Entre porter une arme et l'utiliser dans ces conditions il y a une limite qu'il a franchie. Il se sentait menacé certes mais peut être aurait il du attendre les renforts et les personnes compétentes qui étaient censées assurer la sécurité aux abords du stade. C'est un drame humain, on ne joue pas avec une arme à feu en pleine rue de cette manière. Il est évident que les 150 personnes n'avaient pas à agir de la sorte, en paroles comme en actes, mais c'est le système de sécurité qui a été défaillant. Au sortir d'un tel match, il fallait s'attendre à des débordements, surtout qu'ils connaissent bien les BB.
Tu ne sais rien de ces conditions tu ne peux rien dire.
Le témoignage le meilleur, et donc le plus prudent, que nous ayons est celui d'un journaliste qui a entendu et rien vu.
Tout juste savons nous d'expérience déjà rapportée ici de l'aveu même des progonistes que certains des plus ultras portent des poings américains des crans d'arrêt, sans compter les innombrables armes par destination qu'ils auraient pu s'attribuer depuis leur sortie du stade.