Ce qui serait interessant de savoir ,c est qui a ecrit ce communiqué car ne nous y trompons pas aucun des joueurs n' a le niveau pour ecrire ce texte.
Donc a mon avis tout cela etait prémédité.
Le matin Ribery nous dit qu ils vont se battre pour l equipe de France, pour l honneur du maillot et l apres midi ils nous font croire qu apres 40 minutes de discussion avec l' entraineur dans un bus ils decident par solidarité avec Anelka de ne pas s entrainer et pondent un communiqué dignent d un directeur de communication.
décidement cette equipe nous prends pour des cons...
Faut pas exagérer non plus, c'est pas tous des analphabètes. Ce communiqué - même s'il est bien écrit - n'est pas prodigieux et vu qu'il est lu on rate les fautes d'orthographe
.
Ceci dit je commence à trouver tout ça un peu gros... les insultes d'Anelka... le fait que ça sorte dans la presse... l'exclusion d'Anelka (qui s'est faite attendre)... la pseudo bagarre dans le bus entre Ribéry et Gourcuff... la "grève" des joueurs et la fronde anti-FFF... le coup de la taupe (diversion ?)... l'engueulade Evra/Duverne...
Je ne sais pas à quel niveau ces bribes d'info reflètent le climat là-bas, mais j'ai du mal à comprendre la trame globale. Et vu que les intervenants ont tous des intérêts plus ou moins avouables et parfois opposés, c'est difficile de démêler le factuel de l'amplifié. J'ai assez hâte que les langues se délient, probablement après le match de mardi, histoire qu'on y voie un peu plus clair.
Nous sommes apparement bien dans une situation ou nos vieilles gloires ont voulu prendre le pouvoir
Pour le communiqué , personne à la FFF ne pense croire que ce sont les joueurs qu ils l ont ecrit....
Le n°3 de la FFF raconte
Dans un entretien à La Charente Libre, le secrétaire général de la Fédération française de football, raconte ce qu'il a vécu à Knysna de l'intérieur du groupe des Bleus.
Le n°3 de la FFF, Henry Monteil, a raconté ce qu'il avait vécu ces derniers jours à Knysna.(EQ)
Sur l'Affaire Anelka
«Le président Jean-Pierre Escalettes a été au courant vendredi de ce qu'avait dit Nicolas Anelka. Il ne pensait pas que cela sortirait. (...) On s'est réuni avec Raymond Domenech et les membres du comité fédéral. On a demandé à Anelka de s'excuser. Son avocat a refusé des excuses publiques parce que le joueur voulait s'en prendre à L'Equipe. Alors il était normal qu'une décision soit prise. Avec l'impact médiatique, on ne pouvait pas faire autrement que de l'exclure.»
Sur l'annulation de l'entraînement de dimanche par les Bleus
«J'étais juste à côté du bus dans lequel les joueurs se sont enfermés. Jean-Pierre Escalettes et Raymond Domenech sont allés parlementer. Mais il n'y avait rien à faire. Des joueurs n'arrêtaient pas de frapper sur les vitres en hurlant au chauffeur de démarrer. C'était fou.» Il explique aussi que Bruno Martini (entraîneur des gardiens) et Robert Duverne (préparateur physique) sont en larmes derrière un camion.
Sur la lettre des joueurs
«Cette lettre, je l'ai lue. Je pense que ce ne sont pas les joueurs qui l'ont écrite. C'était tapé à l'ordinateur et il n'y avait aucune faute d'orthographe. C'était prémédité. (...) Domenech et le staff sont rentrés en voiture, les joueurs seuls dans le bus.»
Sur l'unité dans le groupe des Bleus
«Des joueurs sont allés voir Domenech dans sa chambre (NDLR : après l'annulation de l'entraînement de dimanche). Ils pleuraient. Ils disaient regretter ce qui se passe. (...) C'était des jeunes. Je ne peux pas vous donner de noms. De toute façon les trois ou quatre leaders (NDLR : de cette fronde) sont des joueurs sur le déclin, qui ne joueront plus jamais de Coupe du monde. Qui sont-ils ? Je ne sais pas... Gallas, Abidal, peut-être Henry qui est ami avec Anelka.»