Selection nationale
Posté 10 mars 2022 - 07:25
J'ai vu les images. Le 2e but est impressionnant. Modric et le Real qui remontent tout le terrain, pour finir dans la surface de réparation où Benzema est seul au milieu de 7 parisiens et le ballon lui arrive, il a le temps de se retourner et de tirer. Quelle défense en bois.
Quant aux boulettes, comme on dit ça arrive aux meilleurs. Mais ça arrive très souvent aux meilleurs quand il joue au PSG.
Et spéciale dédidace aux vedettes Messi et Neymar, la "dream team" était là.
V.I.P.
Posté 10 mars 2022 - 07:27
la défaite contre Gueugnon en finale de Coupe
Là, ils sont excusés.
Les gueugnonnais étaient les plus forts !
V.I.P.
Posté 10 mars 2022 - 07:30
V.I.P.
Posté 10 mars 2022 - 09:21
V.I.P.
Posté 10 mars 2022 - 09:37
Et pendant ce temps là Navas était sur le banc...encore une très belle gestion des gardiens à Paris....
V.I.P.
Posté 10 mars 2022 - 10:50
Cristiano aura le temps de faire une pige à la Beckham avant.Leonardo envisage de recruter Benzema quand il sera en fin de contrat au Real et que ce dernier n'en voudra plus.
Quelle bonne idée d'avoir pris Ramos pour gérer ce genre de rendez-vous.
V.I.P.
Posté 10 mars 2022 - 11:02
Star de PlaneteSochaux
Posté 10 mars 2022 - 11:14
Attention à la gueule de bois.
Je vois pas trop, même avec les pétro dollars, comment le PSG va se relever de cette désillusion.
Nasser est à 2 doigts de passer derrière les barreaux.
Messi, Neymar, Di Maria, Ramos sont finis.
Mbappé ne peut décemment pas rester dans ce contexte.
On aura le droit à un énième changement d'entraineur.
Je vois pas comment Leonardo pourrait être maintenu à son poste.
Va falloir se séparer des poids aux salaires hors normes et à l'apport sportif quasi nul que sont Draxler, Kurzawa, Icardi, Kherer.
Et si je suis Marquinhos, je me barre en courant de ce merdier.
Bref. J'adore!!! 
V.I.P.
Posté 10 mars 2022 - 11:24
Star de PlaneteSochaux
Posté 10 mars 2022 - 11:45
tout à fait d'accord avec vos propos.
Si on y regarde bien, et toute proportion gardée, il y a une certaine similitude entre ce qui est arrivé aux parisiens hier et à nous autres contre le PFC.
On est bien en place, on mène, on est même pas loin de mettre un second but. Et paf , l'équipe se désagrège et on se prend 3 buts en à peine plus d'un quart d'heure.
V.I.P.
Posté 10 mars 2022 - 12:45
Le truc c’est qu’à Paris, cette désintégration d’un match à l’autre voire même d’une mi-temps à l’autre, est récurrente. Jadis le club connaissait sa "crise de Novembre", ou Octobre, bref, on attendait le crash et il se produisait, un vrai running-gag. Irrationnel et en même temps complètement attendu.
Tant de milliards et de campagnes de com’ pour toujiurs en revenir à ça...
Et rappelons :
Le nombre de carrières légendaires entachées : Buffon, Dani Alves, Ramos, Messi ... des monuments du foot mondial devenus pathétiques.
Le nombre de potentiels gâchés, voire ruinés comme Draxler, Kurzawa, Kehrer ... (ne riez pas : tous ces types étaient de légitimes internationaux à 20 ans), et même Neymar, dont on peut penser qu’il aurait fini par se gâcher tout seul de toutes façons mais peut-être pas à ce point ... Même Marquinhos, quel gâchis pour lui. Icardi est-il si nul ? On verra quand il sera revenu dans le Calcio ... etc
Les jeunes sous-estimés, aux noms pas assez clinquants, partis s’éclater et devenir internationaux ailleurs : Coman, Diaby, Dembele (de Lyon), Nsoki ...
Les coachs qu’on fout dehors et qui avaient réussi ou réussissent ailleurs (et pas qu’un peu) : Ancelotti, Emery, Tuchel, et même Pochettino, qui est allé en finale de LdC avec Tottenham et rebondira à n’en pas douter.
Alors oui, il y a les titres de champion et une finale de LdC au rabais (quoi qu’on en dise) au cours de laquelle ils ont à peine existé.
Ne pas gagner la LdC n’est pas une honte; mais bon sang, en terme de gestion sportive, financière, en termes d’image ... globalement, le bilan est calamiteux.
Quel joueur "sérieux" viendrait désormais se risquer dans un tel merdier ? A Manchester, Madrid ou Munich, on sait payer les joueurs aussi ...
Star de PlaneteSochaux
Posté 10 mars 2022 - 12:48
A ce propos, ce tweet de Passion PFC : "on va finir par la gagner avant eux"
V.I.P.
Posté 10 mars 2022 - 20:18
La Coupe du monde au Qatar est bientôt, ça sent le lourdage derrière...
https://www.footmerc...ifi-et-leonardo
V.I.P.
Posté 10 mars 2022 - 20:20
Le truc c’est qu’à Paris, cette désintégration d’un match à l’autre voire même d’une mi-temps à l’autre, est récurrente. Jadis le club connaissait sa "crise de Novembre", ou Octobre, bref, on attendait le crash et il se produisait, un vrai running-gag. Irrationnel et en même temps complètement attendu.
Tant de milliards et de campagnes de com’ pour toujiurs en revenir à ça...
Et rappelons :
Le nombre de carrières légendaires entachées : Buffon, Dani Alves, Ramos, Messi ... des monuments du foot mondial devenus pathétiques.
Le nombre de potentiels gâchés, voire ruinés comme Draxler, Kurzawa, Kehrer ... (ne riez pas : tous ces types étaient de légitimes internationaux à 20 ans), et même Neymar, dont on peut penser qu’il aurait fini par se gâcher tout seul de toutes façons mais peut-être pas à ce point ... Même Marquinhos, quel gâchis pour lui. Icardi est-il si nul ? On verra quand il sera revenu dans le Calcio ... etc
Les jeunes sous-estimés, aux noms pas assez clinquants, partis s’éclater et devenir internationaux ailleurs : Coman, Diaby, Dembele (de Lyon), Nsoki ...
Les coachs qu’on fout dehors et qui avaient réussi ou réussissent ailleurs (et pas qu’un peu) : Ancelotti, Emery, Tuchel, et même Pochettino, qui est allé en finale de LdC avec Tottenham et rebondira à n’en pas douter.
Alors oui, il y a les titres de champion et une finale de LdC au rabais (quoi qu’on en dise) au cours de laquelle ils ont à peine existé.
Ne pas gagner la LdC n’est pas une honte; mais bon sang, en terme de gestion sportive, financière, en termes d’image ... globalement, le bilan est calamiteux.
Quel joueur "sérieux" viendrait désormais se risquer dans un tel merdier ? A Manchester, Madrid ou Munich, on sait payer les joueurs aussi ...
+1
Et j'ajouterais le manque de respect envers certains joueurs qui ont été pourtant exemplaires et ont tout donné comme Cavani ou Thiago Silva.
Star de PlaneteSochaux
Posté 10 mars 2022 - 20:24
Cinq ans après la remontada, cinq ans après que le « Nooon ! » de Paul Le Guen se soit perdu pour l'éternité dans la nuit du Camp Nou, le PSG ne sait toujours pas comment se construit une équipe, mais il sait très bien comment elle s'écroule. La même faillite, le même cauchemar, la même liquéfaction, le même naufrage absolu sitôt que s'est levée la tempête et que s'est dressé le grand, l'immense Karim Benzema : ce n'est plus un accident, c'est une culture.
Après une finale en 2020, et une demi-finale en 2021, qui suggéraient une nouvelle ère, le PSG a disparu de la Ligue des champions l'année même de son couronnement espéré, l'année de son recrutement galactique, parce qu'il n'a retenu aucune leçon et qu'il a continué de penser qu'il suffisait de réunir des étoiles pour que les planètes s'alignent.
L'erreur de Donnarumma, à Bernabeu, a été l'élément déclencheur d'une demi-heure en enfer, mais dans une véritable équipe, dans un cadre collectif solide et au long cours, dans un club où l'effectif serait gouvernable par l'entraîneur, elle n'aurait pas eu ces conséquences. À 1-1, le PSG était encore qualifié. À 1-2, il n'était pas encore éliminé. C'est un détail, c'est une demi-seconde où l'Italien a fait un mauvais choix, et c'est beaucoup plus que cela : le PSG n'était pas prêt à faire face, parce qu'il n'a pas de marge, parce qu'il n'a rien bâti depuis que Mauricio Pochettino est arrivé, et parce qu'il a oublié que la grandeur, en foot, touchait toujours ceux qui refusaient la défaite plus longtemps que les autres. Les Parisiens, eux, l'ont acceptée en une demi-seconde, son évidence les a submergés, parce qu'il faut un autre ciment que celui-là pour se mettre à dix pour rattraper l'erreur d'un seul.
Le déclencheur est toujours un détail. Ce qu'il révèle ne l'est jamais. Le football se respecte, il se construit, il s'envisage et il se travaille. Il ne peut pas émerger par miracle d'une politique sportive qui se fiche de l'équilibre d'un effectif et le rend ingouvernable pour son entraîneur. Ce que cette impensable élimination révèle, une fois de plus, c'est que la culture du club est au coeur de l'échec : la culture du PSG est d'accepter que les joueurs soient plus grands que le club, et beaucoup plus grands que les entraîneurs, qui continueront de passer très vite et sans laisser de traces, si Doha ne balaie pas la maison et jusque devant sa porte.
L'année de la Coupe du monde au Qatar, le propriétaire du PSG ne va pas aimer, mais on ne peut que l'inviter à réfléchir autrement. À constater par exemple qu'à Manchester City, qui n'est pas un exemple absolu en Ligue des champions, la richesse est au service d'une idée du jeu. Onze ans après son arrivée, le moment est venu de refonder.
L'autre cruauté, pour ce PSG, est cette sensation, soudain, que Kylian Mbappé mérite autre chose, au bout de deux buts fantastiques qui avaient permis à Paris de mener 2-0 sur l'ensemble des deux matches, que cette ambition qui se liquéfie à la première tempête, que cette équipe qui ne dépend que de lui, dans ses bons moments, et de bien trop d'autres, dans les moins bons. Au lendemain du nouveau cauchemar qui hantera les nuits du PSG, jusqu'à la fin d'une saison qui n'a plus d'importance, on se met soudain à penser que Mbappé est trop fort pour lui.
Quand je ne sais pas, je la ferme
Star de PlaneteSochaux
Posté 10 mars 2022 - 20:55
Le pire a été le comportement des dirigeants.
Je pense que ça va être très très dur pour la suite et qu'il va falloir tout reconstruire depuis les fondations
Quand je ne sais pas, je la ferme
V.I.P.
Posté 10 mars 2022 - 20:59
Lquider le Paris SG, Riolo qui annonce en 2022 après la CDM au Qatar, ça peut-être la fin du club qui va rentrer dans le rang.
Le gain en masse salariale si ça dégraisse avec les départs de Neymar, Messi, M'Bappé, Ramos, Draxler, Kehrer, Bernat (qui n'était même pas dans la liste des 25), Kurzawa, Marquinhos, Navas, Di Maria, Icardi...
Changement de directeur sportif :
changement d'entraîneur :
changement de président délégué
Sochaux COMTOIS NENNI TA FOI
V.I.P.
Posté 10 mars 2022 - 23:39
N'oublions pas l'essentiel : ce n'était qu'un huitième de finale. Ca devrait être beaucoup trop tôt pour les pleurs, les analyses ultra-pointues et les alexandrins.
V.I.P.
Posté 11 mars 2022 - 18:09
C'est un peu la Pécresse du foot, ce PSG.
Samuel Laurent est un âne (Petite-fille de Madame Cristina)
Star de PlaneteSochaux
Posté 11 mars 2022 - 20:14
Avant le match, mercredi, à Madrid, Nasser al-Khelaïfi avait pris soin de prendre la parole devant Messi et ses partenaires. Le président leur a rappelé l'importance de ce duel face au Real (1-3 ; aller : 1-0). Ses mots n'ont pas eu l'effet escompté. Cette élimination vient raviver les maux qui minent le PSG depuis trop longtemps.
Mardi soir, lors de sa conférence de presse de veille de match, Mauricio Pochettino déplorait le manque de positif dans les questions des médias français alors que son équipe s'était imposée à l'aller face au Real, comme s'ils étaient les responsables d'un climat morose. Si la tension qui transpirait dans l'attitude de l'entraîneur parisien a pu disparaître une fois au milieu de ses joueurs, ces derniers ont bien vu l'agacement de leur coach qui n'a pas contribué à dégager une grande sérénité, à l'image de sa réponse sur les gardiens. Cela fait penser à la conférence de presse de Thomas Tuchel, la veille de PSG-Manchester United, en mars 2019 : « Je sais qui jouera demain (entre Buffon et Areola) mais je ne peux pas le dire. Les gardiens le savent mais vous devrez attendre demain. »
Il est formidable de constater à quel point l'histoire se répète à ce poste. Unai Emery n'a pas choisi entre Alphonse Areola et Trapp, Tuchel entre Gianluigi Buffon et Areola et voilà que Pochettino choisit Gianluigi Donnarumma aux dépens de Keylor Navas... au plus mauvais moment, lorsque Navas revient au Bernabeu. Forcément, le jour du match, le Costaricien était furieux et n'a même pas cherché à le masquer.
La veille, déjà, le climat n'était pas serein. La une du quotidien sportif Marca étalait la photo du coup d'Idrissa Gueye sur Kylian Mbappé, une capture d'écran issue d'une vidéo prise par les caméras de PSG TV qui avait fuité sur les réseaux sociaux. En voyant cela, Leonardo est devenu furieux et s'est évertué une bonne partie de son temps à chercher la taupe.
Chercher la taupe... L'expression est née avant l'arrivée du Qatar au PSG mais elle a été bien entretenue ensuite, notamment par Antero Henrique, le prédécesseur de « Leo », dont la mission principale était de débusquer les sources des journalistes. Et même dans ce registre très, très extra-sportif, le club n'a pas progressé.
Leonardo eut beau déclarer dans ces colonnes avoir rectifié le tir, assurer qu'il n'y avait pas - ou plus - d'indiscipline au PSG, le rapport des joueurs au club de la capitale semble à des années-lumière de celui qu'entretiennent les autres grandes écuries où le moindre écart de discipline est sanctionné. À City, Pep Guardiola n'a eu aucun état d'âme à écarter Phil Foden et Jack Grealish qui avaient été aperçus en boite de nuit après... une victoire de Manchester. À Paris, on dirait qu'il faut être vu en boîte.
La semaine dernière, Memphis Depay n'a-t-il pas posté des photos de Neymar et Hakimi dans un établissement nocturne parisien lors d'une soirée de la Fashion Week ? Le sentiment d'une république des joueurs perdure. À City, puisque les deux sont souvent comparés en raison de leurs actionnaires émiriens, la construction a commencé par la tête, en allant chercher un directeur sportif à Barcelone et en prenant un entraîneur ayant toute latitude pour travailler. Le cadre est fixé.
À Paris, il n'y a pas de cadre établi. Un tracteur piloté par Max Verstappen demeure un tracteur. Les stars auront beau s'empiler, elles sont là pour jouer, pas pour faire l'équipe, le recrutement ou décider d'autres considérations. Au moins, Nasser al-Khelaïfi a su maintenir une certaine distanciation sociale avec les leaders du vestiaire, un reproche qui lui était formulé à l'époque de Zlatan Ibrahimovic et Thiago Silva, les joueurs ayant alors le sentiment d'être intouchables.
Certains l'ont encore, aujourd'hui, confortés par le mot d'ordre de Leonardo qui demande à ce que les autres services les laissent tranquilles. Éviter de trop les solliciter pour les médias du club ou respecter au maximum leurs volontés. Les joueurs sont des rois. Ils refusent une interview pour le site ou la télé du club ou déclinent celles de bord terrain pourtant exigées par les diffuseurs ? Il ne faut rien dire.
C'est là que le rôle du président devrait peser davantage, aussi, rappeler l'autorité du club et de ses composantes. Les nombreuses activités d'Al-Khelaïfi ne lui permettent pas une présence suffisante et il délègue à Leonardo. Mais lorsque celui-ci avait rappelé à l'ordre le groupe après l'épisode de l'anniversaire des Sud-Américains, en février 2020, cela avait failli s'achever en pugilat avec Navas et Neymar et pas grand monde n'avait soutenu le directeur sportif.
Les recrutements successifs sont censés apporter de l'expérience et une culture différente dans le groupe mais c'est le phénomène inverse qui se produit. Ce ne sont pas les recrues qui changent Paris, c'est Paris qui déteint sur ses recrues. Il fallait voir les bras ballants de Messi, en fin de match, à Madrid, incapable de réagir. Son attitude rappelait davantage celle de Parisiens le soir de la remontada à Barcelone que la sienne, déterminée et volontaire, le même jour au Camp Nou.
Est-ce que les joueurs qui ont connu les différents épisodes traumatisants du PSG - remontada en 2017 ou Manchester United en 2019 - les évoquent avec les nouveaux venus au point de les imprégner de leurs peurs ? Toutes ces rencontres ont également un point commun : la critique quasi permanente de l'arbitrage. En se retranchant derrière cet argument, les Parisiens ont le sentiment de s'exonérer de leurs erreurs, de diffuser l'impression d'être les mal aimés du foot européen. Cette saison, cela a commencé à Nantes (1-3, le 19 février), comme un présage.
C'est une blague acerbe entendue depuis quelques années : le PSG serait une maison de retraite dorée pour footballeurs sur le déclin. Buffon en 2018, Sergio Ramos ou Messi l'été dernier. Si cette critique peut s'entendre vu le rendement décevant de ces anciennes gloires, le naufrage européen de mercredi soulève une problématique plus large. Une bonne partie de l'effectif, passé ou actuel, ne signe pas à Paris pour de bonnes raisons.
Messi, Ramos ou Georginio Wijnaldum ont rejoint la capitale soit par défaut, soit pour des raisons financières, soit les deux. La star argentine voulait rester à Barcelone. Une fois acté son départ forcé de Catalogne, seul le PSG était en capacité et voulait l'accueillir. Manchester City, un temps cité comme un potentiel point de chute, a vite décliné. Idem pour Ramos, dont l'objectif premier était de rester au Real mais ce dernier a mis fin aux longues discussions pour cause de mésentente sur la durée de la prolongation. L'état physique du défenseur central a donné raison aux dirigeants merengues. Quant au milieu néerlandais, fantomatique depuis sa signature, il rêvait de s'engager avec le Barça. C'est la meilleure proposition financière parisienne qui l'en a détourné.
Ce diagnostic vaut également pour des Parisiens présents au club de longue date, à l'envergure moins importante que les trois recrues phares du dernier mercato estival. Julian Draxler, porté disparu depuis des mois, n'a jamais caché qu'il se sentait si bien dans la capitale qu'il ne voyait pas l'intérêt pour lui de s'en aller malgré un temps de jeu famélique.
Et que penser de Layvin Kurzawa, que le PSG a essayé de transférer à tout prix cet hiver et l'été dernier ? Pourtant banni du groupe, le latéral gauche a tout décliné : la première fois parce que son premier enfant allait être scolarisé à Paris, la seconde parce que sa compagne attendait un deuxième enfant. Dans le cas de ces deux joueurs, les salaires versés (plus de 600 000 euros brut mensuels pour l'Allemand et un peu plus de 500 000 pour le Français) n'incitent pas non plus à chercher ailleurs.
Une fois posé ce constat, c'est toute sa stratégie de recrutement que le PSG doit mettre à plat. Sans doute doit-il en finir avec le bling-bling et la collection de stars ou d'ex-stars pour enfin tenter de créer une osmose collective. Cette saison, l'équipe ne ressemble qu'à une addition d'individualités, pas à un collectif soudé et performant. Les dirigeants répètent inlassablement que les meilleurs joueurs veulent signer au PSG. Mais pour quelles raisons ? Le salaire ? Le confort de vie ? Ou bien le football ?
Donnarumma, Achraf Hakimi et Nuno Mendes, si le club lève son option d'achat, qui ont 23 ans ou moins, sont incontestablement des éléments d'avenir. Pour les bonifier, il faudrait les entourer de joueurs à peine plus âgés, à l'approche de leur sommet sans pourtant l'avoir encore atteint. Pourquoi Manchester City parvient-il à recruter le milieu espagnol Rodri et pas Paris ? Pourquoi des joueurs comme Lucas Hernandez ou Marcel Sabitzer préfèrent-ils le Bayern Munich ? Cela suppose, peut-être, d'avoir une cellule de recrutement que le club n'a plus.
Il est peut-être temps, aussi, de davantage recruter en France sur le modèle de ce que le Bayern fait en Allemagne, par exemple. Trop de joueurs ayant atteint leur maturité ou presque en L1, pour lesquels évoluer au PSG aurait pu constituer un rêve, sont partis ailleurs ces dernières saisons : N'Golo Kanté, Corentin Tolisso, Ferland Mendy, Édouard Mendy, Fabinho ou encore Eduardo Camavinga, dont l'entrée en jeu a été importante dans le succès du Real, mercredi, pour ne citer qu'eux.
Cette saison, il existe encore quelques valeurs sûres dans le Championnat : Aurélien Tchouaméni, Seko Fofana, Boubacar Kamara, Sven Botman, Lovro Majer ou Lucas Paqueta ne dénoteraient pas dans un club comme Paris. Si le milieu brésilien de Lyon est sur les tablettes, les autres ne ressemblent pas encore au portrait-robot des joueurs stars du PSG. Et pourtant, ils ont quelques atouts pour former une équipe qui soit la vraie star.
Quand je ne sais pas, je la ferme
V.I.P.
Posté 11 mars 2022 - 23:47
Pourquoi copier-coller un article interminable sur un club dont on a en moyenne pas grand-chose à faire ? Un lien et ton avis de supporter du FCSM auraient largement suffi.
Star de PlaneteSochaux
Posté 12 mars 2022 - 06:00
Parce que le lien est réservé aux abonnés ... donc si pas copié collé : pas lecture
C'est donc justement pour que chacun puisse se faire son propre avis, que j'ai publié ainsi
Bonne nuit
Quand je ne sais pas, je la ferme
V.I.P.
Posté 12 mars 2022 - 08:09
Ce constat, on l'avait fait en 2017. Ils gaspillent leur fric et leur temps, tant mieux pour eux. Seul regret : qu'ils claquent pas un peu de thune pour un joueur de chez nous, leur seul utilité
V.I.P.
Posté 12 mars 2022 - 11:31
V.I.P.
Posté 12 mars 2022 - 13:54
Bon après se faire éliminer par le Real, quand bien même en 1/8eme, c'est pas infamant.
Le pb c'est d'avoir 2 buts d'avance à 30 min de la fin et craquer de la sorte... C'est quoi ce mental en papier mâché...
On voit mal ce Real tenir la distance face aux vrais cadors quand même. Certes ils sont 1ers en Liga mais le championnat semble s’être affaibli. Face à Liverpool ou au Bayern ça sera difficile pour eux.
Bon après, un Bayern-PSG aurait été carrément dramatique pour Paris ... comme quoi ils ont peut-être finalement, évité le pire !
Star de PlaneteSochaux
Posté 12 mars 2022 - 15:14
Oui une valise contre Bayern aurait été plausible
Quand je ne sais pas, je la ferme
V.I.P.
Posté 12 mars 2022 - 19:54
