En tout cas, pour ma part je savoure le fait de ne voir plus qu'une équipe espagnole en quart, après toutes ces années d'arrogance.
Il reste encore la pire équipe malheureusement.
Posté 18 mars 2021 - 10:26
En tout cas, pour ma part je savoure le fait de ne voir plus qu'une équipe espagnole en quart, après toutes ces années d'arrogance.
Il reste encore la pire équipe malheureusement.
Posté 18 mars 2021 - 10:54
Ce que Zidane réussit avec le Real Madrid, c'est assez costaud. Ce n'est pas la folie au niveau du jeu mais avec un effectif amoindri, il parvient à s'en sortir.
Posté 18 mars 2021 - 10:57
Ce que Zidane réussit avec le Real Madrid, c'est assez costaud. Ce n'est pas la folie au niveau du jeu mais avec un effectif amoindri, il parvient à s'en sortir.
Posté 18 mars 2021 - 11:08
Ce que Zidane réussit avec le Real Madrid, c'est assez costaud. Ce n'est pas la folie au niveau du jeu mais avec un effectif amoindri, il parvient à s'en sortir.
Il me tarde de le voir évoluer ailleurs qu'au Real, pour voir s'il y a vraiment des humains touchés par une grâce dont nous sommes, nous autres, dépourvus, ou si le confort de la "maison" y est pour quelque chose dans ce parcours d'entraîneur qu'il faut bien qualifier de hors-norme.
C'est même plus une bonne étoile qu'il a. Quel parcours il a ! L'effectif de qualité y est pour beaucoup dans les 3 LDC remportées lors de son premier passage mais c'est surtout sur son deuxième passage que je le trouve surprenant car l'effectif du Real a vieilli et s'est assez peu renouvelé mais il parvient à remporter la Liga l'an dernier et on verra ce qu'il adviendra de cette fin de saison. La Liga semble pliée, ce Real n'y est pas assez régulier encore qu'il peut créer une surprise avec un Atletico en perte de vitesse, un duel Atletico - Barça et un Real madrid - Barça potentiellement explosif.
Je ne doute pas de ses capacités à être champion avec la Juve, le Bayern ou Manchester City mais à part à Turin ou sur le banc de l'équipe de France, je ne le vois pas sur un autre banc de touche.
Posté 18 mars 2021 - 11:14
C'est un peu un problème de riche. C'est comme Koeman avec le Barça, les deux effectifs sont bons, il y a juste quelques postes qui pourraient être améliorés mais ce sont des effectifs qui doivent jouer la gagne en Liga et au moins les 1/4 en LDC. Là le Real est 3ème de Liga derrière un Barça sur la pente descendante depuis 5 ans, même si c'est mieux depuis quelques semaines, et a bien eu du mal de sortir d'un groupe de LDC largement à sa portée. Au niveau du jeu je ne me prononcerai pas car je n'ai pas vu de matchs du Real cette saison, mais de ce que j'ai entendu ça reste assez irrégulier.
Cependant, et c'est un des aspects qui me fait détester ce club, les supporters et Perez sont très ingrats avec Zizou, et tous les entraineurs du Real, car quelques mauvais résultats effacent tout le bon travail effectué auparavant, c'est le club d'Europe où tu es le plus rapidement sur un siège éjectable et où les supporters ont une mémoire très courte.
Posté 18 mars 2021 - 11:17
Posté 18 mars 2021 - 11:22
C'est un peu un problème de riche. C'est comme Koeman avec le Barça, les deux effectifs sont bons, il y a juste quelques postes qui pourraient être améliorés mais ce sont des effectifs qui doivent jouer la gagne en Liga et au moins les 1/4 en LDC. Là le Real est 3ème de Liga derrière un Barça sur la pente descendante depuis 5 ans, même si c'est mieux depuis quelques semaines, et a bien eu du mal de sortir d'un groupe de LDC largement à sa portée. Au niveau du jeu je ne me prononcerai pas car je n'ai pas vu de matchs du Real cette saison, mais de ce que j'ai entendu ça reste assez irrégulier.
Cependant, et c'est un des aspects qui me fait détester ce club, les supporters et Perez sont très ingrats avec Zizou, et tous les entraineurs du Real, car quelques mauvais résultats effacent tout le bon travail effectué auparavant, c'est le club d'Europe où tu es le plus rapidement sur un siège éjectable et où les supporters ont une mémoire très courte.
Posté 18 mars 2021 - 11:27
Le problème du Barça, c'est qu'ils ont essayé de renouveler l'effectif à grands frais et qu'ils ont fais erreurs sur erreurs au point de mettre l'institution en péril ( et ce n'est d'ailleurs pas finit, la présidence Laporta ne commence pas très bien ).
A ce niveau là, le Real a été plus perspicace même si il y a eu quelques erreurs ( surtout Hazard le gras du bide ) et a su mener une cure d'austérité, certainement pour financer les prochains transferts importants. Zidane bénéficie tout de même d'une sorte d'immunité, Florentino Perez est très protecteur et un peu comme chez nous, c'est le manque de spectacle qui manque à cette équipe alors que c'est dans l'identité du club. La culture de l'instant.
Posté 18 mars 2021 - 11:35
J'ai envie de te répondre que, depuis Guardiola, il est dur de faire plus instable que le banc du Barca !
Oui et non. Oui parce qu'il y a eu beaucoup d'entraineurs qui se sont succédés, mais non parce que les entraineurs sont démis de leurs fonctions souvent tardivement. Valverde a survécu à deux humiliations en LDC et une absence totale de fond de jeu pendant 2 ans, Setien a été débarqué seulement après un 2-8 historique contre le Bayern, Enrique a pu finir la saison 2016-2017 alors que le Barça a été éliminé deux fois en 1/4 de LDC en 2 ans, et même Tata Martino a fini la saison 2013-2014 alors que ce n'était pas ça dans le jeu, ni en LDC. Même cette année Koeman aurait pu dégagé après la claque contre le PSG mais au milieu de ce bordel en interne depuis plusieurs années, on peut au moins accorder aux dirigeants le mérite de laisser leur chances aux coachs en place.
Posté 18 mars 2021 - 11:43
C'est vrai que le Real Madrid change d’entraîneur tous les ans ou presque depuis une éternité.
Sur les 30 dernières années, Del Bosque a tenu 4 ans et je crois que c'est le record. Ensuite Mourinho a tenu 3 ans puis Zidane et Ancelotti 2 années.
Même Heynckes est partit après la ligue des champions 1998 et Capello après le titre de 2007.
J'ai envie de dire que c'est la culture du club dans le fond, pas de quoi le rendre plus détestable qu'un autre.
Posté 18 mars 2021 - 12:15
Cependant, et c'est un des aspects qui me fait détester ce club, les supporters et Perez sont très ingrats avec Zizou, et tous les entraineurs du Real, car quelques mauvais résultats effacent tout le bon travail effectué auparavant, c'est le club d'Europe où tu es le plus rapidement sur un siège éjectable et où les supporters ont une mémoire très courte.
Ah, ce Capello champion et lourdé dans la foulée parce que le jeu déplaisait aux supporters...
Posté 18 mars 2021 - 18:10
on parle de kombouaré et du PSG ?
Posté 18 mars 2021 - 22:08
Kombouaré était seulement en tête début décembre. C'était condescendant de le virer à ce moment-là, mais c'est Ancellotti qui est arrivé derrière.
Virer Ancellotti pour prendre Blanc 2 ans plus tard, ça par contre ce fut un grand moment de nawak. Au point que pour tenter de faire oublier cet épisode il a fallu recruter Daniel Alves.
Posté 19 mars 2021 - 12:47
Posté 19 mars 2021 - 12:48
Posté 19 mars 2021 - 13:43
Ne désespère pas, il y a un jeune du PSG qui avait signé au Bayern cet été non ? Il pourrait être celui-la !
Posté 19 mars 2021 - 13:45
Posté 19 mars 2021 - 13:56
A oui, très juste. Ce sera pour l'an prochain alors !
Posté 19 mars 2021 - 19:50
Par contre 3 semaines entre l'A/R des 1/8emes et 6 jours entre l'A/R des 1/4, le calendrier UEFA c'est toujours aussi incompréhensible.
Le vainqueur jouera City ou Dortmund en demi, ce n'est pas un cadeau non plus.
Posté 19 mars 2021 - 20:26
Posté 29 mars 2021 - 20:39
Source L'Equipe :
Depuis quelques saisons, les Expected Goals sont devenus un outil de référence pour l'analyse des attaquants. Que disent ces statistiques sur les meilleurs buteurs actuels ? Et si cette donnée avait influencé les zones de frappe ?Vingt-et-un tirs, dont quatorze dans la surface et dix cadrés, treize centres dans le jeu, neuf corners, un penalty (manqué), 72 % de possession de balle... le FC Barcelone a tout tenté pour refaire son retard de trois buts (1-4 au match aller) sur la pelouse du PSG (1-1) le 10 mars, en huitièmes de finale retour de la Ligue des champions. À défaut d'y parvenir, Ronald Koeman a aimé « l'attitude » de son équipe, tombée sur un gardien en état de grâce, et rien ni personne n'a contredit l'entraîneur néerlandais lorsqu'il a estimé qu'elle méritait « mieux » que ce nul synonyme d'élimination. Surtout pas les Expected Goals, devenus ces dernières années un indicateur statistique de référence, et qui donnaient ce score final : 1,7-2,3.
Petit rappel : souvent abrégés ExpG ou xG, les Expected Goals permettent d'évaluer la qualité des situations de tir créées suivant une multitude de facteurs tels que la distance séparant le frappeur du but, l'angle de tir, la partie du corps utilisée, le type de passe reçue (en profondeur, centre, remise en retrait...) ou la phase de jeu concernée (attaque placée, contre-attaque, coup franc direct ou indirect, penalty, corner, rentrée de touche...).
Il existe des dizaines de modèles, développés par de simples passionnés ou sociétés commerciales, avec leurs propres spécificités (les Britanniques de StatsBomb ont par exemple récemment ajouté la hauteur d'impact du tir à ses variables). Cependant, tous fonctionnent de la même manière : en se basant sur des dizaines voire des centaines de milliers de tirs tentés dans le passé, ils attribuent à chaque tir une valeur comprise entre 0 (aucune chance de marquer) et 1 (100 % de chances de marquer), celle des penalties équivalant à plus ou moins 0,75 (75 % de chances de marquer) selon les modèles.
Selon l'algorithme d'Opta, l'un des pionniers en la matière, Lionel Messi et ses coéquipiers auraient ainsi « pu espérer » trouver le chemin des filets 2,27 fois au Parc des Princes. Cela ne veut pas nécessairement dire qu'ils ont joué de malchance, car le joueur « moyen » aurait marqué moins de 3 fois sur 100 (0,0282 xG, 2,82 %) dans la situation du meneur de jeu argentin, buteur sur une frappe de 25 mètres. On retiendra donc plutôt que le Barça, qui a notamment raté un penalty (0,7884 xG chez Opta, soit 78,84 %), a globalement manqué de réalisme, quand Paris a « surperformé » dans ce domaine (2,82 buts « attendus » contre 4 buts marqués à l'aller, 4,5 buts « attendus » contre 5 buts marqués sur l'ensemble des deux matches).
À condition de savoir les interpréter, les xG peuvent se révéler une mine d'or pour les parieurs, car ils permettent d'analyser plus objectivement les performances d'une équipe et donc de prédire avec davantage de justesse une éventuelle baisse de régime, par exemple. Mais ils sont aussi un outil précieux pour les clubs qui font le pari de les utiliser, notamment dans le domaine du recrutement.
« C'est une excellente porte d'entrée dans le cas d'un attaquant car c'est un modèle qui permet de contextualiser son activité dans ce domaine, observe Julien Demeaux, responsable données football au TFC (Ligue 2). Un tir à 35 mètres avec 6 joueurs entre le ballon et le but a moins de chance d'être marqué qu'un tir à 3 mètres de la ligne quand le gardien est battu. Un modèle bien construit (Toulouse a développé le sien) va permettre de capter ces informations et de mettre en perspective la réussite d'un buteur. Si deux joueurs ont marqué le même nombre de buts lors d'une saison, les Expected Goals permettront de comprendre certaines différences entre ces deux joueurs. »
Un exemple : Wissam Ben Yedder et Kevin Volland, coéquipiers à Monaco, ont tous les deux marqué 13 fois en Ligue 1 cette saison. Mais contrairement au capitaine français de l'ASM, dont les statistiques sont plutôt fidèles aux prédictions mathématiques (13,76xG), l'Allemand a assez nettement dépassé les attentes (10,03xG).
Sans aller plus loin, on pourrait conclure que Volland réussit des tirs théoriquement plus difficiles et qu'il possède donc une qualité de finition au-dessus de la moyenne. Sauf que l'ancien joueur du Bayer Leverkusen, qui n'est ni spécialement rapide, ni spécialement technique, brille surtout par l'intelligence de ses déplacements - lesquels lui permettent régulièrement de se créer des situations de tirs à forte valeur xG. Avec l'ASM, il n'a marqué que depuis l'intérieur de la surface, souvent même dans les six mètres et la plupart du temps sans opposition. Conclusion : il était sans doute en surrégime quand il empilait les buts au début de l'hiver (5 en 5 matches entre le 20 décembre et le 15 janvier), ce que semble confirmer la moins bonne passe qu'il traverse actuellement (1 but en 6 matches).
Les non penalty Expected Goals (npxG), qui excluent comme leur nom l'indique les penalties de leur champ d'analyse, sont un indicateur plus précis pour les joueurs qui les tirent, car le fort taux de conversion moyen de ces coups de pied de réparation (0,7884xG chez Opta, 0,76xG chez StatsBomb) peut fausser leur bilan. Les chiffres sont parlants dans le cas de Ben Yedder : penalties exclus, le différentiel entre les buts attendus (7,45) et les buts marqués (6) par le capitaine de l'ASM est deux fois plus important (1,45) que lorsque l'on inclut les penalties dans la balance. Ce qui permet d'avancer avec davantage de certitude l'hypothèse selon laquelle le joueur de l'équipe de France sous-performe cette saison.
À l'image des xG et des npxG, d'autres formules existent. On peut par exemple s'intéresser aux xG/90 minutes, qui permettent d'estimer le nombre de buts qu'un joueur peut espérer marquer à chaque match selon la qualité des situations de tir qu'il se crée ; ou aux xG/tir, un indicateur qui permet d'évaluer la qualité moyenne desdites situations de tirs. À ce jeu, Ben Yedder (0,23 xG/tir) est aussi « performant » que Robert Lewandowski (Bayern Munich), le meilleur buteur dans les cinq grands Championnats européens cette saison (35 buts). Ce qui ne préjuge en rien de son efficacité.
Si les xG, les xG/90 minutes ou les xG/tir sont donc un bon point de départ pour approfondir le rendement d'un attaquant, ils ne sont selon Demeaux « que rarement suffisants pour une analyse digne de ce nom », car « le modèle "s'arrête" au moment du tir dans sa conception ». Autrement dit, aucun de ces indicateurs ne mesure la qualité d'un tir à proprement parler. « Créer un modèle d'Expected Goals correspond à faire une pause sur image à l'instant où le joueur tire dans le ballon, appuie l'analyste du TFC. À cet instant, on ne sait pas encore si le tir va être cadré où s'il va finir dans les tribunes. »
Pour mesurer la qualité d'un tir, il convient aussi de s'intéresser aux Expected Goals On Target (xGOT), dont l'analyse n'inclut comme leur nom l'indique que les tentatives cadrées. On parle aussi de Post-Shot Expected Goals. « Cette fois, on sait où le tir termine, explique Demeaux. S'il n'est pas cadré, la probabilité de marquer est de 0. Donc on exclut ces tirs du modèle pour ne conserver que les tirs cadrés. On ajoute dans le modèle l'endroit où le tir finit et cela donne un autre angle d'analyse qui correspond davantage à une évaluation de la qualité des tirs. »
Contrairement aux indicateurs étudiés plus haut, les xGOT permettent de faire ressortir les meilleurs finisseurs. Il suffit pour cela de leur retrancher les xG : plus l'écart est important (dans le positif), plus le joueur optimise les situations de tirs qu'il se crée. C'est par exemple le cas de Messi, comme le montre le graphique suivant.
À l'image de l'abandon progressif du tir à mi-distance au profit des lay-ups et des shoots à trois points dans le basket NBA, temple des statistiques avancées et royaume des matheux (à découvrir dans notre épisode de jeudi), l'étude approfondie des xG pourrait-elle à plus ou moins long terme convaincre certains clubs de football de délaisser les tirs en dehors de la surface, dont le pourcentage de réussite moyen est plus faible ?
« À mon sens, c'est déjà en marche et plus ou moins avancé chez certaines équipes, observe Demeaux. Une équipe comme Liverpool, qui est réputée pour s'appuyer sur les données de façon générale, est passée de 39 % de tirs depuis l'extérieur de la surface en 2017-2018 à 29 % la saison dernière, lors de son titre en Premier League. Je ne pense pas qu'elle ait réduit cette tendance de 10 points sans qu'il y ait eu une réflexion et une recherche en amont. »
À l'arrivée de Jürgen Klopp, en 2015, les Reds tentaient même près de la moitié de leurs tirs en dehors des 16,50 m, et si l'on omet la saison en cours (35 %), la tendance n'a eu de cesse de décroître depuis, avec les résultats que l'on connaît. Au fond, l'Allemand n'est rien de plus qu'un entraîneur pragmatique : un tir dans la zone des six mètres présentant un taux de réussite moyen largement supérieur (environ 80 %) à un tir de 40m (environ 1 %), il préfère que ses joueurs s'approchent le plus souvent possible de la surface (au risque de perdre le ballon) plutôt que de tenter leur chance en ayant la quasi-certitude de le rendre à leurs adversaires.
Cette tendance au déclin des tirs de loin n'est pas propre au champion d'Angleterre : cette saison, seules 6 des 20 équipes de Premier League ont frappé plus de 40 % du temps en dehors de la surface (42 % au maximum pour Burnley), alors qu'elles étaient plus du double (14) il y a 10 ans.
Aucun des quatre autres grands Championnats européens (Bundesliga, Liga, Ligue 1, Serie A) n'échappe d'ailleurs au phénomène, même si la baisse est par exemple moins spectaculaire en Ligue 1 (-7,8 points) qu'en Serie A (-13,5 points).
Quand je ne sais pas, je la ferme
Posté 07 avril 2021 - 08:32
"Le problème de ce monde, c'est que les idiots et les fanatiques sont toujours plus sûrs d'eux tandis que les sages sont envahis par le doute." Bertrand Russel
Posté 07 avril 2021 - 14:04
...depuis le temps qu'on le dit...
Posté 07 avril 2021 - 19:14
Posté 07 avril 2021 - 20:04
Posté 07 avril 2021 - 20:05
Posté 07 avril 2021 - 20:07
Posté 07 avril 2021 - 20:08
Posté 07 avril 2021 - 20:32
Posté 07 avril 2021 - 20:33