Plessis n'aurait jamais permis ce que Worbe a fait du temps de sa présidence. Il s'est d'ailleurs pris de grosses libertés vis à vis de Cordier qui lui ont coûté sa place, mais c'était lui le patron.
Quant aux points 2 et 3 de ta défense de Pernet, s'il avait vraiment voulu rester et sacrifier sa carrière chez Peugeot, il n'aurait eu aucun mal à leur dire merde et à rester jusqu'en septembre.
Que ça te plaise ou non, Pernet était le "pion" de Peugeot et n'a rien fait pour le club, sinon de l'amener aux portes du national.
Et qui te dit que ce n'est pas LEDUS qui ne voulait plus de lui ?
C'eut été un éclair de lucidité de leur part. Mais, dans ce cas-là, Kaenzig aurait fait le ménage d'emblée et n'aurait pas pris un "temps d'observation".
Ah ben oui, bien sûr, on l'accuse d'être fossoyeur ET couille molle, et quand on te réplique qu'il n'a peut-être pas eu le choix, c'est que l'actionnaire a fait le bon choix.
Bref.