Adieu Jean-Claude... ?
#451
Posté 26 décembre 2008 - 22:21
Par contre, ayant le même statut que Toulouse, on se serait tapé Liverpool en tour préliminaire tout pareil et on serait donc très vite rentré dans le rang.
Crawl back to the top
Something pulls you up
And a voice says you can't stop
Then I started swimming
I was going down
But now I started
Winning
#452
Posté 27 décembre 2008 - 00:04
Il suffisait d'un nul à Nancy et nous aurions fini 3ème.
Mais les joueurs ont lâché ce match, au motif d'une décompression suite à la victoire en coupe de France.
Manque de professionnalisme "oublié" à la faveur du 12/05/2007 et de l'euphorie ambiante dans laquelle nous baignions.
Sochaux aurait-il la fâcheuse habitude de "décompresser" une fois l'objectif atteint ?
Toute référence à Sochaux - Paris SG n'est pas pûrement fortuite.
#453
Posté 27 décembre 2008 - 05:50
Par contre, ayant le même statut que Toulouse, on se serait tapé Liverpool en tour préliminaire tout pareil et on serait donc très vite rentré dans le rang.
Le Tallec et Leroy ne demandaient qu'a rester
#454
Posté 27 décembre 2008 - 10:49
Il suffisait d'un nul à Nancy et nous aurions fini 3ème.
Mais les joueurs ont lâché ce match, au motif d'une décompression suite à la victoire en coupe de France.
Manque de professionnalisme "oublié" à la faveur du 12/05/2007 et de l'euphorie ambiante dans laquelle nous baignions.
Sochaux aurait-il la fâcheuse habitude de "décompresser" une fois l'objectif atteint ?
Toute référence à Sochaux - Paris SG n'est pas pûrement fortuite.
Ne pas oublier que le match à Lyon et la magistrale main de Fousseyni nous coûte également 2 points qui nous tendaient les bras.
#455
Posté 27 décembre 2008 - 11:37
Il est sûr que si Plessis avait été président d'un club au standing national plus élevé que le notre ( je n'en citerai aucun de peur d'affoler la susceptibilité de certains), on pourrait valider ta belle démonstration.
Pour ma part, je mesurerai le niveau de son bilan en restant dans un contexte sochalo-sochalien et en le comparant avec celui de ses prédécesseurs.
Depuis 1964, année d'une remontée en D1, où s'est vu depuis se succéder Bouquet, Thouzery, Daget, et Plessis à la tête du club, le parcours de celui-ci, suit grosso modo le même profil en se basant sur une période de dix ans:
A savoir, une courbe en dents de scie, constituée d'un partage presqu'égal entre des années moyennes, d'autres très difficiles avec une lutte pour le maintien ou même des descentes, et enfin des bonnes, où un bon parcours en championnat ou en coupe parviennent à nous satisfaire amplement et faire oublier tout le reste. .
Les années Plessis ne dérogent pas à ce constat, mais contrairement à tous ses anciens collègues, pendant sa présidence, deux coupes sont venues garnir une armoire aux trophées que la poussière avait fini par envahir.
Magnifique et incommensurable différence, en tout cas pour le supporter que je suis, et qui gamin remplissait consciencieusement des albums Panini en fermant pudiquement les yeux sur les lignes d'un palmarès sochalien bloqué aux années préhistoriques, contrairement à celles plus fournies et surtout plus récentes de la page suivante de la dite collection, constellée de figurines aux maillots Manufrance, le top de la mode en cette l'époque.
Ajoutées à cela, les frustations pour bon nombre de n'avoir touché que des yeux les précieux graals en 59, 67 ,80, et 88, sache alors que les frissons de joies ressentis lors des deux inoubliables et encore si présentes soirées dyonisiennes, pésent infiniment plus que la matérialité froide d'un petit déficit à 7M€ qui soi-dit au passage, ne nous aurait même pas empêché en août de recruter Moreira, Battles ou encore Sverkos, sans l'insuffisance de certains à la tête déjà ailleurs.
Source des données : Insee
(Mis à jour le 20 septembre 2008)
#456
Posté 27 décembre 2008 - 11:57
#457
Posté 27 décembre 2008 - 12:07
Il suffisait d'un nul à Nancy et nous aurions fini 3ème.
Mais les joueurs ont lâché ce match, au motif d'une décompression suite à la victoire en coupe de France.
Manque de professionnalisme "oublié" à la faveur du 12/05/2007 et de l'euphorie ambiante dans laquelle nous baignions.
Sochaux aurait-il la fâcheuse habitude de "décompresser" une fois l'objectif atteint ?
Toute référence à Sochaux - Paris SG n'est pas pûrement fortuite.
Ne pas oublier que le match à Lyon et la magistrale main de Fousseyni nous coûte également 2 points qui nous tendaient les bras.
Il est vrai mais après une magistrale faute de Wiltord, mais que personne n'a vu apparemment.
#458
Posté 27 décembre 2008 - 16:06
Plaidoyer très contestable qui se base uniquement sur deux victoires, trois avec la Gambardella, remportées aux penalties.
C'est à dire que tout ce discours éculé, maints fois servi déjà, se résume en ces quelques mots "Plessis a été le meilleur parce qu'il a eu plus de chance".
Or, cette chance il l'a achetée au moyen d'un déficit qui nous jettera peut-être en L2.
Dès lors faire du bilan sportif le gonfanon de la grandeur Plessisséenne est dédaignable.
En tout rigueur scientifique, on ne pas nier que Calais, Orléans et même Nancy arrivent en finale de coupe.
Que malheureusement le seul baromètre c'est le championnat, discipline où M Plessis après avoir peut-être bénéficié d'un élan conjoncturel, a lentement et sûrement plombé le club.
Ce verbiage exalté repose en outre sur un postulat bien évidemment faux, le sportif ce n'est pas le Président.
Le président c'est l'or et l'aura.
En ayant perclus le FCSM de joueurs deux fois moins bons que les standards de L1 et en les payant 2 fois plus, mais aussi en ayant donné une image débonnaire souvent, vulgaire parfois, Monsieur Plessis à un bilan beaucoup plus contrasté qu'on essaie de nous le dépeindre.
Ce qu'on demandait à Monsieur Plessis c'était certes de favoriser les circonstances permettant le gain d'une coupe ou deux, mais de le faire avec les moyens pécuniaires du FCSM.
Etant donné qu'il s'est manifestement affranchi de cette contrainte, il est hasardeux et même peu pertinent de dresser des comparaisons avec ceux qui l'ont respectée, dont certains, rappelons le, sont arrivés en demi-finale de coupe UEFA après avoir cédé le titre de champion de France 3-2 à Marcel Pinceau à l'ultime journée.
Pour autant, il est manifeste que chafouiner pour un déplacement en avion ou une soirée arrosée dans les salons, comme je l'ai lu parfois ici, c'est faire preuve d'une mesquinerie exagérée.
Monsieur Plessis a bénéficié d'un concours de circonstances historique, dont un des aspects et non des moindres était la déliquescence concomitante de grands clubs français comme Monaco, Marseille ou le Paris Saint-Germain, mais on peu aussi citer la rénovation du stade Bonal et le fait que Sochaux ait durablement eu le 8e budget du championnat pendant toutes ces années.
Il n'a ni influence ni mérite sur ces évènements.
En ce sens il a largement été là au bon moment pour remporter des trophées.
Ceci dit ce n'est pas si simple non plus et pendant longtemps il a su préserver l'image tranquille et familial du FCSM tout en l'épiçant de résultats flatteurs.
Quels sont les éléments sur lequel Monsieur Plessis avait un réel pouvoir de décision ?
Choisir les hommes;
En préférant Ruty-Geghini-Loréfice à Bazdarevic-Wantiez il est permis d'être circonspect sur sa pertinence.
On est obligé de se souvenir de la venue de Crevoisier;
du bordel permanent avec la cellule médicale;
Du somptueux double prêt de daubes le 31 août, jetées dans les pieds d'un franco turc devant lequel on se prostituera 12 mois plus tard afin qu'il accepte de finir une des 4 ou 5 saisons auxquelles il est contractuellement engagé;
D'avoir failli se faire casser la gueule par le meilleur joueur que Sochaux n'a jamais eu, l'excellentissime Jérôme Leroy;
Pour finir, le Président a t-il laissé une grande orientation, une dynamique pour l'avenir ?
Il semblerait que non puisque son successeur est obligé de s'acoquiner avec le seul entraîneur à la victoire unique en 25 confrontations pour un plan sur deux ans et demi.
A bien des égards, un esprit chez qui la raison n'est pas occultée par l'aspect touchant mais peu digne d'un débat "Monsieur-Plessis-m'a-permis-de-rompre-avec-mes-frustrations-de-bambin" est obligé de constater que le bilan de Monsieur Plessis est contrasté.
Le personnage semble avoir une démesure symbolisée dans ses réussites comme dans ses échecs, tous très prononcés, qui dénote étrangement avec le club familial et paternaliste qui est le nôtre.
Il faut être malhonnête pour faire de Plessis le responsable de ces succès en occultant tout l'aspect circonstanciel que j'ai, brillamment, évoqué, et en taisant la gabegie financière qui nous plombera durablement, un joueur qui gagne 80 000 € sur le banc de Sochaux y regardant à deux fois avant d'aller en gagner 30 000 à Helsinborg.
Ceci dit, l'ensemble était plutôt bien écrit de la part d'un gosse tellement con qu'il tenait son album Panini à l'envers au point d'y trouver Saint-Etienne après Sochaux.
Attention ! Ces posts peuvent choquer un jaune public.
#459
Posté 27 décembre 2008 - 17:27
Remarque étonnamment fine et déductive de la part d'une personne adulte et vaccinée, qui entend nous prodiguer des leçons de rigueur historico-scientifique, tout en se permettant avec assurance, de bafouer d'un revers de clavier, l'une des plus belles pages de notre Livre d'Or, en s'étalant superbement dans la chronologie de nos matches de légende, qu'il croyait fermement pourtant bien connaître.
Source des données : Insee
(Mis à jour le 20 septembre 2008)
#460
Posté 27 décembre 2008 - 17:30
Magnifique et incommensurable différence, en tout cas pour le supporter que je suis,
Voilà pourquoi ta démonstration n'est pas universelle.
En tant que supporter, je ne fais pas une fixation sur les trophées. J'attache beaucoup plus d'importance à la qualité du jeu pratiqué et à la constance des résultats. Une coupe nationale, c'est une soirée de folie. Un bon parcours en championnat ou une épopée européenne, c'est la satisfaction d'être au top pendant toute une saison.
J'étais fier de supporter Sochaux en 87-88 quand on défonçait tout le monde en D2 et en coupe, entre 2002 et 2004 (ce qui est à porter au crédit de Plessis) quand on avait le jeu le plus séduisant du championnat après Monaco, etc. Si je devais faire un top 3 de mes saisons préférées du FCSM, 2006-2007 n'y figurerait pas.
Crawl back to the top
Something pulls you up
And a voice says you can't stop
Then I started swimming
I was going down
But now I started
Winning
#461
Posté 27 décembre 2008 - 17:47
A la gloire ou non de Plessis, c'est justement toute la différence entre un palmarès correct et le néant ! Poulidor l'eût rêvé ! En foot comme ailleurs, seuls les gagnants ont raison*...
Or, cette chance il l'a achetée au moyen d'un déficit qui nous jettera peut-être en L2.
Heuuu, argument fallacieux s'il en est ! Les autres nous ont jeté en L2 sans pour autant enrichir notre palmarès !
Demandez aux maffieux s'ils se souviennent de leur descente en L2 ? Par contre, ils n'échangeraient pour rien au monde leur C1, quel qu'en ait été le prix versé !
Sans les gagner... (Cf *)
Que les médias parlent du FCSM en mal ou en bien, l'essentiel est qu'ils en parlent. Avec Lacombe, on retombe dans le néant médiatique et rien n'est pire que l'indifférence...
A l'antépénultième s'il vous plait ! Et ce n'est certainement pas là la raison de l'échec, mais plutôt la désaffection du public de Bonal et un arbitrage "à l'extérieur" à la maison, deux éléments imbriqués qui ont coûté de nombreux points notamment durant la 1ère partie de saison. Et là, malgré tout le respect que je lui voue, Mr Thouzery porte une certaine part de responsabilité !
Que tout le monde s'accordait à trouver de bonne augure !
Pas pire que l'époque du bon docteur Sautrée (phonétique), que mon père, spécialiste en médecine du sport, surnommait le boucher de Bonal !
Il ne doit pas être le seul !
Contrasté exactement, mais la "rupture avec les frustrations" de dizaines de milliers de personnes ce n'est quand même pas rien, c'est même une oeuvre majeure que peu de présidents de clubs peuvent revendiquer !!!
Là je dois avouer que c'est pas faux !
#462
Posté 27 décembre 2008 - 18:00
#463
Posté 27 décembre 2008 - 18:05
Plaidoyer très contestable qui se base uniquement sur deux victoires, trois avec la Gambardella, remportées aux penalties.
C'est à dire que tout ce discours éculé, maints fois servi déjà, se résume en ces quelques mots "Plessis a été le meilleur parce qu'il a eu plus de chance".
Or, cette chance il l'a achetée au moyen d'un déficit qui nous jettera peut-être en L2.
Dès lors faire du bilan sportif le gonfanon de la grandeur Plessisséenne est dédaignable.
En tout rigueur scientifique, on ne pas nier que Calais, Orléans et même Nancy arrivent en finale de coupe.
Que malheureusement le seul baromètre c'est le championnat, discipline où M Plessis après avoir peut-être bénéficié d'un élan conjoncturel, a lentement et sûrement plombé le club.
Ce verbiage exalté repose en outre sur un postulat bien évidemment faux, le sportif ce n'est pas le Président.
Le président c'est l'or et l'aura.
En ayant perclus le FCSM de joueurs deux fois moins bons que les standards de L1 et en les payant 2 fois plus, mais aussi en ayant donné une image débonnaire souvent, vulgaire parfois, Monsieur Plessis à un bilan beaucoup plus contrasté qu'on essaie de nous le dépeindre.
Ce qu'on demandait à Monsieur Plessis c'était certes de favoriser les circonstances permettant le gain d'une coupe ou deux, mais de le faire avec les moyens pécuniaires du FCSM.
Etant donné qu'il s'est manifestement affranchi de cette contrainte, il est hasardeux et même peu pertinent de dresser des comparaisons avec ceux qui l'ont respectée, dont certains, rappelons le, sont arrivés en demi-finale de coupe UEFA après avoir cédé le titre de champion de France 3-2 à Marcel Pinceau à l'ultime journée.
Pour autant, il est manifeste que chafouiner pour un déplacement en avion ou une soirée arrosée dans les salons, comme je l'ai lu parfois ici, c'est faire preuve d'une mesquinerie exagérée.
Monsieur Plessis a bénéficié d'un concours de circonstances historique, dont un des aspects et non des moindres était la déliquescence concomitante de grands clubs français comme Monaco, Marseille ou le Paris Saint-Germain, mais on peu aussi citer la rénovation du stade Bonal et le fait que Sochaux ait durablement eu le 8e budget du championnat pendant toutes ces années.
Il n'a ni influence ni mérite sur ces évènements.
En ce sens il a largement été là au bon moment pour remporter des trophées.
Ceci dit ce n'est pas si simple non plus et pendant longtemps il a su préserver l'image tranquille et familial du FCSM tout en l'épiçant de résultats flatteurs.
Quels sont les éléments sur lequel Monsieur Plessis avait un réel pouvoir de décision ?
Choisir les hommes;
En préférant Ruty-Geghini-Loréfice à Bazdarevic-Wantiez il est permis d'être circonspect sur sa pertinence.
On est obligé de se souvenir de la venue de Crevoisier;
du bordel permanent avec la cellule médicale;
Du somptueux double prêt de daubes le 31 août, jetées dans les pieds d'un franco turc devant lequel on se prostituera 12 mois plus tard afin qu'il accepte de finir une des 4 ou 5 saisons auxquelles il est contractuellement engagé;
D'avoir failli se faire casser la gueule par le meilleur joueur que Sochaux n'a jamais eu, l'excellentissime Jérôme Leroy;
Pour finir, le Président a t-il laissé une grande orientation, une dynamique pour l'avenir ?
Il semblerait que non puisque son successeur est obligé de s'acoquiner avec le seul entraîneur à la victoire unique en 25 confrontations pour un plan sur deux ans et demi.
A bien des égards, un esprit chez qui la raison n'est pas occultée par l'aspect touchant mais peu digne d'un débat "Monsieur-Plessis-m'a-permis-de-rompre-avec-mes-frustrations-de-bambin" est obligé de constater que le bilan de Monsieur Plessis est contrasté.
Le personnage semble avoir une démesure symbolisée dans ses réussites comme dans ses échecs, tous très prononcés, qui dénote étrangement avec le club familial et paternaliste qui est le nôtre.
Il faut être malhonnête pour faire de Plessis le responsable de ces succès en occultant tout l'aspect circonstanciel que j'ai, brillamment, évoqué, et en taisant la gabegie financière qui nous plombera durablement, un joueur qui gagne 80 000 € sur le banc de Sochaux y regardant à deux fois avant d'aller en gagner 30 000 à Helsinborg.
Ceci dit, l'ensemble était plutôt bien écrit de la part d'un gosse tellement con qu'il tenait son album Panini à l'envers au point d'y trouver Saint-Etienne après Sochaux.
Respire, tu t'étouffes.
#464
Posté 27 décembre 2008 - 18:06
Aujourd'hui peut-être, le 12 mai 2007 au soir sûrement pas, et dans 10 ans, on verra...
#465
Posté 27 décembre 2008 - 18:07
Il a contribué à médiatiser le club, le revers étant que sa personnalité assez mégalo a pu agacer, à commencer par nous.
Son bilan est contrasté mais je rejoins plus ilan the best que slow pulse boy: la victoire en coupe de France, on s'en souviendra toute notre vie et elle aura marqué les supporters que nous sommes alors que les belles saisons, dans 10 ou 20 ans , nous ne saurons plus avec exactitude les dates et avec quels joueurs.
La merde dans laquelle nous sommes plongés est la conséquence de la FIN de présidence Plessis, là où il a commencé à faire n'importe quoi au niveau contractuel et salarial.
Il s'était planté en signant Bijotat mais c'est à partir de Hantz que tout est parti en sucette et à beaucoup de niveau.
Et Lacombe hérite d'une situation pourrie qu'il doit redresser. Pas évident car la transmission de témoin s'est effectuée dans les pires conditions pour lui.
Il ne s'agit pas de dédouaner totalement notre nouveau président mais il est probablement le moins responsable de la situation actuelle et qui nous contraint à faire le dos rond même au delà de cette saison (retours de prêts, contrats de longue durée etc...)
Pour l'Alien, le projet avec Gillot est sur 3 ans 1/2 et non 2 1/2 !
#466
Posté 27 décembre 2008 - 18:11
#467
Posté 27 décembre 2008 - 18:11
Ben si pour toi être dans le ventre mou du championnat vaut plus qu'une victoire en coupe de France...
Sochaux traverse une mauvaise passe et descendra peut-être (croisons les doigts).
Mais le FCSM continuera à vivre et à fréquenter régulièrement l'élite avec des hauts et des bas.
Une victoire comme celle du 12/05/2007, c'est un bonheur dont j'ai l'impression que tous ne mesurent pas la portée.
#468
Posté 27 décembre 2008 - 18:14
Aujourd'hui peut-être, le 12 mai 2007 au soir sûrement pas, et dans 10 ans, on verra...
je ne crache pas dessus non plus et si notre place au classement depuis bientot 2 ans n'était pas ce qu'elle est, non plus, au contraire, mais avec les éléments que j'ai aujourd'hui, sauf si on arrive au moins a se maintenir la je prends!
parce que meme si on descend rien ne dit qu'on ne restera qu'une saison en l2!
par rapport a plessis leroy est bien parti a cause de lui!la saison passé avec un leroy je ne pense pas que ca aurait été pareil
#469
Posté 27 décembre 2008 - 18:15
(.../...)
Battre l'Ohèmeuh, battre l'ohêmeuh, ça ne veut plus rien dire du touuuuuuuuuuuuuuuuuuut...
#470
Posté 27 décembre 2008 - 18:17
Ben si pour toi être dans le ventre mou du championnat vaut plus qu'une victoire en coupe de France...
Sochaux traverse une mauvaise passe et descendra peut-être (croisons les doigts).
Mais le FCSM continuera à vivre et à fréquenter régulièrement l'élite avec des hauts et des bas.
Une victoire comme celle du 12/05/2007, c'est un bonheur dont j'ai l'impression que tous ne mesurent pas la portée.
etre dans le ventre, ok, ca fait quand meme 2 saisons!
et la cerise sur le gateau une victoire en une demi saison il y a quand meme des limites!
dans notre malheur cette saison meme avec ce triste bilan on est pas largué on en a qui sont aussi nul que nous...
#471 Invité_animasana_*
Posté 27 décembre 2008 - 18:24
Perso, je crois que c'est aussi le lot de clubs comme Sochaux, et de nombreux autres que de connaitre des descentes, et des moments plus hauts. Mais je n'ai pas envie de calmer les oscillations, j'aime trop quand on est sur la pente ascendante.
#472
Posté 27 décembre 2008 - 18:42
A l'antépénultième s'il vous plait ! Et ce n'est certainement pas là la raison de l'échec, mais plutôt la désaffection du public de Bonal et un arbitrage "à l'extérieur" à la maison, deux éléments imbriqués qui ont coûté de nombreux points notamment durant la 1ère partie de saison. Et là, malgré tout le respect que je lui voue, Mr Thouzery porte une certaine part de responsabilité !
Juste histoire de confirmer mes dires après vérification:
15ème journée de la saison 79/80: Le FCSM est 6ème et accueille Metz devant... 2.229 spectateurs ! Non, je n'ai pas oublié un 1 devant !
28ème journée : Le FCSM est 3ème ex aequo et accueille Angers devant... 4.500 spectateurs !
34ème journée : Le FCSM, 2ème à un point seulement du leader stéphanois (et avec un goalaverage bien meilleur) accueille Lille devant... 9.934 spectateurs ! (Match qui leur permettra pour rappel de prendre le pouvoir à 3 journées de la fin, avant ce terrible déplacement à Nantes où malgré un match admirable et une domination globale, ils s'inclinèrent et laissèrent le titre deux journées plus tard à ces mêmes nantais.)
Et pour rappeler combien le public de Bonal de l'époque n'a rien à envier à celui qui vient voir l'Ohème aujourd'hui, chiffre à mettre en relief avec les chiffres ci-indiqués ci-dessus (pour ce qui reste encore aujourd'hui la meilleure saison du FCSM après guerre), le FCSM-ASSE de 1976 avait rassemblé plus de 22.000 spectateurs, record absolu de spectateurs à Bonal. Certes, c'était l'ASSE qui venait de disputer la finale de la C1, mais Sochaux ne lui disputait pas le titre !
#473
Posté 27 décembre 2008 - 18:53
C'est le lot de tous les clubs. Lens est descendu après plusieurs saisons proches du podium, l'année qui suivit le naufrage de "l'historique maison jaune". PSG, Bordeaux, Monaco ont connu des saisons très difficiles.
L'exception lyonnaise me direz-vous ? Paris, Bordeaux, Marseille redevenus compétitifs et l'on verra comment se comportera ce club si populaire.
Remarque qui a peu de choses à voir mais je ne pense pas que la ligue 2 soit une purge si nécessaire au FCSM.
#474
Posté 27 décembre 2008 - 19:07
Je retiens aussi l'inefficacité chronique de la cellule de recrutement, le maintient a leur poste de Loréfice, Genghini and co. *
Bref le pauvre Lacombe se retrouve propulsé à la tête d'un navire mité de toute part, avec en plus des officiers incompétents bien ancrés a leur poste par l'ancien capitaine, des matelots qui ne pensent qu'à quitter le navire et des jeunes mousses talentueux mais encore trop tendre pour naviguer en haute mer.
#475
Posté 27 décembre 2008 - 19:51
C'est à cause de Crevoisier qu'il est parti.
En attendant, je rejoins entièrement Clyde dans son analyse, sachant que des choses sont à prendre et à laisser chez un peu tout le monde.
Mais une chose est sûre, zizou, tu ne devais pas être au Stade de France le soir du 12 mai 2007 pour avancer que tu préfererais ne pas avoir vécu ce moment si cela pouvait aujourd'hui nous faire gagner quelques places au classement. Ou alors des choses m'échappent ...
#476
Posté 27 décembre 2008 - 20:12
Oui, mais puisqu'il est question de Plessis, je répondrai ceci : une coupe, qu'elle soit de France, de la Ligue ou Gambardella, est davantage à porter au crédit de l'entraineur que du président. A l'inverse, le président a une plus grande part dans la constance dans les résultats année après année.
Et puis, si ça se trouve, dans 5 mois, Sochaux va gagner la coupe de France.
Alors, comment se fait-il que tu aies quitté le stade à la mi-temps du match contre Caen ?
Tu vois où je veux en venir ?
Crawl back to the top
Something pulls you up
And a voice says you can't stop
Then I started swimming
I was going down
But now I started
Winning
#477
Posté 27 décembre 2008 - 20:31
Car à la mi-temps, j'ai "balancé" un peu comme ça que vu notre niveau de jeu lamentable, si on en encaissait un 2ème je partais.
Pis on en a pris un 2ème.
Et pour la première fois depuis que je vais au stade, je suis parti, bien qu'étant plutôt mal à l'aise.
Mais les joueurs nous lâchent régulièrement, il n'y a qu'à se souvenir des propos de Perquis par exemple qui déclarait "on a joué que 20 minutes" après le match contre Caen.
Et je passe les prestations miteuse comme face au Havre ou Lorient par exemple.
Donc oui j'ai lâché une fois mais comparé à eux, j'ai de la marge.
Et je pense ne plus avoir à démontrer le très fort attachement que j'ai pour mon club.
#478
Posté 27 décembre 2008 - 20:33
#479
Posté 27 décembre 2008 - 20:33
Je ne crois pas que le Président soit primordial dans le sportif;
Je ne crois pas que le trou financier a permis "d'acheter" les coupes.
Mais, et c'est là où je ne suis pas d'accord avec zizou qui pourtant croit partager mon avis, si c'était le cas, alors de mon point de vue égoïste je dirais que le jeu en valait la chandelle et qu'il a bien fait.
Attention ! Ces posts peuvent choquer un jaune public.
#480
Posté 27 décembre 2008 - 20:36
Je ne crois pas que le trou financier a permis "d'acheter" les coupes.
@Jean-Pierre Bernes devant le tribunal