Coupe Du Monde : Barrages Européens
#421
Posté 17 novembre 2005 - 22:08
Et ben moi, j'ai le journal du mois suivant !!
Vous voulez le groupe de la France ?
France
Suede
Cote d'Ivoire
Etats Unis
Si vous desirez d'autres infos du mois de décembre, n'hesitez pas .
#422
Posté 17 novembre 2005 - 22:38
y'aura de la neige ?
#423
Posté 17 novembre 2005 - 22:45
J'ai la carte de France sous les yeux.
#424
Posté 18 novembre 2005 - 00:12
Je le prends pour moi, et ne prends même pas la peine de répondre.
Les mots nazis, fachos, populistes etc... sont dégainés encore plus vite que les insultes et invectives à l'aéroport d'Ankara.
#425
Posté 18 novembre 2005 - 00:25
Faut pas me la faire celle la !
J'ai vérifié sur canalsatellite et cette chaîne n'existe pas.
Accessit du jour.
#426
Posté 18 novembre 2005 - 01:14
Je le prends pour moi, et ne prends même pas la peine de répondre.
Les mots nazis, fachos, populistes etc... sont dégainés encore plus vite que les insultes et invectives à l'aéroport d'Ankara.
Je suppose que je n'ai pas d'accessit dans ces conditions ?
Attention ! Ces posts peuvent choquer un jaune public.
#427
Posté 18 novembre 2005 - 07:03
Ce serait un moindre mal...
#428
Posté 18 novembre 2005 - 07:15
Lonfat a encore prouvé qu'il était au dessus du lot : "Enfin, je ne voudrais pas que tout le monde se focalise sur la Turquie après ce qui s'est passé. C'était mon troisième déplacement à Istanbul et les deux premiers s'étaient bien passés. On a eu affaire à une minorité. On a vu aussi durant ce voyage des sourires et des gestes de gentillesse de la part de Turcs.", dit-il après avoir relaté les faits.
ça change des appels à la haine raciale de l'ex-futur quand même! Bravo Lonfat, tu mériterais d'être d'Ajoie.
SALL, The pride of Juraside
#429
Posté 18 novembre 2005 - 08:05
Fichier(s) joint(s)
#430
Posté 18 novembre 2005 - 08:38
bon, vous êtes prets pour une magnifique revue de presse, pleine d'émotion ?
#431
Posté 18 novembre 2005 - 08:49
#432
Posté 18 novembre 2005 - 08:57
#433
Posté 18 novembre 2005 - 09:10
BARRAGES COUPE DU MONDE 2006 C'est allé trop loin à Istanbul pour le coach national. Les joueurs sont choqués
RENAUD TSCHOUMY
18 novembre 2005
Alors que tous ses coéquipiers fêtaient la qualification, dans la nuit de mercredi à jeudi à l'Hôtel Ciragan d'Istanbul, Alex Frei avait le regard sombre. Parce qu'il avait raté deux grosses occasions, ce qui le met toujours hors de lui. Mais aussi parce que la loyauté du football avait été bafouée. Hier matin, dans son fauteuil de business class, l'attaquant de Rennes exprimait son sentiment en quelques mots: «Je suis triste. Triste pour le football, triste qu'on en arrive là. Ce n'est pas ainsi que je conçois la pratique d'un sport.»
Les échauffourées de mercredi soir étaient encore dans tous les esprits. Que des joueurs professionnels aient pu se comporter ainsi attristait tous les joueurs suisses. Pascal Zuberbühler: «C'est comme si tu écrivais quelque chose, et que ton collègue de bureau venait te flanquer son poing sur la gueule parce qu'il n'est pas d'accord avec toi.» Et c'est bien ce qui s'est passé dans les vestiaires du désormais tristement célèbre stade Sükrü-Saraçoglu.
«Ces choses-là n'ont rien à voir avec le football, commentait Köbi Kuhn. Le pire, c'est que les joueurs n'avaient pas à craindre les spectateurs, mais les joueurs adverses, leur entraîneur, les préposés à la sécurité et les fonctionnaires du stade. Ça, c'est grave. Je conçois volontiers que le football compte beaucoup pour les Turcs, mais, là, c'est allé trop loin.»
En un mot comme en cent, c'était l'enfer à Istanbul. Malgré cela, l'équipe de Suisse a su monter dans le fameux Midnight Express, celui qui, désormais, l'amène en Allemagne...
Huggel: «J'ai agi pour protéger Barnetta»
Les images de Benjamin Huggel, fonçant sur Özalan Alpay, ont fait le tour du monde. Ce sont aussi les seules à passer en boucle sur les canaux turcs... «Mais ce n'est pas moi qui ai attaqué, se défend le milieu de terrain d'Eintracht Francfort. Un fonctionnaire a donné un coup à Barnetta, et c'est à ce moment que je suis intervenu. Après, je suis entré dans le tunnel, j'ai poussé et je me suis précipité dans les vestiaires, parce qu'ils (les Turcs) me couraient tous après. Je sais que j'encours désormais une suspension. Ça me gâche ma joie, mais c'était plus fort que moi...»
Un fan suisse: «Jamais je n'ai eu aussi peur»
Les quelque 600 supporters suisses qui avaient osé braver l'adversité turque sont passés par tous les états d'âme mercredi soir. Après le match, ils ont été agressés par les Turcs, alors même qu'ils étaient encore parqués dans leur secteur hautement sécurisé. «On a reçu de tout, explique Olivier Baillod, président neuchâtelois du Fan-Club romand de l'équipe de Suisse. Des pièces de monnaie, des briquets, des barres de fer et même des montres!» Le pire allait survenir après le coup de sifflet final. «Ils ont arraché une cheneau de près de 3 mètres et nous l'ont balancée sur la tête. Puis, un pot de peinture blanche de 10 kilos!» Ouvert, évidemment... Les vestes de certains fans suisses en attestaient hier matin! Olivier Baillod encore: «Cela fait longtemps que je voyage avec l'équipe de Suisse, mais jamais je n'ai eu aussi peur de ma vie.»
Stéphane Grichting: «Tout ça va trop loin...»
Le Valaisan Stéphane Grichting a pu rentrer avec l'équipe. A la lecture des bulletins délivrés par un hôpital d'Istanbul, il souffre d'une déchirure des voies urinaires (dans l'excitation générale, il a reçu un violent coup de pied dans les parties génitales). On lui a apposé une sonde, et ce traitement sera effectif pendant sept à dix jours. Le regard au loin, le défenseur de l'AJ Auxerre était moralement atteint hier. «Physiquement, j'ai des douleurs. Mais je n'ai pas envie d'en parler. Tout ça va trop loin.» Oui. Bon rétablissement.
© Le Matin Online
#434
Posté 18 novembre 2005 - 09:12
Edito
JEAN-CLAUDE SCHERTENLEIB
18 novembre 2005
Hymnes nationaux sifflés, hués, raillés: la honte! Joueurs et dirigeants trop longtemps prisonniers d'un service officiel - le contrôle des passeports à l'aéroport Atatürk d'Istanbul -, puis pris en otage dans un hôtel de luxe transformé en camp retranché: la vergogne!
Gestes d'intimidation, menaces avérées, appels à la violence, tentatives de musellement des médias, censure: la guerre!
Oui: honte, vergogne et guerre. Tout cela pour une rencontre sportive. Aux incidences économiques considérables, certes, mais pour un simple match de foot.
Devant cette honte et cette vergogne, face à cette guerre, il faut dire stop à ce «sport»-là. Il faut que les tribunaux en charge de ce genre de dossiers - la commission disciplinaire de la Fédération internationale de football, en l'occurrence - appliquent des sanctions exemplaires. Définitives pour les meneurs, pour les semeurs de troubles. Pour tous ceux qui ont oublié que, même devenu formidable business, le football devait rester un jeu.
Mais il faut aussi, surtout, essayer de comprendre. Comprendre pourquoi et comment un être humain comme l'entraîneur Fatih Terim peut se transformer en une bête menaçante. Pourquoi et comment un joueur suisse, Benjamin Huggel, a frappé un adversaire en quittant le terrain. Pourquoi et comment un autre Helvète, Stéphane Grichting, s'est retrouvé sérieusement blessé.
Il faut surtout essayer de comprendre pourquoi, dix-sept ans après le match de la honte entre Galatasaray et NE Xamax, rien n'a changé à Istanbul. Essayer de comprendre, sur un plan politique, pourquoi notre pays, ces cinq derniers jours, a été considéré comme un ennemi par un presque voisin; une nation qui frappe à la porte de l'Europe.
Il faut surtout, dès cette minute, dès ce matin, éviter tout amalgame malheureux, car tous les Turcs ne sont pas des voyous. Et on a vu ces dernières semaines que les amalgames malheureux pouvaient enflammer les banlieues. Comme on sait qu'ils font le nid des mouvements nationalistes extrémistes.
© Le Matin Online
#435
Posté 18 novembre 2005 - 09:14
DANS L'HÔTEL DES SUISSES Les joueurs de Köbi Kuhn ont refait le monde - et le match - jusqu'au bout de la nuit. Cigare pour Zubi. Coltorti au piano
NICOLAS JACQUIER - ISTANBUL
17 novembre 2005
C'est retranchés, cloîtrés dans leurs vestiaires que les Suisses ont fêté leur qualification. Pour éviter le lynchage qui leur était promis, les héros de la bataille d'Istanbul mettront deux heures avant d'en sortir. En sang, Grichting chiale comme un gamin toutes les larmes de son corps. «Pour la première fois de ma vie, j'ai eu envie de tuer quelqu'un...» Chargé par un joueur, Eric Burgener a eu la peur de sa vie: «Ils sont venus à 100 km/h, avec les yeux qui leur sortaient du visage. Dans la mêlée, j'ai eu peur qu'ils ne me cassent ma prothèse de la hanche...» S'en sortant avec un bleu à une cuisse, l'entraîneur des gardiens passera sa haine en fracassant le plafond suspendu des vestiaires. Des dégâts qu'Ernst Lämmli, juché sur un tabouret, tentera de réparer...
Sur le coup de minuit, le calme précaire revenu, les Suisses, de retour dans leur luxueuse forteresse, pourront enfin commencer à savourer la dimension de leur exploit. Au 1er étage du Ciragan Palais Kempinski, Emil Bolli leur a préparé un menu de fête. «Où est le bar?» s'enquiert Ludovic Magnin. Les images du scandale ne se sont pas estompées. «Ils avaient la haine, ils voulaient me tuer.» Le Vaudois de Stuttgart a suivi la partie réfugié dans un studio improvisé de la TV allemande ARD. «Lors de la castagne, j'entendais les coups. Ça a bien tapé. Qu'importe, en juin prochain, on leur enverra des cartes postales! (Rires.)»
Cigare à la bouche et bière - turque! - en main, Pascal Zuberbühler peut enfin se lâcher: «C'est la première fois de ma carrière que je m'en fous d'avoir encaissé quatre buts! Je peux enfin vider mon corps de toutes ses émotions.» Le géant du FC Bâle repense à la campagne de dénigrement qu'il a dû encaisser. «Pour moi, c'est spécial. J'ai trop de choses en tête...» Zubi revoit aussi ce coup franc de Metin, dans les arrêts de jeu (93e), un coup franc que l'intéressé, dans des circonstances analogues, avait transformé contre le Danemark. «Si j'avais pensé aux conséquences de ce coup franc à ce moment-là, j'étais sûr de l'encaisser.» La frappe de Metin sera stoppée dans le mur par Behrami.
Sur le coup de 3 h 30, l'ambiance monte d'un cran quand Coltorti s'installe au piano. Egrenant la mélodie du bonheur, le portier fait swinguer ses potes. Lonfat donne le rythme. Lui non plus n'oubliera pas de sitôt ce qu'il a vécu: «Les Turcs voulaient me faire la peau. Dans le couloir, les flics nous ont fracassés.» Gygax est au gin tonic, Michel Pont au... septième ciel: «Je suis en Coupe du monde, je vais y aller! Je rêve de jouer contre le Brésil. Notre force, c'est qu'on s'aime. Je revis la même émotion que lorsque j'étais monté en 1re ligue avec Grand-Lancy en 1984...»
La nuit stambouliote est déjà bien avancée lorsque Köbi Kuhn rejoint les derniers fêtards. Sur le coup de 5 heures, Michel (Pont) et Köbi se tombent dans les bras. Une longue étreinte unit les deux hommes à l'écart des objectifs. Lorsque le Genevois se redresse, des larmes coulent sur le visage de Köbi, les yeux rougis. Des larmes de bonheur que personne ne verra jamais...
© Le Matin Online
#436
Posté 18 novembre 2005 - 09:17
Les chiffres
3
Le nombre d'hôtels déjà repérés par l'ASF en Allemagne. Le choix final du camp de base sera pris dans les trois à quatre semaines.
99
Les minutes effectives durant lesquelles les joueurs suisses ont dû s'accrocher à leur branche mercredi. Quatre minutes de temps additionnel en première mi-temps, 4 en seconde... et le temps supplémentaire du temps supplémentaire!
Les phrases
«Rien n'a changé depuis 1988. C'était même pire!»
Gilbert Facchinetti est revenu pour la première fois sur sol turc depuis la traumatisante défaite de Xamax en Coupe des champions contre Galatasaray (0-5). Il n'est pas rentré rassuré de l'ancienne Constantinople...
«C'est la plus belle des défaites»
Cette phrase, tous les joueurs (ici Streller) la répétaient au cours de ce qui fut leur dernière (courte) nuit d'Istanbul. Et on n'était pas dans un conte...
L'info
Les télévisions suisses ont battu tous leurs records mercredi soir. D'abord, la TSR: 435 000 personnes ont suivi la rencontre (60,1% de parts de marché), avec un pic à 575 000 (71,5%) durant la dernière minute. SF DRS ensuite: 1 575 000 téléspectateurs ont vibré (66,5 de PMA), avec une pointe à 1 870 000 en fin de match (73,7%). Oui, c'est tout un pays qui a vibré mercredi soir...
Carton jaune
Il est de couleur jaune foncé, et adressé à la TSR, seule des trois chaînes nationales à ne pas avoir diffusé en direct le retour des héros d'Istanbul à leur arrivée à Zurich-Kloten. Mais que lui faut-il?
L'anecdote
Après le «Welcome to hell» de lundi, les joueurs suisses ont été accueillis hier dans l'Airbus A340 de Swiss par un «Welcome to heaven» affiché dans tout l'appareil. Sur le flyer, on y voyait un appareil de Swiss décoller, avec cette phrase: «Il y a des kebabs à Istanbul, mais, à la Coupe du monde, c'est encore plus beau.» Qu'il a fait bon revenir de l'enfer...
L'accueil
Le personnel de bord ne s'est pas arrêté là en matière d'hospitalité. Que les passagers soient en business class ou en economy, tout le monde a reçu sa coupe de champagne en pénétrant dans l'appareil. Il y a des jours où il faut profiter de tout!
Le changement
Averti à la 10e minute, Philipp Degen a été remplacé par Valon Behrami à la mi-temps. «C'est moi qui ai demandé à ne pas revenir sur la pelouse, d'entente avec Köbi Kuhn et Michel Pont, expliquait le latéral de Dortmund. Après mon premier carton, l'arbitre m'a signifié à deux reprises qu'il était tout près de me sortir le deuxième. Remonter sur le terrain pour voir rouge, ce n'était pas la bonne solution.» Oh non! Car si, en plus, il avait fallu finir à dix...
© Le Matin Online
#437
Posté 18 novembre 2005 - 09:18
KÖBI KUHN Près de 3000 supporters helvétiques ont fêté hier après-midi à Kloten le retour de «nos» héros. Le coach national évoque l'enjeu de la Coupe du monde à venir, et l'objectif, forcément élevé, qui sera celui du visiteur en Allemagne
NICOLAS JACQUIER - ZURICH
17 novembre 2005
Après la bastonnade orchestrée d'Istanbul, les Suisses ont retrouvé le sourire en même temps que leurs supporters. Arrivés hier à 15 h 10 à Kloten à bord d'un vol spécial ramenant toute la délégation, ils ont enfin pu faire la fête dont les Turcs les avaient sciemment privés la veille sur le terrain. Wicky n'en revient pas de cette marée humaine: «C'est fantastique à vivre en direct», lâche-t-il des trémolos dans la voix. Köbi Kuhn, très ému, lui aussi, au pied de la passerelle: «Tous ces gens, c'est le salaire de ce que l'on a fait, il n'y a rien de plus beau. Ils sont venus nous rendre la joie qu'on leur a offerte.»
Après coup, c'est dans un salon feutré de l'aéroport que le coach national et son état-major ont enfin pu se lâcher. «On aurait aimé organiser ça après le match de Dublin déjà. Ça nous aurait privés de pas mal de souffrance», dira fort à propos Pierre Benoît, le chef de la communication. Köbi Kuhn lui emboîtera le pas, évoquant, le calme revenu après la bataille d'Istanbul, le plaisir que lui inspire une équipe, qui, dira son sélectionneur, «sera restée invaincue durant toute la phase de qualification». Seule la série de résultats nuls (6) devait condamner la Suisse à passer par les repêchages. «L'équipe n'a eu de cesse de travailler à vouloir toujours plus travailler afin d'atteindre la perfection. Et je dois admettre que l'on a eu des phases de jeu où l'on s'est approchés de cette perfection.» Dans l'enfer turc, la Suisse a écrit une page d'histoire inoubliable. «J'ai compris dès mercredi soir dans le vestiaire la portée de ce que signifiait une qualification. Surtout quand les joueurs m'ont porté et mis sous la douche froide!»
Aux yeux de Kuhn, ce qui arrive n'est peut-être pas le fruit du hasard - cette qualification s'inscrivant dans un vaste projet dont l'objectif final reste l'Euro 2008. «Dans l'optique de la continuité, que la Suisse participe à la Coupe du monde est quelque part un accident de parcours. Notre grand but est 2008, ce qui ne veut pas dire que l'on se déplacera sans ambitions en 2006. On a juste pris un peu d'avance dans notre tableau de marche...» Justement, que peut espérer cette Suisse-là outre-Rhin? «Notre but? (s')interroge Köbi. Euh! On veut être champions du monde!» Et notre interlocuteur de détailler sa pensée: «Enfin, on souhaite aller au bout de notre potentiel.»
A Istanbul, Köbi Kuhn n'avait pas reçu personnellement les félicitations d'usage du Conseil fédéral, transmises en l'occurrence par Samuel Schmid, un ministre des Sports avec lequel Köbi s'était déjà longuement entretenu durant le week-end. «Je sais qu'il a appelé. Mais j'avais moi-même débranché mon portable. (Rires.) Il a transmis ses félicitations au président de la fédé.»
Prochaine étape pour la Suisse: le tirage au sort de la phase finale, le 9 décembre à Leipzig. Prochain match amical: le 1er mars à Glasgow, contre l'Ecosse.
#438
Posté 18 novembre 2005 - 09:24
Ou qu'un turc.
(Voltaire - Extrait de Catalina)
#439
Posté 18 novembre 2005 - 09:27
la preuve ? Moi.
#440
Posté 18 novembre 2005 - 09:31
#441
Posté 18 novembre 2005 - 09:35
la preuve ? Moi.
Ne sois pas trop dur envers toi-même.
(Voltaire - Extrait de Catalina)
#442
Posté 18 novembre 2005 - 09:39
#443
Posté 18 novembre 2005 - 11:31
#444
Posté 18 novembre 2005 - 11:41
Ce qui est inquiétant, c'est ce qui s'est passé à l'arrivéE des Suisses en Turquie (employés de l'aéroport insultant la délégation et zelle des autorités douanières locales) et surtout la bataille rangée dans le tunnel des vestiaires.
D'après les journalistes suisses présents sur place, dont le jurassien Christophe Cerf, tout était prévu à l'avance. Grand rideau noir pour empêcher de filmer le couloir, interdiction de filmer en direction des joueurs, présence de "drôles" d'individus dans le tunnel. Un journaliste tessinois est persuadé que tout était prémédité. Les joueurs, le staff, l'encadrement et le service d'ordre turc avait prévu A L'AVANCE de bastonner les joueurs suisses. C'est hallucinant.
Et ce n'est pas la première fois. Nous n'avons pas eu droit à l'exclusivité. Beckham s'était fait lui-même sauvagement tabasser par le turc Alpay.
Il est tant que la FIFA et l'UEFA prennent leurs responsabilités. Et ne pas attendre qu'un joueur décède pour prendre des mesures.
Bon le sujet est clos, ALLEMAGNE NOUS VOILA !!!!
#445
Posté 18 novembre 2005 - 12:42
la preuve ? Moi.
eneffè.
Mais tu sais que je reste le N° 1
Attention ! Ces posts peuvent choquer un jaune public.
#446
Posté 18 novembre 2005 - 13:23
Le reste, on s'en cogne maintenant. En tout cas, on n'est pas près d'accepter leur adhésion à l'UE....
Ben évidemment que je parle des suisses.
SALL, The pride of Juraside
#447
Posté 18 novembre 2005 - 13:27
la preuve ? Moi.
#448
Posté 18 novembre 2005 - 13:42
#449
Posté 18 novembre 2005 - 13:45
Vi, mais pas français.
#450
Posté 18 novembre 2005 - 13:47
Il y a une grosse différence entre un con suisse et un con turc. Le con suisse est qualifié, lui.
SALL, The pride of Juraside