorsqu'il s'agit de déplacer une urne qui se trouve dans un bureau de vote délocalisé et qu'il faut la ramener à l'endroit du dépouillement. Surtout si l'équipe sortante est bien en place, avec des complicités à tous les niveaux.
Ca ne doit plus trop être possible aujourd'hui (quoique).
Il y a aussi la technique du "bourrage d'urne", moins utilisée avec les urnes transparentes.
Et il y en a probablement beaucoup d'autres que je ne connais pas, puisque je ne m'intéresse plus à ce truc depuis au moins 15 ans.
Il suffit de regarder les élections américaines de 2000 et 2004 pour s'en convaincre.
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Critères pour choisir un sport : si tu es grand, tu peux faire basketeur; si tu es costaud, tu peux faire rugbyman; si tu es con, tu peux faire footballeur.
#5270
Posté 20 mars 2007 - 10:50
#5271
Posté 20 mars 2007 - 11:08
#5272
Posté 20 mars 2007 - 11:10
ah dans ce cas...
je croyais que chaque bureau depouillait sur place, quel qu'il soit
#5273
Posté 20 mars 2007 - 11:16
Je l'ai vu faire (bon, OK, il y a longtemps, dans une ville dont je tairais le nom, mais qui finit en "court" ). Simple lorsqu'il s'agit de déplacer une urne qui se trouve dans un bureau de vote délocalisé et qu'il faut la ramener à l'endroit du dépouillement.
ah dans ce cas...
je croyais que chaque bureau depouillait sur place, quel qu'il soit
Comme je le disais, c'était il y a longtemps, dans les années 80 (1980 ) et dans le cadre des élections municipales. Ca m'étonnerait que le déplacement d'urne se pratique encore, surtout pour les élections nationales.
C'est pas à Paris qu'on faisait voter les morts ?
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Critères pour choisir un sport : si tu es grand, tu peux faire basketeur; si tu es costaud, tu peux faire rugbyman; si tu es con, tu peux faire footballeur.
#5274
Posté 20 mars 2007 - 11:25
c'est les tiberi ça, l'ascendance corse
mais moi je ne suis pas de Paris intra
#5275
Posté 20 mars 2007 - 11:30
Il faut que tout le bureau soit complice !
le dépoupouillement a commencé depuis longtemps, mais en vain semble t-il.
Attention ! Ces posts peuvent choquer un jaune public.
#5276
Posté 20 mars 2007 - 14:25
"C'était tout simple. Même pas besoin de télécharger. Pour écouter une chanson, il suffisait de taper son titre sur le site Radioblogclub.com et de la sélectionner. Grâce au procédé du "streaming", elle résonnait en quelques secondes dans les enceintes. Mais depuis mercredi 14 mars, le site est indisponible. En cause, un conflit avec la Sacem, la société français de gestion des droits d'auteur de musique.
Dans un communiqué, la société Mubility, propriétaire de Radioblogclub, explique que la Sacem"a fait pression sur la société OVH afin qu'elle suspende ses prestations d'hébergement du site, ce qui a été fait sans autre forme de procès", alors que des négociations étaient en cours pour parvenir à une rémunération des auteurs-compositeurs français dont les titres étaient diffusés sur le site. Mercredi soir, la Sacem n'avait pas publié de communiqué. Le 7 mars, elle avait annoncé avoir demandé, et obtenu, la fermeture d'un site similaire, Blogmusik.net. (...)"
Source: LeMonde.fr
#5277
Posté 20 mars 2007 - 16:07
J'ai essayé hier, ca marchait pô. Maintenant, je sais pourquoi...
Pfff.
#5278
Posté 20 mars 2007 - 17:30
http://www.newropean...p...4&Itemid=84
#5279
Posté 20 mars 2007 - 19:40
ça remarche
#5280
Posté 20 mars 2007 - 21:07
"ah, ben j'avais pas vu qu'on avait changé de côté" @ sucrette, Stade de France 2004, 5 min après le début de la 2ème mi-temps...
Puel fait entrer Paulin Puel (16 ans et demi) contre Evian, après avoir choisi d'aligner son gardien de but bis.
Puel je te conchie.