Alvaro Santos
#361
Posté 12 octobre 2007 - 20:08
#362
Posté 13 octobre 2007 - 07:57
Et combien en championnat ?
#363
Posté 13 octobre 2007 - 10:38
Doublé d'Alvaro avec Strasbourg en amical ce soir.
Et combien en championnat ?
En même temps cela aurait été compliqué, pour lui, de marquer en championnat vu qu'il n'a pas encore joué.
#364
Posté 13 octobre 2007 - 11:46
Doublé d'Alvaro avec Strasbourg en amical ce soir.
Et combien en championnat ?
Et Daganaze, combien en championnat?
#365
Posté 13 octobre 2007 - 20:53
A oui possible, il n'a rien fait mais possible
#366
Posté 04 novembre 2007 - 20:27
et le loupé contre le PSG
Sochaux COMTOIS NENNI TA FOI
#367
Posté 04 novembre 2007 - 20:29
#368
Posté 05 novembre 2007 - 07:20
Absolute Beginners
12 mai 2007, OM : A jamais les seconds !!
#369
Posté 05 novembre 2007 - 09:03
#370
Posté 05 novembre 2007 - 21:02
Rien de surprenant.
Bien qu'il soit très adroit et doté d'une belle couverture de balle, son manque de vitesse l'empêchera toujours de s'imposer dans la Ligue 1 d'aujourd'hui.
Son style aurait par contre fait un malheur dans les années 70-80 (Lacombe, Bianchi, Onnis, Pintenat). Ou dans le championnat danois actuel.
Source des données : Insee
(Mis à jour le 20 septembre 2008)
#371
Posté 08 décembre 2007 - 21:50
2 buts une passe décisive
#372
Posté 08 décembre 2007 - 21:51
Bien fait pour nous.
En plus je l'aime bien ce joueur.
#373 Invité_animasana_*
Posté 08 décembre 2007 - 22:36
#374
Posté 08 décembre 2007 - 22:53
Content pour eux en tout cas, deux joueurs que j'aime bien.
#375
Posté 09 décembre 2007 - 10:44
Content pour eux en tout cas, deux joueurs que j'aime bien.
Merci, Mr HANTZ, d'avoir écarté le meilleur buteur sochalien de la dernière saison ! Même les supporters savaient que c'était une c....... de faire çà !
#376
Posté 09 décembre 2007 - 11:24
Mais tu sais comme moi que les supporters sont des êtres bêlants et consommateurs qui ne connaissent rien au foot !
#377
Posté 11 décembre 2007 - 10:15
Coéquipier exemplaire, Alvaro Santos avait surtout fait bénéficier le groupe strasbourgeois de son état d’esprit exemplaire depuis son arrivée. Samedi, il a rappelé qu’il était aussi un attaquant talentueux.
Quand Grégory Paisley a su que Strasbourg avait réussi à arracher Alvaro Santos des griffes de Sochaux le dernier jour du dernier Mercato, il n’a pu s’empêcher de sourire. Un sourire qui masquait la joie pour l’ex-Troyen de voir l’attaquant brésilien le rejoindre sous ses nouvelles couleurs. « De toute façon, les Brésiliens sont toujours tranquilles », précise Paisley. Car avant qu’Alvaro Santos ne soit prêté au Racing, l’actuel défenseur central de Strasbourg avait eu plusieurs fois à faire au joueur. Il avait beaucoup souffert face à l’ancien Sochalien mais avait surtout été séduit par le talent du joueur. « Quand j’ai joué contre lui, j’avais déjà commencé à jouer dans l’axe.[b] Je m’étais frotté à lui et j’avais senti qu’il y avait du répondant. »
Solidement posé sur ses jambes, Alvaro Santos (1m81 pour 88kg) a tout en effet d’un « déménageur ». « C’est un mètre cube, ironise Paisley. Il a des cuisses, c’est hallucinant ! Pour lui prendre le ballon, il faut se lever de bonne heure. Physiquement, c’est un monstre. » Un monstre ballon au pied mais un ange dans un groupe. « Il ne se prend jamais la tête, il bosse, il est toujours là, toujours souriant, franchement c’est agréable de travailler avec lui. Il a un état d’esprit irréprochable. » Titularisé à seulement deux reprises depuis son arrivée en Alsace, l’ancien buteur de Copenhague, dont ses coéquipiers apprécient les efforts en français (« Il parle très bien, il comprend tout, et quand il a quelque chose à dire, il le dit »), n’en a jamais fait toute une histoire.
Au contraire. Le moral et le bon esprit gonflé à bloc, « Alvaro » ou « Santos », selon l’humeur du jour de ses coéquipiers, se sent parfaitement ancré dans le coaching de Jean-Marc Furlan, attendant simplement d’avoir de nouveau sa chance pour rappeler ce qu’il vaut. « Il a tout compris, explique Paisley. Vu qu’il n’avait pas joué la fin de la saison dernière, il avait besoin de faire ce qu’il faut pour se relancer et avoir éventuellement les cartes en mains à la fin de la saison. » C’est vrai que si le héros du carton de Rennes (ndlr : deux buts, une passe) réitère ce genre de performance, Strasbourg aura du mal à ne pas tout faire pour obtenir son transfert définitif l’été prochain. Ce ne sont pas les Strasbourgeois qui s’en plaindraient. « C’est bien de l’avoir avec nous car au niveau de l’ambiance comme sur le terrain, il est indispensable. »
Coming out Greg?
#378
Posté 11 décembre 2007 - 11:58
#379
Posté 11 décembre 2007 - 12:01
au fait y a t'il une possibilité qu'Alvaro revienne cet hiver une fois Hantz parti ?
#380
Posté 11 décembre 2007 - 12:04
euh la venue de Pancrate n'est pas le fruit du travail de Hantz
#381
Posté 11 décembre 2007 - 13:30
euh la venue de Pancrate n'est pas le fruit du travail de Hantz
jamais dit le contraire ^^ mais si on peut charger la mule pour le faire partir plus vite XD
#382
Posté 11 décembre 2007 - 13:59
euh la venue de Pancrate n'est pas le fruit du travail de Hantz
jamais dit le contraire ^^ mais si on peut charger la mule pour le faire partir plus vite XD
on pourrait aussi lui mettre Crevoisier sur le dos, et hop !
#383
Posté 11 décembre 2007 - 18:26
Exact.
Mais si Hantz avait souhaité garder Alvaro, probablement n'aurions nous pas vu débarqué Pancrate ou Vargas.
#384
Posté 21 décembre 2007 - 19:33
Sport24, le 21/12/2007
Il est arrivé sur la pointe des pieds fin août mais son impact moral sur le groupe le place aujourd'hui au premier plan du groupe strasbourgeois. Prêté par Sochaux jusqu'à la fin de saison, Alvaro Santos, 27 ans, apporte son expérience à un secteur offensif très jeune.
Notre correspondant à Strasbourg
Capitaine de vestiaire
Comment devenir un homme clé du vestiaire en moins de quatre mois de présence ? A Strasbourg, Alvaro Santos est devenu cet homme indispensable. Il est celui qui freine les ardeurs de certains et, inversement, qui pousse les autres à la motivation. Un vrai joueur d'équipe en somme. Un catalyseur. Chassé de Sochaux, contre l'avis du président Plessis, par Frédéric Hantz l'ex-entraîneur lionceau, le Brésilien est en prêt en Alsace depuis la fin août. Aujourd'hui, son impact dans le vestiaire bas-rhinois ne fait aucun doute et son doublé contre Rennes, agrémenté d'une passe décisive, montre qu'il n'a rien perdu de ses qualités.
Il faut dire qu'au Racing, derrière le doyen Stéphane Cassard, l'armada de jeunes est légion. Alvaro remplit son rôle. «Oui, c'est vrai, je suis le plus ancien des attaquants. J'essaye de transmettre mon expérience et de donner le bon esprit. Depuis mon adolescence, j'ai toujours été capitaine. C'est quelque chose de naturel pour moi. Je pense que si nous avons un bon vestiaire, s'il y a du respect et du dialogue à l'intérieur, cela se ressent sur le terrain.» Et de ce côté, Strasbourg va mieux. Après un départ étonnant et un passage à vide en novembre, le Racing a retrouvé des couleurs. Le doublé du Brésilien contre Rennes début décembre n'est pas étranger à ce regain de forme alsacien.
Le grand frère
Sur le terrain, son entente avec le Zambien Jacob Mulenga et le Colombien Wason Renteria est aussi une nouveauté. Avec le premier, il fait souvent des heures sup' après l'entraînement. Avec le second, il communique beaucoup, traduit le message de Furlan mais aussi canalise sa fougue. Car le meilleur buteur du Racing (6 réalisations) n'est pas toujours très appliqué durant la semaine. Bref, Alvaro, c'est un peu le grand frère. «Renteria a 23 ans et c'est sa première saison dans un pays plus froid. J'essaye de l'aider, je lui parle, je l'écoute pour qu'il s'intègre le mieux possible.»
Sous contrat avec Sochaux jusqu'en 2010, le double champion du Danemark (2005, 2006) aimerait bien continuer son séjour en Alsace au-delà du printemps prochain mais il ne veut pas trop «se projeter». Alvaro préfère penser au dernier match de l'année, à Caen, avant de s'envoler pour la Turquie en famille. «Cette semaine, le groupe a montré beaucoup de détermination car nous ne voulons pas finir l'année avec une défaite. Faire un bon résultat à Caen, c'est important pour le classement et pour bien débuter 2008.»
#385
Posté 21 décembre 2007 - 20:37
Il est arrivé sur la pointe des pieds fin août mais son impact moral sur le groupe le place aujourd'hui au premier plan du groupe strasbourgeois.
Un vrai joueur d'équipe en somme. Aujourd'hui, son impact dans le vestiaire ne fait aucun doute.
Sur le terrain, son entente avec le Zambien Jacob Mulenga est aussi une nouveauté. Avec, il fait souvent des heures sup' après l'entraînement. Bref, Alvaro, c'est un peu le grand frère.
C'est pas le profil de joueur qu'il nous manque un peu ?
Merci Hantz.. il aura vraiment servi a rien celui-ci.
#386
Posté 22 décembre 2007 - 08:45
On nous avait pourtant dit qu'il avait maigri.
Source des données : Insee
(Mis à jour le 20 septembre 2008)
#387
Posté 22 décembre 2007 - 09:37
#388
Posté 22 décembre 2007 - 11:30
#389
Posté 22 décembre 2007 - 13:48
D'autant plus que c'est une lourde charge pour lui.
Alvaro a toujours eu du mal avec le prêt à porter.
Source des données : Insee
(Mis à jour le 20 septembre 2008)
#390
Posté 14 février 2008 - 10:34
Jean-Marc Furlan ne rate jamais une occasion de dire du bien d’Alvaro Santos, même si, comme les observateurs, l’entraîneur strasbourgeois cherche vainement une explication à l’énigmatique paradoxe que constitue le Brésilien : souvent efficace et décisif lorsqu’il est remplaçant, le Sud-Américain, prêté par Sochaux, ne l’est guère dans la peau d’un titulaire. « Ses exceptionnelles performances tombent à un moment où je m’interroge aussi », ne nie pas l’entraîneur général du RCS, « Il y a un tel contraste. Je vais le rencontrer pour voir avec lui comment améliorer son rendement, son impact physique dès l’entame des rencontres. J’espère qu’il est heureux. Quoi qu’il arrive, ces stats-là ne peuvent être que tout bénéfice pour lui. Pour le Racing, c’est une pépite d’or. Quand on voit tous les matches qu’il a décantés, on se dit que les clubs doivent aussi investir sur ce type de joker. »
Précisément, le Brésilien ne cache pas redouter d’être catalogué « super sub » (super remplaçant). « Ça m’inquiète. Je ne suis pas plus efficace comme remplaçant que comme titulaire. A chaque fois que j’ai débuté, j’ai été satisfait de mes prestations. A une exception : à Caen où, sans chercher d’excuses, je n’étais pas bien cramponné sur un terrain difficile. »
Les chiffres semblent prouver le contraire. S’il a inscrit son doublé et délivré une passe décisive lors de sa titularisation contre Rennes, ses deux autres buts et deux autres passes décisives datent de ses trois dernières entrées, pour un temps de jeu réduit à 41 minutes. « Le problème, c’est que les gens ont tendance à penser qu’un attaquant qui ne marque pas ne fait pas son travail », s’insurge-t-il, « Mais le contexte compte beaucoup. Contre Nice, ce n’était pas notre meilleur match, non ? Difficile de tirer son épingle du jeu. Le Racing ne compte aucun joueur capable de faire la différence à lui tout seul. J’ai toujours dit que je n’étais pas un pur buteur. Pour moi, le joueur décisif, c’est celui qui aide ses coéquipiers. J’ai grandi dans cet état d’esprit et je l’ai gardé. »
« J’espère marquer encore »
Alvaro n’en savoure pas moins sa réussite actuelle. « Je suis heureux. Je savais que je serais récompensé tôt ou tard, parce que le travail porte toujours ses fruits. Mon efficacité des derniers matches est ma récompense, à un moment où on l’attendait peut-être moins. Je suis heureux, mais pas satisfait. »
C’est sans doute là la raison pour laquelle il a fêté ses récents buts avec une certaine retenue. « Après avoir marqué ou fait une passe décisive, je suis déjà concentré sur le jeu qui va reprendre. L’équipe n’a pas montré son meilleur football ces derniers temps. Mais elle a lutté pour prendre des points (huit lors des quatre derniers matches de L 1). Le chemin est encore long. Le travail est énorme. Et nous ne pouvons pas nous endormir. »
S’il n’en fait pas une obsession, le Brésilien se voit toutefois bien poursuivre sa série. « J’espère marquer encore », sourit-il, « Mais de toute façon, c’est à la fin de la saison qu’on saura si j’ai été important ou non pour l’équipe. »
A ce sujet, la religion de Jean-Marc Furlan est faite. L’entraîneur général sait la valeur de sa « pépite d’or ». Il cherche juste le moyen de la faire briller sur la durée.
Stéphane Godin
Le Pays