29827 réponses à ce sujet

[gone]

Sur le fond du problème tu as évidemment raison.

Helas non je me suis lamentablement planté :

Je voulais mettre "dont chacun devine l'accointance politique", afin que tout le monde puisse penser ce qu'il voulait tranquillement et j'ai malencontreusement laissé " de droite". Je m'en excuse auprès de la moitié du forum.

Ceci dit dans cet affaire je ne condamne Ni Villepin, ni Hollande il y a une dose de Comedia Dell'Arte, c'est entendu, et c'est heureux.

c'est Forgeard qui me pose problème.

Tout le boulot de ce gars serait desire que la crise est passagère (en première classe toutefois) et que quand les premiers gros n'avions voleront, les soucis s'estomperont, simplement il vend ses parts décrédibilisant par avance son discours.

Le problème est plus celui des "stock options" en général que celui de Forgeard. Prendre un patron pour un non initié de sa propre entreprise est , en soi, paradoxal.

[Soch-Aliens vs Predators]

Le problème est plus celui des "stock options" en général que celui de Forgeard. Prendre un patron pour un non initié de sa propre entreprise est , en soi, paradoxal.

Au delà du problème des Stocks-Options, ne pas exiger dans le profil d'un patron qu'il soit de la plus stricte probité est à mon sens le hic.

Forgeard n'a pas un droit divin à des stocks-options, il n'y a droit que parce qu'il est patron d'Airbus.

Il ne les a pas achetées, on les lui a donné pour différentes raisons mais entre autres pour symboliser le lien entre le patron et l'entreprise, et ce gars là les vend comme n'importe quelle action spéculative qu'il aurait acquis sur ses deniers.

[Kiki]

Dans l'Est Républicain d'aujourd'hui,

Contrôle surprise au Leclerc de Montbéliard

Descente de la direction du travail et de l'Urssaf vendredi soir, en plein inventaire de la grande surface. Des salariés disent avoir été isolés dans les réserves du magasin pour être soustraits au contrôle.


MONTBELIARD. La direction départementale du travail du Doubs devra vite faire toute la lumière sur les événements qui se sont produits vendredi soir au Leclerc de Montbéliard, implanté dans la zone du Pied-des-Gouttes. Il était en effet 21 h 30 le 30 juin dernier lorsque des inspecteurs de la direction du travail et de l'Urssaf, accompagnés d'agents de police, ont mené une opération de contrôle surprise alors que la grande surface effectuait son traditionnel inventaire d'été. Selon le parquet de Montbéliard, il y aurait à l'encontre de l'enseigne « une suspicion de travail dissimulé ». La direction du travail, le commissariat de Montbéliard et le Leclerc de la cité des Princes confirment l'existence de ce contrôle. Mais ils ne souhaitent faire aucun commentaire sur les circonstances et les conséquences de cette descente.


Pour Bernard Canonne, le PDG, il s'agit d'ailleurs « d'un simple contrôle de routine ». Il le compare même à « un contrôle de police le long de la route ». Ni plus ni moins. Il n'était cependant pas présent à l'intérieur de sa grande surface vendredi soir lors de l'inventaire. A la différence de certains salariés qui, sous couvert de l'anonymat, tiennent aujourd'hui à dénoncer des faits qui, s'ils sont corroborés par l'enquête de la direction du travail et de l'Urssaf, mettront la direction de l'enseigne dans une position difficile.


« Enfermés dans le noir »



Un salarié affirme ainsi : « Vers 21 h 30, un cadre de la société est venu nous chercher dans les rayons. Il nous a demandé de le suivre immédiatement, sans parler. On ne comprenait pas ce qui nous arrivait. Il nous a alors fait entrer dans les vestiaires de la réserve textile puis a fermé à double tour la porte. On était une cinquantaine à l'intérieur. On est resté là plus de 45 mn. Sans savoir pourquoi. Et sans avoir le droit ni de parler ni de téléphoner à nos proches pour dire que nous serions en retard ». Trente autres salariés de l'enseigne auraient vécu la même aventure et au même moment. Eux auraient été isolés dans la réserve des jeux vidéo. « Il n'y avait pas de lumière, les femmes étaient terrorisées. On avait l'impression d'être traités comme des travailleurs clandestins », raconte un autre salarié, aujourd'hui scandalisé.


Ces deux témoins assurent avoir été « libérés » au bout d'une heure, « par petits groupes ». Avec pour consignes de dire « que l'on avait respecté nos horaires ». Sauf que, jurent-ils maintenant, eux et plusieurs autres salariés les ont largement dépassés.


Un troisième employé se solidarise de ses collègues. Il explique que durant tout le temps où près de 80 employés du magasin « étaient isolés pour être soustraits au contrôle », la direction du travail, l'Urssaf et la police, sont restées aux abords de l'enseigne. Vers 23 h, les premiers salariés ont fini par sortir. Tous, et individuellement, auraient alors été interrogés par les inspecteurs présents. « Moi j'ai menti. J'ai dit que j'avais respecté mes horaires. D'autres ont eu le courage de dire la vérité », reconnaît notre premier témoin. Au regard de ses déclarations, on attend forcément des services de l'Etat qu'ils interrogent à nouveau tout le personnel. Mais cette fois avec la discrétion qui s'impose.


On ne m'avait pas dit que du bien sur ce magasin, mais de là à imaginer celà

[Clyde]

Comment se fait-il que venant du Leclerc, ça ne m'étonne pas ?
Ah oui, maman y a bossé de très (trop) longues années donc je connais un peu les pratiques (ça, en revanche, elle n'a jamais connu.)

[Chaboul]

Euh, j'ai toujours entendu dire que le Leclerc était la "moins pire" , si l'on peut dire, des grandes surfaces...

Mais c'est des on-dits...

[boriselstine]

le PDG de Leclerc, incarnation de son entreprise, joue d'une image à la fois bonhomme et humaniste cultivé ( -il a fait des études de philo (Jacques) je crois !!!).

les faits sont en tout cas proprement hallucinants ; sujet intéressant !

[Soch-Aliens vs Predators]

Dans l'Est Républicain d'aujourd'hui,

[i]Contrôle surprise au Leclerc de Montbéliard
Bernard Canonne...

Je pense que j'étais prédisposé pour gérer un Centre Leclerc.

[pittman]

Personne n'en parle vraiment dans les médias français, mais grosse catastrophe politique en Slovaquie où, aux dernières élections, se sont alliés les partis de gauche et d'extrème droite (ceux-ci composés comme il se doit de racistes ayant pillé sans foi ni loi les richesses du pays lors de la privatisation des entreprises 10 ans en arrière)...
Ce choix étant du à un sentiment de laissés pour compte des Slovaques de l'Est qui ne voyaient aucun résultat des politiques réformistes du parti de droite au pouvoir.

[Le roi Arthur]

Personne n'en parle vraiment dans les médias français, mais grosse catastrophe politique en Slovaquie où, aux dernières élections, se sont alliés les partis de gauche et d'extrème droite (ceux-ci composés comme il se doit de racistes ayant pillé sans foi ni loi les richesses du pays lors de la privatisation des entreprises 10 ans en arrière)...
Ce choix étant du à un sentiment de laissés pour compte des Slovaques de l'Est qui ne voyaient aucun résultat des politiques réformistes du parti de droite au pouvoir.

C'est sur que les slovaques doivent en avoir ras le cul de bosser pour le dividende des riches actionnaires Francais. Car quand on ferme Rython ou le salaires moyen etait supérieur à 1200 € et que l'on transfert le futur véhicule à Tarnava ou le salaire moyen dépense pousivement les 300 €. Si un slovaque a internet, il va pas dire merci quand même.

[pittman]

Bratislava tourne la page des réformes
Par La Tribune

ven 07 jui, 12h00


Le gouvernement de coalition gauche- droite nationaliste promet de revenir sur les réformes " antisociales ". En ligne de mire, la " flat tax ", imposition à taux unique, qui attire les investisseurs.
Le petit dragon slovaque va-t-il encore longtemps cracher le feu ? Rien n'est moins sûr avec l'arrivée au pouvoir d'une coalition contre nature formée par le parti de gauche Smer, grand gagnant des élections du 17 juin (un tiers des sièges au Parlement), le Parti national (SNS, extrême droite) et le Mouvement pour une Slovaquie démocratique (HZDS, populiste) de l'ancien Premier ministre Meciar, " bête noire " de Bruxelles à la fin des années 90. Si l'Union européenne n'a officiellement pas fait de commentaire sur le nouveau gouvernement installé mardi, se bornant à prendre acte de sa constitution et souhaitant qu'il respecte ses engagements européens, en privé certains diplomates ne cachent pas leur inquiétude, tant pour la protection des droits des minorités ethniques que pour l'avenir des réformes économiques.

Une chose semble certaine, la célèbre " flat tax " à 19 %, - taux unique à la fois pour la TVA, l'imposition des revenus personnels et des bénéfices des sociétés, qui avait attiré nombre d'investisseurs, notamment dans le secteur automobile dont la Slovaquie était devenue une plate-forme européenne de production très prisée, ce qui avait contribué à créer des milliers d'emplois - est condamnée à terme.

Manque à gagner prévisible. Robert Fico, nouveau Premier ministre, l'a déclarée " antisociale " et a évoqué la création d'un nouveau taux de TVA moins élevé pour certains produits de base et des médicaments. Pour compenser le manque à gagner prévisible des recettes fiscales, Fico envisage la possibilité d'augmenter les impôts des banques, des grands groupes et des tranches supérieures de revenus, ce qui a d'ores et déjà fait réagir vivement l'Association des chambres de commerce étrangères en Slovaquie. La nouvelle équipe au pouvoir hérite pourtant d'un pays en bonne santé : la croissance devrait dépasser 6 % en 2006 et 2007, selon l'OCDE ; le chômage reste élevé (15,4 % de la population active) mais la tendance est à la baisse régulière depuis plusieurs années ; le déficit public est attendu à 2,3 % du PIB cette année et à 1,8 % en 2007, grâce notamment à une baisse des dépenses publiques.

Mais les observateurs s'inquiètent désormais de la capacité de Bratislava à tenir son objectif de rejoindre la zone euro en 2009. Fico a tenté de rassurer en disant que son nouveau gouvernement " serait proeuropéen et respecterait les obligations du Pacte de stabilité et les critères de Maastricht ".

[Kiki]

Le gouvernement étudie la création d'une allocation de rentrée pour les étudiants

PARIS (AP) -- Le gouvernement a mis à l'étude la création d'une allocation de rentrée pour les étudiants, a annoncé mercredi le ministre de l'Education nationale Gilles de Robien.

Selon "Le Figaro", Jacques Chirac devrait annoncer vendredi lors de sa traditionnelle interview télévisée du 14 juillet la création de cette allocation d'un montant de 150 à 200 euros.

Cette allocation de rentrée universitaire serait versée dès cet automne à 500.000 étudiants sur les deux millions que compte la France. Chiffrée à 90 millions d'euros, elle serait destinée à l'ensemble des boursiers mais aussi à un certain nombre d'étudiants issus des classes moyennes et modestes aujourd'hui exclus du système des bourses, selon le quotidien. Elle fera l'objet d'une concertation entre le ministère de l'Enseignement supérieur, les organisations étudiantes, les universités et leurs partenaires.

Le ministre de l'Education nationale Gilles de Robien a confirmé que la création de cette allocation était "à l'étude" mais qu'aucune décision n'était encore prise. "Je ne peux pas vous dire ce que le président annoncera après-demain", a-t-il déclaré à l'issue du conseil des ministres.

Gilles de Robien a expliqué que "beaucoup de choses" étaient à l'étude à partir du rapport sur la vie sociale des étudiants, remis le 6 juillet au Premier ministre Dominique de Villepin par le député UMP de Haute-Loire Laurent Wauquiez. "Ces pistes-là sont étudiées avec beaucoup de soin. Elles sont aussi soumises au chiffrage pour en connaître les conséquences", a souligné le ministre. Mais "ce n'est pas parce qu'on étudie qu'on décide".

Laurent Wauquiez préconise dans son rapport la création d'une allocation de rentrée universitaire pour donner un "pécule de rentrée" aux étudiants.

Si elle est confirmée vendredi par Jacques Chirac, cette mesure sociale pour les étudiants vise à réconcilier le gouvernement avec les étudiants après la crise du contrat première embauche (CPE), qui l'a brouillé avec une partie de la jeunesse.

@Le Nouvel Observateur.

[Stade Bonard]

Je propose également que les facs fassent l'économie des services culturels. Cela permettrait d'injecter de l'argent dans les services vitaux, comme les bibliothèques, et puis surtout on ne serait plus emmerdé par ces bouffons de cultureux qui prétendent réveiller nos consciences avec leur art anti-conformiste subventionné à 110 %.

[Kiki]

Je n'ai jamais eu de services culturels depuis que je suis étudiant (aussi bien en IUT qu'en fac).
Je pense que ceux ci sont réservés aux formations adéquates, et donc peuvent se montrer utiles.

[Stade Bonard]

Je n'ai jamais eu de services culturels depuis que je suis étudiant (aussi bien en IUT qu'en fac).
Je pense que ceux ci sont réservés aux formations adéquates, et donc peuvent se montrer utiles.

Ben nous on a des sciences dures, des sciences humaines, du droit ainsi que des IUT et pourtant on a un service culturel avec des locaux flambant neufs. Pendant ce temps, la BU ferme de plus en plus tôt, sans parler des BS en sous-effectif et dont certains rayons peinent à se remplir de nouveautés. En bref, tu n'as rien loupé.

[Kiki]

C'est comme le restaurant Universitaire Rabelais de Belfort. En 2 ans que j'y vais régulièrement, c'est impressionnant comme le service, mais surtout les moyens, sont en régression depuis septembre 2005. Des couverts en plastique (petites cuillères), des verres en polystyrène amélioré, pas de serviettes,... Ayant eu de la connaissance dans le personnel, il manquerait également au minimum 2 personnes pour offrir un service correct aux étudiants.

En revanche, un restaurant flambant neuf a été ouvert cette année à l'UTBM de Sévenans, dont les nombreux articles lors de l'inauguration en présence de Mr Chevènement entres autres, n'ont cessé d'insister sur le bien être, le confort et l'accueil réservé aux étudiants.

[Stade Bonard]

Côté restauration on est pas trop à plaindre. Disons que tu peux manger dans les conditions que tu décris mais c'est affaire de choix (brasserie "restauration rapide"). Sinon, on a un autre RU où ils font vraiment des efforts pour nous offrir de la variété. En plus, la qualité est souvent au rendez-vous.
C'est plutôt côté coulisse que ça craint : absence de personnel dans les secrétariats, par exemple, ce qui est pénalisant pour tout le monde, de l'étudiant au prof, pour ce qui concerne la gestion quotidienne. L'autre jour, notre secrétaire devait faire face à 30 inscriptions de première année en un seul après-midi (heureusement qu'on lui file un coup de main) ! L'autre jour aussi, la responsable de la formation du personnel a failli tomber en larmes dans mes bras, tellement elle était surmenée. Ce qui est sympathique aussi, c'est les CES qui sont trimbalés de poste en poste pour des tâches complètement différentes (une bibliothécaire s'est retrouvée du jour au lendemain secrétaire des Masters pour remplacer la titulaire). Le bouquet bien sûr c'est quand ces postes vitaux mais précaires ne sont pas renouvelés, ce qui est fréquent actuellement.

Sinon, ça représente quoi en étudiants l'UTBM ?

[Kiki]

Sinon, ça représente quoi en étudiants l'UTBM ?

2050 étudiants d'après leur site Internet.

[bulle]

C'est comme le restaurant Universitaire Rabelais de Belfort. En 2 ans que j'y vais régulièrement, c'est impressionnant comme le service, mais surtout les moyens, sont en régression depuis septembre 2005. Des couverts en plastique (petites cuillères), des verres en polystyrène amélioré, pas de serviettes,... Ayant eu de la connaissance dans le personnel, il manquerait également au minimum 2 personnes pour offrir un service correct aux étudiants.

Ah ouais? La dernière fois que j'y suis allée c'était encore des couverts "normaux" et verres en verre...

[Flo]

Pontarlier organise une fête pour "réhabiliter" l'absinthe

PONTARLIER (AFP) - La ville de Pontarlier (Doubs), haut lieu de la "fée verte", célèbre samedi la deuxième édition de la "Fête de l'absinthe" afin de "réhabiliter" cet alcool fort longtemps interdit en France au motif qu'il rendait fou.

Les festivités s'ouvriront samedi par la cueillette de plants d'absinthe dans les champs environnants de Pontarlier et se poursuivront autour d'animations destinées notamment à montrer d'autres usages de la "fée verte" : dans les médicaments, les gâteaux, les glaces ou les parfums. Des concerts et des performances artistiques rythmeront la journée.

"L'absinthe traîne encore la réputation d'un alcool qui rend fou ou qui pousse au crime ses consommateurs. Avec cette fête, nous voulons réhabiliter une boisson qui fait partie de notre patrimoine", indique Sylvain Ducret, de la la mairie de Pontarlier, qui ajoute que "la fée verte est une niche économique qui attend encore d'être comblée".

Interdite en 1915 en France, la "fée verte" a été en partie réhabilitée en 1998 par un décret gouvernemental autorisant les boissons "à base d'absinthe", et plusieurs distilleries, essentiellement en Franche-Comté, fabriquent à nouveau la liqueur.

Officiellement proclamée "capitale de l'absinthe" en 2003, Pontarlier, qui compte aujourd'hui trois distilleries, en a été un haut lieu : en 1914, elle abritait une vingtaine de distilleries qui faisaient vivre un tiers des 8.000 habitants. Depuis 2001, la ville organise par ailleurs chaque année les "Absinthiades", un rassemblement consacré lui aussi à l'absinthe mais réservé aux professionnels.

[Astek]

Pontarlier organise une fête pour "réhabiliter" l'absinthe

PONTARLIER (AFP) - La ville de Pontarlier (Doubs), haut lieu de la "fée verte", célèbre samedi la deuxième édition de la "Fête de l'absinthe" afin de "réhabiliter" cet alcool fort longtemps interdit en France au motif qu'il rendait fou.

Les festivités s'ouvriront samedi par la cueillette de plants d'absinthe dans les champs environnants de Pontarlier et se poursuivront autour d'animations destinées notamment à montrer d'autres usages de la "fée verte" : dans les médicaments, les gâteaux, les glaces ou les parfums. Des concerts et des performances artistiques rythmeront la journée.

"L'absinthe traîne encore la réputation d'un alcool qui rend fou ou qui pousse au crime ses consommateurs. Avec cette fête, nous voulons réhabiliter une boisson qui fait partie de notre patrimoine", indique Sylvain Ducret, de la la mairie de Pontarlier, qui ajoute que "la fée verte est une niche économique qui attend encore d'être comblée".

Interdite en 1915 en France, la "fée verte" a été en partie réhabilitée en 1998 par un décret gouvernemental autorisant les boissons "à base d'absinthe", et plusieurs distilleries, essentiellement en Franche-Comté, fabriquent à nouveau la liqueur.

Officiellement proclamée "capitale de l'absinthe" en 2003, Pontarlier, qui compte aujourd'hui trois distilleries, en a été un haut lieu : en 1914, elle abritait une vingtaine de distilleries qui faisaient vivre un tiers des 8.000 habitants. Depuis 2001, la ville organise par ailleurs chaque année les "Absinthiades", un rassemblement consacré lui aussi à l'absinthe mais réservé aux professionnels.

elle est pas belle ma ville

[Gaulois]

C'est les "absinthiades" ?
C'est pas nouveau, je pensais que des gens aussi au fait des différentes productions éthiliques locales et de leur dégustation étaient déjà au courant.

Quelle déception.
Je m'en vais.

[Astek]

C'est les "absinthiades" ?
C'est pas nouveau, je pensais que des gens aussi au fait des différentes productions éthiliques locales et de leur dégustation étaient déjà au courant.

Quelle déception.
Je m'en vais.

ben oui, j'étais au courant mais un peu loin pour en profiter....

Pas grave, je picolerai avec Blachou et Sandro

[Flo]

Pas grave, je picolerai avec Blachou et Sandro

fais gaffe, ils sont capables de tout picoler sans rien te laisser

l'absinthe, j'ai jamais goûté moi
je ne sais pas pourquoi mais j'assimile ça à la chartreuse avec laquelle j'ai eu une expérience malheureuse dans ma prime jeunesse

[joux]

Pas grave, je picolerai avec Blachou et Sandro

fais gaffe, ils sont capables de tout picoler sans rien te laisser

l'absinthe, j'ai jamais goûté moi
je ne sais pas pourquoi mais j'assimile ça à la chartreuse avec laquelle j'ai eu une expérience malheureuse dans ma prime jeunesse

Tu prends un pastis ou un pontarlier anis, tu double la dose d'alcool et tu as à peu près le gout de l'absinthe!

[Soch-Aliens vs Predators]

Pas grave, je picolerai avec Blachou et Sandro

fais gaffe, ils sont capables de tout picoler sans rien te laisser

l'absinthe, j'ai jamais goûté moi
je ne sais pas pourquoi mais j'assimile ça à la chartreuse avec laquelle j'ai eu une expérience malheureuse dans ma prime jeunesse

L'Absinthe ? n'y touche jamais !

[joux]

Pas grave, je picolerai avec Blachou et Sandro

fais gaffe, ils sont capables de tout picoler sans rien te laisser

l'absinthe, j'ai jamais goûté moi
je ne sais pas pourquoi mais j'assimile ça à la chartreuse avec laquelle j'ai eu une expérience malheureuse dans ma prime jeunesse

L'Absinthe ? n'y touche jamais !

pourquoi se priver d'un produit si savoureux?

[Gaulois]

Tu prends un pastis ou un pontarlier anis, tu double la dose d'alcool et tu as à peu près le gout de l'absinthe!

Alors là on a atteint le summum.

Comparer le goût du pastis à celui de l'absinthe.

Tu te barres.

Et je me r'en vais !

[Flo]

L'Absinthe ? n'y touche jamais !

pourquoi? t'as peur que ça fasse empirer mon état?

[joux]

Tu prends un pastis ou un pontarlier anis, tu double la dose d'alcool et tu as à peu près le gout de l'absinthe!

Alors là on a atteint le summum.

Comparer le goût du pastis à celui de l'absinthe.

Tu te barres.

Et je me r'en vais !

Je devais être dans un état plus qu'avancé quand j'en ai gouté!

Recette suisse d'époque (Pernod-Fils 1906)
Alcoolat : grande absinthe 3,5 kg, anis 4 kg, fenouil 4 kg, badiane 675 g, distillés avec 100 litres d'alcool à 70°.
Macération pour colorer : petite absinthe 1,5 kg, mélisse 1 kg, hysope 1,5 kg.
Mettre l'alcool sur les produits ci-dessus, trancher, retirer 24 heures après, mettre de l'eau sur les plantes pour retirer l'alcool; mélanger le tout pour ramener à 65° pour produire 100 litres d'absinthe à 65°
Recette d'un fabricant d'alambics à Môtiers, au Val-de-Travers, aujourd'hui décédé :
Mettre dans l'alambic, 15 litres d'alcool pur à 95°, 25 litres d'eau et ajouter la blanquette de la cuite précédente (1 litre environ). 3 poignées de grande et 1 poignée de petite absinthe, 2 kg d'anis, 1 kg de fenouil, 1 poignée d'hysope, 1 poignée de mélisse, 1 poignée de menthe.
Au début de la cuite, on sent très fort l'alcool; à la fin les odeurs se diversifient. À ce moment là, il faut être attentif et goûter à tout moment la blanquette qui coule blanche parce que l'alcool diminue rapidement. Sitôt que le goût risque de tourner au cachou, il faut retirer le récipient mais continuer de distiller et de récolter tout l'alcool qui reste, parceque ces arrières goûts sont nécéssaires à la prochaine cuite donnant à l'absinthe un bouquet complet, harmonieux et velouté.
La qualité de l'absinthe dépend beaucoup de la blanquette, si on la laisse trop couler, l'absinthe aura un goût de cachou. Si on en ajoute trop peu lors de la prochaine cuite, l'absinthe sera fade et insipide.
L'eau que l'on ajoute à l'alcool avant la distillation joue un rôle primordial, c'est elle qui releve le parfum des plantes. C'est pourquoi il faut bien en mesurer la quantité.
Pour colorer l'absinthe de manière naturelle, laisser couler l'absinthe au sortir de l'alambic dans une bonbonne qui contient des plantes de petite absinthe, de mélisse et d'hysope.


Visiblement il y a de l'anis dans la composition de l'absinthe, je ne suis donc pas completement en dehors de la réalité quand je parle d'un gout assimilable au pastis!

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sur un sucre, ca fait le même effet que 3 vicks + 3 fishermen's friends mangés d'un coup!