Nous passons de "nous ne sommes pas des traders" à "nous sommes des businessmans".
Puis dans la même interview de "J’aime le club, je ne vendrai pas le club" à "Si on me propose de la tunes je vendrai pour faire un bénéfice".
Le coup de l'action qui ne change pas depuis 2 ans alors qu'elle est au fin fond des abysses...
Li spécule sur la valeur du club de foot qu'il achète. Il regarde si il peut l'acquérir à un bon prix, essaye avec des moyens minimums d'avoir des résultats, voir une remontée (Sochaux, Castellon) pour ensuite le revendre plus cher et faire un bénéfice. Comme quand tu achètes un appartement dans un quartier à fort potentiel et où la valeur augmentera de manière exponentielle dans les 5 ans à venir.
Je comprend mieux sa stratégie et pourquoi il a posé ses fausses ampoules à Sochaux. C'était du pain bénis pour lui et l'affaire du siècle. 7 millions (et encore peut être beaucoup moins je n'ai plus en tête toutes les révélations de Clyde), avec un fond de roulement de PSA permettant de remonter en Ligue 1 sans mettre d'argent sur la table, pour ensuite revendre le club le double !
D'ailleurs il n'essaye plus de nous faire gober qu'il est là pour promouvoir Ledus à travers l'image de marque du club, mais bien qu'il est là pour faire un bénéfice avec l'achat de clubs de foot en spéculant sur le potentiel bénéfice achat/revente.
De plus il doit savoir que des potentiels repreneurs comme RP se tiennent prêt à reprendre le club, d'où l'intérêt de dire qu'il aime le club et qu'il ne vendra pas. Il se mettrait en position de faiblesse en déclarant le contraire et ne pourrait faire monter les enchères.
Que Romain Peugeot, des américains où je ne sais quel repreneur un peut sérieux face une offre à 10 millions et qu'on en parle plus pitié.
Les films sont plus harmonieux que la vie, Alphonse. Il n'y a pas d'embouteillages dans les films, il n'y a pas de temps morts. Les films avancent comme des trains, tu comprends ? Comme des trains dans la nuit. Les gens comme toi, comme moi, tu le sais bien, on est fait pour être heureux dans le travail de cinéma.