Et on ne m'enlèvera pas de l'idée que le recrutement au poste d'entraîneur de Bazda, c'est quelque part pour Lacombe le moyen de se mettre un bouclier, un fusible.
Gillot la grande gueule, avec son caractère de pittbull et sa joie de vivre permanente était plus difficile à manipuler qu'un Bazda, trop heureux d'être là.
J'ai surtout peur que selon les circonstances, Lacombe ne lui fera pas de cadeaux.
Ça veut absolument rien dire.
Putain, ya un max de personne ici qui raconte n'importe quoi [et je suis pas le dernier], pourtant, on peut trouver tout de même une certaine réflexion, même si c'est totalement faux.
Mais dans ce cas, ya rien, la vacuité totale. Et ce n'est pas la première fois que je le remarque.
Je vais expliquer mes propos : Lacombe n'a jamais vécu une 5ème place avec le club et voit le bordel que ca a mis, notamment déjà le départ de Cisco non programmé. C'est peut être Lacombe qui n'est pas programmé pour être président d'un club européen.
Ensuite, Plessis disait que le FCSM en Ligue 1, c'était une anomalie économiquement pour une ville comme Montbéliard. Peugeot et/ou Lacombe peuvent penser la même chose.
Dans une situation économique peu florissante, et pour la France, d'autant plus pour la région, et pour le secteur automobile (je vous informe tout de même que les économistes sont déjà inquiets pour Renault...), on pourrait aller à penser que mettre Bazda à la tête de l'équipe, ne pas vouloir recruter alors qu'il faut avoir de la merde dans les yeux pour ne pas voir qu'il y a urgence sur certains postes, c'est quelque part assurer une élimination précoce en Ligue Europa (sachant qu'elle ne devient bénéficiaire qu'à partir des 8èmes de finale ou 1/4 je crois), et utiliser Bazda, qui, s'il se plante, sera de toute façon catalogué comme l'entraîneur des descentes en Ligue 2.
Au moins, Lacombe lui aura donné sa chance, et dans son esprit, il pourra penser que personne ne lui en voudra si on descend.
Le FCSM retrouvera alors une place, qui, économiquement, serait plus viable dans son esprit.
Je vais un peu loin, mais faut chercher des raisons aux œillères présidentielles dans les circonstances actuelles.