En effet.
Nous avons vu dernièrement avec Renard puis Echouafni que le charisme d'un entraîneur n'a pas d'impact essentiel dans la vie ou la morosité d'un club.
Toulouse, avec le Casanova que tu sembles défendre, a fait rêver toute la France sept années durant grâce à son entraîneur et sa capacité de drainer derrière lui la passion, l'enthousiasme, le jeu.
Le brillant Bazdarevic, ses valeurs et son goût du jeu n'a absolument pas souffert de son manque d'aura lors de son passage à Sochaux dans le costume de coach.
Je continuerai donc à défendre, si tu le permets, la nécessité d'avoir dans ce football nécrosé par des mentalités défaillantes, quelqu'un dont la rigueur dépend autant de sa nature que de son travail.