29838 réponses à ce sujet

[bulle]

T'es toujours à contre courant ou je rêve?

[Legrandschtroumpf]

Il ne s'arrête jamais le David ...

[Legrandschtroumpf]

Oué, ben s'ils passent sur ce forum, moi je les enverrai de suite dans leurs révisions, çà ne trainerait pas ... heins Bubulle ?

[bulle]

[Legrandschtroumpf]

Vivi David ....

[Chaboul]

J'parie que David trouve que le Monde de l'Education est une sombre daubasse, me trompe-je?

[Astek]

Oui mais ce ne sont pas à proprement parler des concours administratifs, les concours de recrutement des enseignants.
Je parle des concours avec Dissertation+note de synthèse à l'écrit, et conversation avec le jury+option à l'oral. Clyde sait de quoi je parle...

tiens, ça me rapelle des choses....

[Aurel]

«L'esclavage est près de chez vous!»

Zina Rouabah est présidente du Comité contre l'esclavage moderne (CCEM), spécialisé dans l'aide aux victimes d'esclavage domestique. Depuis 1998, l'association est venue en aide à 465 personnes.

par Julie Hainaut et Juliette Loir
LIBERATION.FR : mercredi 10 mai 2006 - 12:46

Qu'est-ce que l'esclavage moderne?
Ce sont des jeunes femmes qui sont exploitées domestiquement, pour faire le ménage ou s'occuper des enfants. Elles arrivent en France, souvent très jeunes entre 8 et 15 ans, se retrouvent enfermées à clé dans un appartement ou un pavillon, et n'ont pas de liberté d'aller et venir. Les exploiteurs vont les chercher à l'étranger, principalement dans les pays du Sud. Ils leur confisquent leurs papiers, les maltraitent, les séquestrent et leur imposent des conditions de travail et d'hébergement contraires à la dignité humaine. Ces jeunes femmes travaillent jusqu'à 20 heures par jour. Elles subissent des violences psychologiques et des maltraitances. Parfois ça peut aller jusqu'à des actes de torture, avec par exemple la punition du piment (c'est l'introduction d'un piment dans les parties intimes).

Combien de personnes en France et en Europe sont victimes de l'esclavage moderne?
Il est très difficile de le dire, voire impossible. En Europe, on recense environ 250 000 personnes victimes de cet esclavage. Le CCEM reçoit, de son côté, entre 350 et 400 signalements de cas de maltraitances par an. Ce sont soit des voisins, soit les services sociaux ou la police qui nous avertissent de ces cas. C'est un business énorme qui représente, dans l'Union européenne, 13 milliards d'euros, soit juste derrière le trafic de drogue et le trafic d'armes.

Comment aidez-vous les victimes?
Le Comité les prend totalement en charge. Parfois, on les sort même de leur lieu d'exploitation avec le concours de la police. On les accompagne dans les procédures juridiques et administratives : déposer plainte au commissariat ou faire un signalement au parquet. Des avocats bénévoles et les deux juristes du comité centralisent les dossiers. Ces victimes ne sont pas renvoyées dans leur pays d'origine. Mais les procédures sont longues. Au départ, elles obtiennent une autorisation provisoire de séjour, mais cela ne leur permet pas de travailler. Pour obtenir une autorisation de travail, ces jeunes femmes doivent attendre en moyenne deux ans, mais cela peut aller jusqu'à sept ans. C'est pour cela que notre Comité leur apporte une aide financière hebdomadaire (environ 61 euros). Quand elles obtiennent l'autorisation de travailler, on diminue l'aide.

Pensez-vous que l'on parle assez de ce type d'esclavage?
Dans le cadre de la journée de commémoration de l'abolition de l'esclavage, beaucoup de médias se sont intéressés à l'action de notre Comité. C'est important de parler de la traite négrière, mais il faut que les gens sachent que l'esclavage n'est pas terminé. L'esclavage domestique n'est pas seulement le fait de riches propriétaires, il concerne aujourd'hui toutes les classes de la société. Il est près de chez vous, parmi nous…

[Susic]

Le cannible de Rothenburg

Mars 2001. Dans la petite ville de Rothenburg. Un monsieur «normal», dans une maison «normale» avec un emploi «normal», se connecte à Internet.

Armin Meiwes avait, en rentrant dans son antre, affablement salué ses voisins, qui d'un air entendu se murmurèrent : «décidément il est vraiment gentil cet Armin». Monsieur A.M. était en effet le voisin idéal, bel homme de quarante-deux ans, expert en ordinateurs : «je tondrai votre gazon avec plaisir ! Votre voiture est cassée, n'ayez crainte, j'ai quelques tours dans la poche ! Passez dîner à l'occasion, on me dit souvent que je suis un excellent cuisinier»…

L'écran s'agite, les publicités s'affolent. Sur plusieurs sites Web et chatrooms, il tape avec satisfaction l'annonce suivante : «Cherche jeune homme bien proportionné pour le manger. Intérêt pour le cannibalisme et la tuerie demandé».
À première vue, on pourrait trouver l'annonce quelque peu troublante, mais une larme d'attendrissement se profile sur notre pupille lorsque Monsieur A.M. explique : «Depuis ma plus tendre enfance, j'ai souvent rêvé de tuer et de manger quelqu'un. Entre les âges de huit et douze ans, ma fantaisie a davantage pris forme alors que je salivais devant mes camarades de classe. Enfin, à la mort de ma mère en 1999, le désir se fit tellement pressant que je me résolus à placer cette annonce».

Rassurez-vous, cette annonce était loin d'avoir un destin semblable aux bouteilles jetées à la mer, trouvées seulement, recouvertes d'algues, à peine déchiffrables, par un enfant sur les côtes japonaises. Les gens, alléchés par cette expérience nouvelle et on ne peut plus intense, se ruèrent sur leur clavier pour répondre. Meiwes est en contact avec 430 personnes sur Internet qui sont «intéressées par le cannibalisme et la tuerie».

Mais Armin Meiwes n'accepte pas n'importe qui pour réaliser son rêve. Après plusieurs rencontres infructueuses, le candidat parfait enfin se présente : un ingénieur berlinois de quarante-trois ans, Bernd Brandes.
Armin et Bernd se retrouvent le 9 mars. Les préliminaires de leur relation pour le moins originale consistent à faire avaler à Monsieur Brandes 20 somnifères et une demie bouteille de schnaps. Meiwes se penche sur son partenaire et, assuré du consentement de celui-ci, lui tranche le pénis. Certainement, c'est en sifflotant une chanson folklorique qu'il procède à la cuisson du membre qu'il assaisonne d'ail. Le mets délicat est dégusté par les deux Allemands.

Après ce repas délectable, Brandes, saignant à flots, se glisse dans un bon bain pendant que Meiwes s'étale sur le lit en lisant un roman de Star Trek. Alors que le jour pointe, Monsieur M. embrasse le démembré sanglant puis l'achève à coup de couteau de cuisine dans le cou. «Mon ami a aimé mourir, a aimé la mort. J'ai juste attendu, horrifié, pour la fin après avoir accompli l'acte. Cela a duré terriblement longtemps».
Le corps est ensuite découpé et méthodiquement rangé dans le congélateur à côté d'une pizza à emporter. Monsieur M. enterre le crâne dans le jardin. Evidemment, notre cannibale n'a plus besoin de faire de courses dans les semaines qui suivent : au moindre petit creux, il dégèle des morceaux de corps et les cuisine avec raffinement dans de l'huile d'olive. «À chaque bouchée, mon souvenir de lui s'intensifiait», rapporte-il. C'est généralement accompagné d'un verre de vin rouge sud-africain qu'il savoure son compagnon, sur une table magnifiquement apprêtée; les plus beaux couverts et des bougies romantiques. Le gourmet le compare à de la viande de porc.
Un étudiant autrichien, surfant sur Internet, tombe sur une seconde annonce placée par Meiwes et prévient la police. En décembre 2002, la police arrête Monsieur M. Le cas est problématique puisque les avocats allemands découvrent que le cannibalisme n'est pas illégal en Allemagne. Ils ont résolu d'accuser Meiwes de meurtre ayant pour but un plaisir sexuel et de «déranger la paix des morts». Mais l'accusé a une défense unique : sa victime consentait à être tuée et mangée et, pour l'appuyer, un film réalisé par lui retraçant toute la soirée au cours de laquelle Brandes réitère clairement son consentement.

Avant de se rendre à Rothenburg, d'où il ne rentrera jamais, Brandes avait du succès professionnellement. Il vivait même avec sa petite amie, Bettina L, qui a confié à la télévision allemande qu'elle avait une relation sexuelle saine avec Brandes mais qu'ils s'étaient séparés depuis qu'elle avait appris qu'il aimait les hommes aussi.

Le verdict devrait tomber début 2004. La défense dit que Meiwes n'est coupable que de «tuer sur demande», ce qui entraîne une peine de cinq ans seulement de prison. Dans une interview, le cannibale a dit qu'il se sentait mieux et beaucoup plus stable depuis qu'il avait mangé Brandes et que depuis aussi, en passant, il parlait beaucoup mieux anglais, conséquence qu'il attribue au fait que Brandes le parlait. Le procureur va faire son possible pour qu'il soit condamné à vie sur le fait qu'il est simplement trop dangereux pour être relâché.

Meiwes est apparu au procès vêtu d'une veste et d'une cravate, souriant, décontracté, et affichant le visage que n'importe quel homme dans la quarantaine, ayant bien réussi, pourrait arborer. «J'ai eu une fantaisie et je l'ai réalisée».

Faits divers, Grands Révélateurs de l'humanité sombre ! Si, à l'époque préhistorique, il y eut eu des journalistes, ceux-ci auraient recouvert leurs tablettes taillées des détails succulents que des archéologues français et américains ont mis à jour en 1999 : des os humains révélant qu'il y a 100 000 ans, dans une grotte de la vallée du Rhône, un gigantesque festin néandertalien eut lieu. Ami lecteur, l'horreur est humaine.

Perpetuité pour le cannibale

Le tribunal de Francfort a condamné Armin Meiwes à la prison à vie pour avoir tué et mangé, avec son consentement, un homme rencontré sur Internet. Lors d’un premier jugement, en 2004, la cour avait retenu la thèse du « meurtre par consentement » et n’avait réclamé que 8 ans de prison. L'homme s'est pourvu en cassation.

Armin Meiwes.

Le réquisitoire du procureur a été suivi à la lettre, et Armin Meiwes passera sa vie derrière les barreaux. Mardi, le tribunal de grande instance de Franfort a condamné le « cannibale de Rotenbourg » à perpétuité, sans retenir la thèse du « meutre par consentement », plaidée par la défense, qui lui avait sauvé la mise en 2004.

Rappel des faits : entre 2000 et 2001, un allemand répondant au pseudo de « Francky » passe une série de petites annonces sur Internet. Derrière ce surnom, un ingénieur d’une quarantaine d’années, présenté par ses voisins comme cordial et jouant volontiers avec les enfants, Armin Meiwes. Il recherche un homme prêt à être mangé. Et reçoit pas moins de 5 réponses, dont celle de Bernd Brandes, ingénieur et quadragénaire, comme lui.

Le 9 mars 2001, les deux hommes se retrouvent au domicile de Meiwes. Une fois qu’ils ont fait l’amour, Meiwes tranche le pénis de son compagnon et le fait frire pour le manger. Mais Brandes, qui perd son sang, s’évanouit. Meiwes l’égorge avec un couteau de cuisine, l’étripe, le désosse et le congèle. Une caméra, placée par ses soins, filme la scène.

Une chanson, une pièce et un film

Pendant quelques semaines, Meiwes va consommer la viande du cadavre de son amant d’un soir, parfois sous forme de steaks, qu’il accompagne d’une sauce au poivre et de pommes de terre. Il avouera en avoir mangé jusqu’à 20kg.

Finalement dénoncé par un étudiant en 2002, Meiwes, qui a continué à envoyer ses petites annonces, est arrêté. Considéré par les psychiatres comme conscient de ses actes, et capable de récidive, il est jugé une première fois en 2004. Ses avocats plaident le consentement de la victime. Pour preuve, ils produisent la réponse, positive, de Brandes à la petite annonce de Meiwes. Cette défense permet à ce dernier de s’en tirer à bon compte, avec seulement 8 ans et demi de prison. Mais le verdict n’est pas du goût de la Cour fédérale de justice, qui ordonne un nouveau procès.

Entretemps, « le cannibale de Rotenbourg » est devenu un phénomène de société outre-Rhin. Le groupe de rock Rammstein lui a consacré une chanson et son histoire devrait être adaptée au théâtre. Un film d’horreur inspiré de son cas a été interdit de diffusion en mars. Condamné à perpétuité lors de ce second jugement, Meiwes n'a pas encore dit son dernier mot. Ses avocats ont annoncé leur intention de se pourvoir en cassation.

[Stade Bonard]

Pensez-vous que l'on parle assez de ce type d'esclavage?
Dans le cadre de la journée de commémoration de l'abolition de l'esclavage, beaucoup de médias se sont intéressés à l'action de notre Comité. C'est important de parler de la traite négrière, mais il faut que les gens sachent que l'esclavage n'est pas terminé. L'esclavage domestique n'est pas seulement le fait de riches propriétaires, il concerne aujourd'hui toutes les classes de la société. Il est près de chez vous, parmi nous…

Ca c'est une constance historique : quand même les plus pauvres peuvent engager des domestiques, c'est le révélateur d'une misère plutôt généralisée et dirons-nous critique.

[la meringue]

En passant, tant qu'on est dans l'esclavage : au trou, la Taubira !

[boriselstine]

je n'aime pas les lois "mémorialistes" comme celle de Taubira ou celle sur les "bienfaits de la colonisation" qui a créé la polémique récemment. Les députés, privés qu'ils sont de leur pouvoir l'Europe par le haut et la décentralisation par le bas, essayent de prouver qu'ils ont encore utiles à quelque chose....
- La loi Taubira réserve la notion de "crime contre l'humanité" aux seules traites négrières initiées par les européens. Les traites initiées par les africains eux-mêmes et par les arabes en sont bizarrement exclues (ce fut en fait pour des raisons diplomatiques assez compréhénsibles mais alors on s'abstient de telles lois...).

Je suis d'accord avec ça ; ce sont des lois idéologiques et liberticides qui sont dangereuses pour la démocratie et en tout cas pour ceux qui essaient de penser de manière un peu sérieuse (Olivier Pétré-Grenouilleau en fait les frais en ce moment)

[Lorenzo]

Moi j'aurais préféré que cette journée soit commémorée le jour anniversaire de l'abolition par Victor Schoelcher et non le jour anniversaire de la Loi Taubira.

- d'abord parce que ça avait plus de gueule,
- ensuite parce que je n'aime pas les lois "mémorialistes" comme celle de Taubira ou celle sur les "bienfaits de la colonisation" qui a créé la polémique récemment. Les députés, privés qu'ils sont de leur pouvoir l'Europe par le haut et la décentralisation par le bas, essayent de prouver qu'ils ont encore utiles à quelque chose....
- La loi Taubira réserve la notion de "crime contre l'humanité" aux seules traites négrières initiées par les européens. Les traites initiées par les africains eux-mêmes et par les arabes en sont bizarrement exclues (ce fut en fait pour des raisons diplomatiques assez compréhénsibles mais alors on s'abstient de telles lois...).

Ensuite, Aurel, je crois qu'on arrête pas de parler de l'esclavage passé. C'est bien. Mais on devrait parler de l'esclavage actuel (tu l'as d'ailleurs excellement fait toi même). Et là on en parle peu. Que la croissance chinoise soit initiée par les paysans arrivant dans les villes et ayant un quasi-statut d'esclave, on n'en parle pas assez.

Quant aux repentances, tu sais ce que j'en pense. Moi je veux bien le faire pour les traites initiées par mes ancêtres à condition que les italiens fassent de même pour les jeunes esclaves gauloises de la Rome antique.

+1...le président Algérien nous demande des excuses pour ce que l'état appelle "l"opération de maintien de l'ordre dans le départemlent de l' Algérie", et je suis tout à fait d'accord pour qu'on le fasse (et ce n'est pas un manque de respect pour les AFN merci!!!), mais alors, qu'il admette à son tour que ses ancêtres les Barbaresques ne nous ont pas attendus pour massacrer, piller et violer les pays africains et déporter vers les marchands d'esclaves tout se qui pouvait respirer sur un navire prît en méditerrannée...

[georgesbush]

Moi j'aurais préféré que cette journée soit commémorée le jour anniversaire de l'abolition par Victor Schoelcher et non le jour anniversaire de la Loi Taubira.

- d'abord parce que ça avait plus de gueule,
- ensuite parce que je n'aime pas les lois "mémorialistes" comme celle de Taubira ou celle sur les "bienfaits de la colonisation" qui a créé la polémique récemment. Les députés, privés qu'ils sont de leur pouvoir l'Europe par le haut et la décentralisation par le bas, essayent de prouver qu'ils ont encore utiles à quelque chose....
- La loi Taubira réserve la notion de "crime contre l'humanité" aux seules traites négrières initiées par les européens. Les traites initiées par les africains eux-mêmes et par les arabes en sont bizarrement exclues (ce fut en fait pour des raisons diplomatiques assez compréhénsibles mais alors on s'abstient de telles lois...).

Ensuite, Aurel, je crois qu'on arrête pas de parler de l'esclavage passé. C'est bien. Mais on devrait parler de l'esclavage actuel (tu l'as d'ailleurs excellement fait toi même). Et là on en parle peu. Que la croissance chinoise soit initiée par les paysans arrivant dans les villes et ayant un quasi-statut d'esclave, on n'en parle pas assez.

Quant aux repentances, tu sais ce que j'en pense. Moi je veux bien le faire pour les traites initiées par mes ancêtres à condition que les italiens fassent de même pour les jeunes esclaves gauloises de la Rome antique.

+1...le président Algérien nous demande des excuses pour ce que l'état appelle "l"opération de maintien de l'ordre dans le départemlent de l' Algérie", et je suis tout à fait d'accord pour qu'on le fasse (et ce n'est pas un manque de respect pour les AFN merci!!!), mais alors, qu'il admette à son tour que ses ancêtres les Barbaresques ne nous ont pas attendus pour massacrer, piller et violer les pays africains et déporter vers les marchands d'esclaves tout se qui pouvait respirer sur un navire prît en méditerrannée...

+10

[Gaulois]

Les pirates barbaresques faisaient même des raids sur les côtes de l'Europe du Sud (y compris la Provence je crois) régulièrement jusqu'au XVIIe siècle, pour se fournir en jeunes hommes et jeunes femmes à des fins d'esclavage.

[Lorenzo]

Les pirates barbaresques faisaient même des raids sur les côtes de l'Europe du Sud (y compris la Provence je crois) régulièrement jusqu'au XVIIe siècle, pour se fournir en jeunes hommes et jeunes femmes à des fins d'esclavage.

Il me semble même cher maître que les Navires Océan et Orient avaient été construit à des fins d'anéantissement de ces pirates (ben ouais, ils attaquaient les galères de Louis XIV). Le filme Angélique, c'est pas que du pipo

[Susic]

Les pirates barbaresques faisaient même des raids sur les côtes de l'Europe du Sud (y compris la Provence je crois) régulièrement jusqu'au XVIIe siècle, pour se fournir en jeunes hommes et jeunes femmes à des fins d'esclavage.

il ont même atteint les cotes anglaises, et il y eu un raid contre l'Islande (400 prises)

et je précise au cas où : c'est pas des conneries

[Lorenzo]

Faut être couillu pour s'attaquer aux Vikings...Respect

[la meringue]

Faut être couillu pour s'attaquer aux Vikings...Respect

Doit-on préciser que les vikings étaient surtout des marchands avant d'être des bourrins sanguinaires, et qu'ils était au départ souvent sous-armés.

[Gaulois]

Surtout que les Islandais de l'époque, ils devaient avoir rangé leurs réflexes guerriers depuis longtemps de toute façon.

Berserk !

[Lorenzo]

Faut être couillu pour s'attaquer aux Vikings...Respect

Doit-on préciser que les vikings étaient surtout des marchands avant d'être des bourrins sanguinaires, et qu'ils était au départ souvent sous-armés.

Hum...Le commerce n'est venu qu'après l'établissement de comptoirs comme à York en Angleterre, où en Normandie...La création de ses comptoirs s'est faite dans le sang...Même Paris a failli être rasée de la carte (Merci Sainte Geneviève ). POur ce qui est des Islandais, mon meilleur pote a vécu 1 an là bas...Apparemment, il n'ont rien oublié d'Eriksen et concernant leur libido, en gros, c'est comme leur pays: coeur de glace, mais slip de feu!!!

[Susic]

Même Paris a failli être rasée de la carte (Merci Sainte Geneviève ).

Aie Aie aie (pepito)

edite , viiiite !

a part ça, un viking etait à la base un marchand viril, le commerce tel qu'on l'entend n'etait peut-etre pas la norme chez nous, mais très développé là haut dans leurs contrées (l'etait un beau drakkar)

[Le roi Arthur]

Bientot du sauterne dans les loges à BONAL ?

SOCIETE FINANCIERE - AGROALIMENTAIRE -

La famille Peugeot reprend Château Guiraud [ 12/05/06 ]


La valse des châteaux se poursuit en Gironde. Hier soir après Bourse, FFP, le holding de la famille Peugeot, annonçait le rachat de Château Guiraud, premier cru classé de Sauternes, réalisant ainsi la troisième transaction d'envergure de l'année dans le vignoble bordelais. Fin avril, les frères Bouygues (Martin et Olivier) ont en effet bouclé la reprise de Château Montrose (Saint-Estèphe), quelques semaines après la vente par AXA du Château Cantenac-Brown à l'homme d'affaires anglo-syrien Simon Halabi.


Selon nos informations, la transaction aurait été conclue avec la famille Narby d'origine canadienne pour une somme comprise entre 15 et 20 millions. Elle permet aux Peugeot de mettre la main sur une propriété de 100 hectares, figurant donc parmi la douzaine de premiers crus que compte l'appellation sauternes. Actionnaire majoritaire de la société civile Château Guiraud, FFP a constitué un tour de table très local se composant d'Olivier Bernard (propriétaire du Domaine de Chevalier), de Stephan von Neipperg (Château Canon la Gaffelière) et de Xavier Planty, gérant de la propriété depuis plusieurs années et artisan de son renouveau.


Bien que FFP soit sorti du champagne l'an dernier, à l'occasion de la cession à Starwood Capital du groupe Taittinger, il semble donc avoir pris goût aux vins et spiritueux. Une autre famille célèbre du monde des affaires pourrait les rejoindre prochainement, puisqu'il se dit du côté de Bordeaux que la famille propriétaire d'Hermès International pourraient reprendre Pichon Longueville Comtesse de Lalande, dans le Pauillac.

[KHALED]

Pichon Longueville Comtesse de Lalande

un des meilleurs rouge que j'ai jamais bu