Com' de départ qui rappelle celle de son arrivée si on reste au premier degré.
Entre les lignes, il remercie absolument tout le monde sauf...
Comme le vent souffle presque toujours d'ouest en est, l'odeur du torchon qui brûlait n'était jamais arrivée jusqu'à mes narines.
J'ai discuté 20/25 minutes en tête à tête avec Oswald Tanchot le matin du match contre Le Mans.
Il avait particulièrement mal vécu le fait que Jean Claude Plessis est dit dans les médias que le club visait la montée (reproche qu'à fait Pierre Wantiez à JCP il y a une quinzaine sur FBBM). Tanchot avait pu me dire qu'il n'avait pas pu avoir un jour pour souffler depuis qu'il était en charge de l'équipe et cette remarque de Plessis, qui aurait pu être un effet médiatique de sa part, avait été mal perçu par celui qui avait tout vécu, se retrouvant, à un moment, avec un groupe essentiellement composé de - 19.
J'ai échangé ensuite avec lui, le samedi matin sur la fin de l'entrainement d'avant Nancy. Il m'avait indiqué qu'il avait rencontré Nardis et Vauthrin (je crois), les vrais patrons comme il m'avait dit. Je ne lui avais pas demandé comment cela s'est passé.
Ce que je peux témoigner, et notamment après avoir regardé le reportage sur Canal, c'est que son discours était constant. Les velléités de départ de MICHEL, il me l'avait dit. Les difficultés avec Fatar, aussi., sur ce qui était exigé pour être un bon professionnel, aussi.
Bonne route à Oswald Tanchot.