En gras l'idée principale ; il ne s'agit pas de mythifier un quelconque âge d'or. Des avancées il y en a eu. Mais il possible de faire bien mieux encore. Hélas pas avec le le système destructeur et prédateur que l'homme emploie actuellement avec son milieu et ses semblables. Je pense que les exploités du Tiers-Monde n'ont rien à envier à ceux de Dickens. Le problème n'a donc pas été résolu mais déplacé.
Faudra que tu me quotes l'endroit où je dis qu'on vit actuellement une époque formidable.
Evidemment qu'il y a des (gros) progrès à réaliser. Et je n'idéalise pas le tout pétrole, je dis même plus haut que j'espère qu'on passera à autre chose avant la pénurie.
Simplement, c'est le prix à payer pour notre confort et la progression de notre société.
Histoire d'être tatillon 30 ans d'espérance de vie ce n'est que pendant l'épisode guerrier de l'usurpateur corse.
En 1808 la Révolution Industrielle n'a pas encore débuté en France et les journées de travail ne pouvait dépasser la journée, au sens solaire du terme, faute d'électricité. Tratata pouet pouet !
2008-200 = 1908. C'est pas moi qui ait parlé de 200 ans en arrière. Sur cette période de l'histoire, l'espérence de vie ne dépassait pas les 30 ans.
Pour les conditions de vie des ouvriers, tu noteras que j'ai parlé du milieu du 19e, soit à partir des années 1830, parce que je ne voulais pas être restrictif sur une mauvaise période, pas forcément représentative. Au 19e, l'espérance de vie était à peine de 40 ans, soit moitié moins qu'aujourd'hui.
Guerres napoléoniennes (1 ou 3), peste, conditions catastrophiques des ouvriers : non franchement, je ne rève pas du 19e.
Pour Lorenzo et ce qu'en penserons nos descendant une suggestion
ici.Si t'es un vrai nostalgique de Napoléon régulièrement l'assos des Bourbakis rejoue la calamiteuse retraite des l'armée de l'Est sur Pontarlier.
Pour nos descendants, nous serons assurément des barbares qui ont massacré la planète, affamé les populations du Tiers-Monde pour leur voler leur richesse, qui se sont entretués au nom des religions et qui ont laissé se developper des graves maladies comme le SIDA dans les pays d'Afrique.
"Les socialistes, c'est comme Christophe Colomb, quand ils partent, ils ne savent pas où ils vont et, quand ils arrivent, ils ne savent pas où ils sont" © Winston Churchill
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Critères pour choisir un sport : si tu es grand, tu peux faire basketeur; si tu es costaud, tu peux faire rugbyman; si tu es con, tu peux faire footballeur.