Pourquoi on déteste Marseille
#4891
Posté 09 juin 2011 - 16:02
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Something pulls you up
And a voice says you can't stop
Then I started swimming
I was going down
But now I started
Winning
#4892
Posté 09 juin 2011 - 17:23
Cette manière de croire que la valeur d'un gars est figée à vie et que les exploits qu'un égrotant réussissait 10 ans auparavant vont se répéter m'exaspère au plus haut point. La seule certitude c'est que les équipes sont remplies de momies qui continuent à percevoir le salaire de quand ils avaient des jambes.
Attention ! Ces posts peuvent choquer un jaune public.
#4893
Posté 09 juin 2011 - 17:29
Et Inzaghi, ça compte par contre ? Et Pauleta ?
A tribe called quest represent, represent
#4894
Posté 09 juin 2011 - 17:34
L'équipe.fr
#4895
Posté 09 juin 2011 - 17:35
A tribe called quest represent, represent
#4896
Posté 09 juin 2011 - 18:14
#4897
Posté 27 juillet 2011 - 21:45
#4898
Posté 28 juillet 2011 - 06:42
Pendant les championnats du monde de natation, c'est plongeon.
La semaine dernière, cela aurait été but sur bicyclette.
par contre, cela risque d'être inquiétant pendant la Coupe du Monde de rugby.
#4899
Posté 28 juillet 2011 - 08:08
#4900
Posté 28 juillet 2011 - 08:36
#4901
Posté 05 août 2011 - 19:21
B.E.ELLIS
#4902
Posté 02 septembre 2011 - 09:51
Et c'est là que les choses se corsent. "Le mercredi, tout était OK. Fulham s'était mis d'accord avec l'OM. Et à 23h30, on m'a appelé pour me dire que je devais rentrer à Marseille car l'attaquant ne venait pas !, poursuit APG. Je suis allé là-bas pour, entre guillemets, aider l'OM à faire venir un attaquant. Je me suis même assis sur des bonus perso lors des négociations. Et quand tout se met à rouler, ça ne se fait pas..." Pire, le club tente un dernier mouvement dans les ultimes minutes du mercato. "Trois minutes après m'avoir demandé de rentrer à Marseille, on me rappelle pour me dire que j'ai la possibilité d'aller à Sunderland", dévoile-t-il. Cette fois, il refuse : "Je n'oublie pas que j'avais fait une erreur en signant à Lille avant d'aller à Toulouse. J'ai grandi. Je ne pouvais pas dire oui à Sunderland et non à Fulham car l'OM venait de décider un échange avec Gyan ! A Fulham, ils me désiraient. Je n'ai vu personne à Sunderland. Je ne suis pas un mercenaire".
http://www.eurosport...439/story.shtml
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#4903
Posté 02 septembre 2011 - 10:05
On a suffisamment répété ici durant l'épisode Maïga que les joueurs avaient des obligations envers leur employeur, mais les clubs ne peuvent pas considérer non plus les joueurs comme de vulgaires pions.
Le comportement de l'OM envers ses joueurs depuis que Deschamps est en place ne contribuera pas à voir les bras de fer engagés par les joueurs diminuer.
#4904
Posté 02 septembre 2011 - 10:09
Sinon, à propos de mercato, voilà un article qui va éclairer JL sur les nouvelles pratiques financières dans le foot en L1, où on voit que les clubs proposent désormais des salaires à la baisse de 25 à 30%.
jeu, 01 sept 02:29:00 2011
En France, les investissements massifs du PSG n'ont pas reboosté le marché des transferts, qui s'est clôturé dans la nuit de mercredi à jeudi. Contraints de travailler dans l'urgence, les clubs de Ligue 1 se sont surtout évertués à maîtriser leurs dépenses. Décryptage.
Le rideau est tombé. Depuis minuit, le mercato d'été a fermé ses portes. Et comme chaque année, le marché des transferts s'est animé dans la dernière ligne droite. Les clubs français ont négocié jusqu'au bout, à la recherche des bonnes affaires, en quête de solutions d'urgence. "C'est un peu caricatural, mais on attend les dernières heures pour solder les invendus", nous explicite Christophe Mongai, l'agent de Milan Bisevac et de Frédéric Kanouté.
Cette tendance à s'activer tardivement ne date pas d'hier. Elle s'explique. "Durant les deux premiers mois, les entraîneurs rêvent de joueurs inaccessibles, nous confie Christophe Hutteau, qui gère les intérêts de Mathieu Valbuena et de Charles Kaboré. Et puis soudain, dans les quinze derniers jours, la raison prend le dessus sur la passion. C'est aussi vrai pour certains joueurs, qui sont complètement déconnectés de la réalité du marché. Résultat : fin août, ils acceptent un salaire qu'ils refusaient deux mois plus tôt. Ils ne sont plus en position de force pour négocier. Parfois, il arrive même que des présidents en profitent pour revoir leur proposition à la baisse."
Bourgoin: "Une immense partie de poker"
C'est un peu ça, le marché des transferts. Un "grand bluff organisé, une immense partie de poker", dixit Gérard Bourgoin. Durant de longues semaines, le président de l'AJ Auxerre a repoussé les assauts lyonnais au sujet de Delvin Ndinga. "Certains ont un tel sentiment de supériorité qu'ils se permettent de faire des propositions ridicules ou de fixer des prix astronomiques, en se disant qu'ils vont grappiller quelques millions d'euros. Mais ça ne marche comme ça." Pour paraphraser un autre agent, qui souhaite garder l'anonymat, "les clubs cherchent à faire des économies de bouts de chandelle, au risque de tout faire capoter".
Le cru 2011 n'a pas dérogé à la tradition. A croire Christophe Mongai, "les transactions ont été assez nombreuses cet été, mais elles n'ont pas été très onéreuses". Si les clubs hexagonaux ont regardé à la dépense, "c'est parce qu'on est dans une période transitoire". "Ils sont raisonnables, et ils ont raison de l'être, affirme l'économiste du sport, Frédéric Bolotny. La période des transferts représente des enjeux économiques capitaux dans le budget d'un club. Il y a nombreuses incertitudes, liées notamment au fair-play financier et à la négociation des droits TV, qui n'est pas encore bouclée." Pour "minimiser les risques et compenser un réel manque de liquidités", les prêts avec option d'achat sont devenus monnaie courante.
Bolotny: "Lyon essaie de la jouer malin"
Sur un marché "volatile", chaque transfert s'apparente à une prise de risques. A un pari sur l'avenir. "Les clubs ont aujourd'hui moins le droit de se tromper qu'il y a encore quelques années", note Hutteau. "Quand on achète un joueur, on a une visibilité sur la masse salariale qu'il représente, reprend Bolotny. Mais pas sur sa future valeur à la revente. A l'exception de joueurs à forte notoriété comme Messi ou Ronaldo, qui possèdent un vrai pouvoir marketing, il y a un lien étroit entre les performances d'un joueur et sa valeur marchande."
Dans certains cas, la méforme sportive s'accompagne inévitablement d'une dévalorisation économique. Bolotny : "Regardez Yoann Gourcuff. Il y a un an, il a été acheté 22 millions d'euros à Bordeaux. Aujourd'hui, il ne les vaut plus. A Lyon, ça les a refroidis." Finie, donc, la politique ultra-dépensière. Oubliés les 77,5 millions d'euros investis durant l'été 2009. L'heure est à la sagesse. "Lyon essaie de la jouer malin, mais en réalité, il n'a pas le choix, insiste l'économiste du sport. De 2000 à 2006, l'OL était pourtant l'un des rares clubs européens à avoir conjugué compétitivité sportive et économique. L'OL gagnait, en restant prudent sur le marché des transferts. En 2008, il s'est mis à investir massivement sur le marché des transferts : les droits TV avaient été renégociés, et Lyon avait une visibilité sur quatre ans. Ce n'est pas le cas aujourd'hui."
Mongai: "Paris n'a pas réinvesti sur le marché français"
Du coup, sans Lyon, "le marché français a perdu son bailleur de fonds", dixit Christophe Mongai. Car dans le même temps, Bordeaux "n'a plus d'argent", selon le président Triaud. A Marseille, "seul un départ peut compenser une arrivée", d'après le président Labrune. Malgré son doublé Coupe-Championnat, Lille doit surveiller ses finances en attendant de décupler ses recettes billetterie grâce à son nouveau stade. Et Paris alors ? Boosté par l'arrivée des investisseurs qataris, le PSG a bien déboursé près de 89,5 millions d'euros cet été, dont 42 pour le seul Javier Pastore. Seul Manchester City et ses 99,5 millions peuvent se vanter d'avoir dépensé plus cet été. "Mais Paris n'a pas réinvesti sur le marché français, comme Lyon le faisait ces dernières années", souligne Mongai. "Le marché du PSG est clairement tourné vers l'international", abonde Bolotny, pour qui "le foot français ne doit pas perdre ses racines". Dit autrement, il doit "miser sur la formation". "Ça tient davantage au réalisme économique qu'à une logique identitaire, comme en Angleterre, où les clubs recrutent aujourd'hui sur le marché britannique."
En France, l'austérité ambiante a déteint sur les négociations joueurs-clubs. "Les discussions ont toujours été âpres, tempère Hutteau. C'est normal, chacun défend ses intérêts." L'agent de Valbuena "constate pourtant une nette baisse des rémunérations chez les joueurs, de l'ordre de 25 à 30%". "Les clubs acceptent de payer très cher les grands joueurs. Mais ils estiment que les joueurs de clubs, les ouvriers du football, sont trop payés." Pastore, la tête d'affiche du recrutement parisien, touche plus de 5 millions d'euros bruts par saison. Dix fois plus que le salaire moyen d'un joueur de Ligue 1. L'herbe est, paraît-il, plus verte ailleurs. Pour le vérifier, certains ont succombé à l'appel du large. Comme le Caennais Youssef El-Arabi, parti garnir son portefeuille à Al Hilal. Le président Fortin en est intimement "persuadé" : "Youssef aurait opté pour un club français si une véritable proposition s'était présentée". Mais Malherbe "n'a eu aucun contact avec des clubs de Ligue 1" pour son buteur marocain. En Arabie Saoudite, il touchera 13 millions sur quatre ans.
Gil BAUDU / Eurosport
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Critères pour choisir un sport : si tu es grand, tu peux faire basketeur; si tu es costaud, tu peux faire rugbyman; si tu es con, tu peux faire footballeur.
#4905
Posté 02 septembre 2011 - 10:14
Merci de me prendre pour un con, en attendant, c'est se tirer une balle dans le pied puisque l'idée que je véhicule est citée dans ton article, "chacun défend ses intérêts". Il y a une différence entre la nécessité de diminuer les salaires et la volonté tout-à-fait logique des joueurs de ne pas la voir appliquer. Une bonne fois pour toute, ce n'est pas parce que je comprends que je soutiens.
#4906
Posté 02 septembre 2011 - 10:41
En réponse à ton post fustigeant la politique en la matière de Lacombe dans le topic (aujourd'hui fermé) des transferts.
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#4907
Posté 02 septembre 2011 - 23:55
Et ben dites donc, quelle surprise, pas un mot sur le VA-OM du week-end précédant le jour de gloire
Ceci étant, ça m'apprendra, maintenant j'ai envie de gerber !
#4908
Posté 03 septembre 2011 - 09:14
A faire chier et déstabiliser tout le monde, à commencer par les clubs.
Ca devrait s'arrêter la veille de la reprise de la compétition.
#4909
Posté 05 septembre 2011 - 12:27
Eh oui, les gars, nombreux sont ceux qui n'ont rien à secouer de votre nombril.
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#4910
Posté 10 septembre 2011 - 14:51
#4911
Posté 10 septembre 2011 - 22:22
Les titres demain suite à l'inquiétude de Deschamps d'être viré :
"Deschamps branle.
A la porte ?"
#4912
Posté 12 septembre 2011 - 19:30
SALL, The pride of Juraside
#4913
Posté 12 septembre 2011 - 21:38
#4914
Posté 19 septembre 2011 - 10:57
#4915
Posté 19 septembre 2011 - 15:00
Pour être honnête, il faut aussi dire que l'OM a joué en six matchs, le 1er, le 3è, le 5è et le 6è du dernier championnat. Il y aura certainement des séries de six matchs plus facile pour eux.
Et on repartira pour un tour... à moins que...
Franche-Comté : une région grande par ses talents !
#4916
Posté 20 septembre 2011 - 14:37
89,7% de chance de terminer dans la deuxième partie du classement et 42,6% de chance d'être relégué.
Ça ne sert à rien, mais ça fait du bien.
#4917
Posté 20 septembre 2011 - 15:34
#4918
Posté 20 septembre 2011 - 16:38
2 points de perdu.
Après les 2 perdus face à Lorient et les 2 perdus à Lille, ça risque de peser lourd en fin de saison pour le titre.
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#4919
Posté 20 septembre 2011 - 17:38
#4920
Posté 24 septembre 2011 - 22:46
Bis repetita, mais cette fois, c'est Anigo.